- Vrai Foot Day
- Équipe de France de foot en marchant
- RC Vesoul (2-1)
Vrai Foot Day : L’équipe de France de foot en marchant vient à bout du Vesoul RC
Pour sa cinquième édition, le Vrai Foot Day, fête du foot amateur organisée par So Foot, opposait l’équipe de France de foot en marchant à une équipe composée de joueurs du RC Vesoul. Et les internationaux ont fait parler leur statut sur le gong.
Équipe de France de foot en marchant 2-1 Vesoul RC
Buts : Pascal Françoise (6e) et Tony (18e) pour la France // Nicolas (9e) pour le RC Vesoul
Pour cette cinquième édition du Vrai Foot Day, c’est le foot en marchant qui était à l’honneur. Après un après-midi à guerroyer dans un tournoi réunissant dix équipes, les Walking Dead, formation de licenciés du RC Vesoul, se sont offert le droit de défier l’équipe de France de foot en marchant, vice-championne du monde. Et qui a finalement fait parler la logique en venant à bout de ses adversaires sur le gong (2-1). Si les Bleus font parler leur technique et leur maîtrise de la discipline, les Vésuliens ne s’en laissent pas conter. Le premier frisson est même pour Julien, mais Jacques, dernier rempart de l’équipe de France, sauve les siens (4e). Dommage pour les locaux, qui voient Pascal, buteur en herbe de l’EDF, ouvrir le score dans la foulée (1-0, 6e). Une joie de courte durée, puisque Nico, animateur dans la vraie vie et donc goleador le week-end, s’occupe de remettre rapidement les deux équipes à égalité (1-1, 9e).
Le moment choisi par la grêle pour faire son irruption sur le stade Pierre Roudgé de Pontarcher. Alors que chacun cherche un abri, les protagonistes continuent leur empoignade et les occasions se succèdent de part et d’autre. Et alors que sur la touche, tout le monde se demande si la fête doit s’achever par une séance de tirs au but, c’est Tony qui règle la question en offrant la victoire sur le gong aux Bleus (2-1, 19e). « Dernière action ! », réclament les Vésuliens, tout proche de voir Nicolas inscrire un doublé, mais le buteur du jour manque son face-à-face sur le gong. Le moment idéal pour que chacun puisse rentrer se mettre à l’abri après cette belle après-midi à taper dans le ballon… en marchant.
Par Tom Binet, au stade Pierre Roudgé de Pontarcher