Tu sais que tu es fait pour jouer en ACE quand…

… tes placards sont rangés par saison, couleur et matière.

… tu es toujours bien placé dans le métro/bus. La diagonale du bonheur.

… tu écoutes beaucoup Ace of Spades et Ace of Base. « All that she wants is another baby. She’s gone tomorrow, boy. All that she wants is another baby, yea. »

… tu as toujours été élu délégué de classe, même si tu ne t’es jamais présenté.

… tu as toujours eu un faible pour Pete Sampras et Andy Roddick. Et puis la légende Karlović.

… tu aimes faire des trous en un.

… tu es détective animalier.

… tu collectionnes les récompenses d’employé du mois.

… tu es abonné(e) à toutes les chaînes possibles et imaginables pour regarder le foot. Même MCS.

… tu es toujours partant pour un Trivial Pursuit. En revanche, le Time’s Up te frustre toujours : pas facile de trouver des partenaires à la hauteur.

… tu joues de la guitare. De la mauvaise main. Et très bien.

… tu préfères les portions individuelles.

… tu honnis la passe en retrait.

… tu n’aimes pas trop les offres duo.

… tu passes beaucoup de temps devant ton miroir.

… tu parles tout seul.

… hormis le sport, tu préférais l’histoire à l’école. Alexandre le Grand, les Pharaons, tout ça, ça te parle.

… tes parents sont fiers de toi.

… tu roules en allemande.

… tu es du côté de la tortue. Depuis le début.

… « Une soirée ? Comment ça une soirée chéri(e) ? Tu sais bien qu’il y un Twente-NAC Breda ce soir. »

… tu ne pleures pas devant La Liste de Schindler ou La vie est belle, mais la musique de la Ligue des champions, ça te fait toujours un truc.

… tu aimes les valeurs sûres. D’ailleurs, tu choisis toujours le vin en fonction des médailles.

… tu n’es jamais choisi en premier. Parce que c’est toujours toi qui fait l’équipe.

… tu es fidèle.

… au zoo, tu ne supportes pas les otaries.

… tu as largement plus de maillots que de chemises. Une pour les soirées, une pour les cérémonies, ça suffit.

… tu crois fermement en la méritocratie.

… tu n’as pas besoin d’aide, mais tu en offres souvent.

… la Serie A reste ta référence.

… tu as un plan de carrière.

… tu raffoles du caviar. À la louche.

… tu n’es pas tellement d’accord avec l’esprit de Coubertin. Qu’y a-t-il de plus important que de gagner ?

… tu comprends tout à fait que Redondo ait raté une Coupe du monde pour une histoire de cheveux. D’ailleurs, tu détestes Passarella de tout ton cœur.

… tu ne dis jamais non à une bonne passe.

… tu as longtemps dormi avec un ballon.

… tu es toujours surclassé. Mais jamais sur le terrain.

Paris lâche ses premiers points à Reims