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XV choses à savoir sur le XV de France
La Coupe du monde de rugby 2023 débute vendredi, avec un alléchant et explosif France-Nouvelle-Zélande. Voici quinze choses à savoir sur les Bleus pour briller devant la machine à café.
I) La France, favorite… mais pas trop
Forte de son immense potentiel et de ses récentes performances face aux autres cadors de la planète rugby, l’équipe de France fait logiquement partie des favoris du Mondial, et ce d’autant plus que la compétition se déroule chez elle. Mais pas d’enflammade : si les Bleus sont des candidats légitimes au titre, ils ne sont pas seuls. Outre-Manche, les bookmakers donnent même un léger avantage à la Nouvelle-Zélande.
II) Une inquiétante hécatombe
Les bookies ont d’ailleurs dégradé la cote de la France le 15 août dernier, après l’annonce de la grave blessure de Romain Ntamack. Joueur majeur du XV tricolore, le demi d’ouverture a dû déclarer forfait pour l’ensemble de la Coupe du monde, tout comme Paul Willemse. En y ajoutant les pépins physiques récents et franchement embêtants de Jonathan Danty et Cyril Baille, on en vient à se demander si les partenaires d’Antoine Dupont n’ont pas été touchés par une malédiction.
Romain, on pense très fort à toi. 😢 Tout le groupe est à ton soutien, on te souhaite un bon rétablissement ❤️🩹🙏@RomainNtamack #UnisPourUnRêve #NeFaisonsXV #XVdeFrance pic.twitter.com/lfj1UIHWPj
— France Rugby (@FranceRugby) August 14, 2023
III) Quatre années fastes pour Galthié
Depuis qu’il a pris les rênes de l’équipe nationale, au lendemain de la Coupe du monde 2019, Fabien Galthié a connu 79,5% de victoires (31 succès en 39 matchs). C’est le meilleur bilan jamais affiché par un sélectionneur du XV de France, devant Daniel Dubroca (71%) et Pierre Berbizier (67%), notamment.
IV) Le mystère des grosses lunettes noires
En parlant de Galthié, nombreux sont ceux qui se demandent pourquoi ses lunettes sont équipées d’imposantes montures noires. « Ce sont des lunettes de sport en plastique qui permettent de courir, de tomber, car je cassais toutes mes lunettes avant », a expliqué l’intéressé au Parisien en novembre 2020. Avant d’ajouter : « Ma maman n’aime pas. Mes enfants ne disent rien, ils sont gentils avec leur papa. »
V) Toulouse et La Rochelle, les principaux pourvoyeurs
Sur les 33 joueurs convoqués par le staff français pour participer à la compétition, plus de la moitié provient de deux clubs : le Stade toulousain (10) et le Stade rochelais (7). Après tout, que les deux principaux pourvoyeurs du XV de France soient le champion de France et le champion d’Europe en titre, ça n’a rien de surprenant.
𝟭𝟬 𝗦𝘁𝗮𝗱𝗶𝘀𝘁𝗲𝘀 avec @FranceRugby pour la #RWC2023 🏆
Bravo les gars, on vous souhaite le meilleur !👏
Rendez-vous le 8 septembre pour le match d'ouverture face aux All Blacks 🔥
𝗔𝗟𝗟𝗘𝗭 𝗟𝗘𝗦 𝗕𝗟𝗘𝗨𝗦 🇫🇷
1/2
— Stade Toulousain (@StadeToulousain) August 21, 2023
VI) Les invités de dernière minute
Ils étaient encore inconnus du grand public il y a un an et ne comptaient, au début de l’été, aucune sélection avec les A. Pourtant, Paul Boudehent et Louis Bielle-Biarrey seront bien de la partie pendant le Mondial. L’imposant troisième ligne et l’ailier casqué aux jambes de feu ont séduit le sélectionneur et gagné leur place au cours des matchs de préparation.
VII) Les réservistes
En plus de livrer, le 21 août dernier, les noms des 33 heureux élus, Fabien Galthié a annoncé la composition d’un groupe de douze « réservistes ». Ceux-ci sont censés se tenir prêts à rejoindre l’équipe en cas de forfait de dernière minute. L’un d’entre eux, Bastien Chalureau, a d’ailleurs déjà été appelé pour pallier le forfait de Willemse.
VIII) Dupont, vraiment le meilleur joueur du monde ?
Visage clairement identifié, y compris par ceux qui ne suivent les rebonds du ballon ovale que de très loin, Antoine Dupont est souvent désigné comme étant le meilleur joueur du monde. À tort ou à raison ? Chacun est libre de se faire son opinion. Mais toujours est-il que fin 2022, le génial demi de mêlée n’a pas remporté cette distinction honorifique lors des Rugby World Awards. Il a en effet été devancé par l’Irlandais Josh van der Flier.
IX) Jelonch, le come-back fou
Le 26 février dernier, Anthony Jelonch était victime d’une grave blessure au genou gauche contre l’Écosse. Opéré dans la foulée, le troisième ligne de Toulouse et des Bleus s’est fixé comme défi insensé d’être opérationnel pour le Mondial. Une course contre la montre a priori perdue d’avance… Mais que l’ex-Castrais est sur le point de gagner, car sept mois plus tard, il figure dans le groupe retenu par le staff tricolore.
X) Penaud sur les traces de Blanco
Titulaire indiscutable sur l’aile droite, Damian Penaud n’en finit plus de grimper dans la hiérarchie des meilleurs marqueurs d’essais de l’histoire du XV de France. L’ancien Clermontois (29 essais désormais) n’est plus qu’à neuf unités du record, détenu par l’emblématique Serge Blanco (38). Le joueur de 26 ans peut encore se rapprocher du « Pelé du rugby » pendant la compétition. L’égaler, voire le dépasser, ça paraît plus compliqué.
XI) Qui pèse le plus lourd ?
145 kilos. Tels sont les chiffres qui apparaissent quand Uini Atonio monte sur la balance. Le massif pilier rochelais est le joueur le plus lourd du groupe France, qui compte sur lui pour faire la différence en mêlée fermée et causer des dégâts dans les défenses adverses. Parmi toutes les sélections présentes au Mondial, seul le Tongien Ben Tameifuna affiche un poids plus élevé (148 kilos).
XII) Des maillots différents pour les arrières et les avants
Qu’ils soient bleus ou blancs, les maillots portés par les Français au cours du tournoi ne seront pas exactement les mêmes. Des spécificités distinguent en effet les tuniques des trois-quarts de celles des avants. « La matière est très légère et très élastique. On a vraiment la possibilité de l’ajuster très proche du corps pour les arrières, mais les avants, eux, ont besoin d’avoir du grip, notamment pour les prises en mêlée », a révélé Nicolas Jeanjean, le préparateur physique tricolore.
XIII) Un ancien arbitre dans le staff
Après de longues années passées au plus haut niveau, Jérôme Garcès a rangé son sifflet en 2019. Depuis janvier 2021, l’ancien arbitre international fait partie du staff de l’équipe de France. Son rôle ? Aider les joueurs à appréhender au mieux le règlement, ses subtilités et évolutions fréquentes. Histoire d’éviter, autant que possible, les fautes stupides.
XIV) Le QG historique délaissé
Depuis plus de 20 ans, le XV de France a l’habitude de prendre ses quartiers au CNR de Marcoussis, et cela avait notamment été le cas lors de la Coupe du monde 2007. Par souci d’équité vis-à-vis des autres sélections, les Bleus vont cette fois délaisser leur QG historique. Ils ont établi un premier camp de base à Rueil-Malmaison, puis rallieront Aix-en-Provence au milieu de la phase de groupes.
🇫🇷🤩 Aujourd'hui, nous avons participé à la traditionnelle cérémonie officielle d'accueil des équipes à 6 jours de la #RWC2023 !
Un immense merci à tous nos supporters, venus en nombre à Rueil-Malmaison ! 💙🤍❤️#UnisPourUnRêve #NeFaisonsXV #XVdeFrance pic.twitter.com/iFa8nEVefE
— France Rugby (@FranceRugby) September 2, 2023
XV) Les All Blacks, une bête noire récemment vaincue
Affronter la Nouvelle-Zélande en match d’ouverture est tout sauf un cadeau pour la troupe de Fabien Galthié. Surtout que l’historique des affrontements entre les deux sélections bascule nettement en faveur des All Blacks (48 victoires en 62 confrontations). Néanmoins, les Français restent sur un brillant succès face à ce prestigieux adversaire, en novembre 2021 à Saint-Denis (40-25). On remet ça ce vendredi soir ?
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SF