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Trois raisons pour lesquelles l’Inter n’a rien à craindre du Bayer Leverkusen

SF
3 minutes

Face au Bayer Leverkusen ce mardi soir (20h45), l’Inter de Simone Inzaghi pourrait faire un grand pas vers le prochain tour en cas de résultat positif. Jusque-là invaincue, voici trois raisons qui laissent à penser que la formation interista va poursuivre son sans-faute.

Trois raisons pour lesquelles l’Inter n’a rien à craindre du Bayer Leverkusen

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→ Parce que l’Inter est une forteresse imprenable

Après déjà cinq journées de Ligue des champions écoulées, quelques mastodontes européens n’ont pas attendu pour faire la démonstration de leur assise défensive. Dans le lot, on retrouve notamment Liverpool, l’Atalanta ou encore Aston Villa qui n’ont jusque-là encaissé qu’un seul petit pion en 450 minutes. Le roi dans le domaine ? Eh bien c’est l’Inter, puisque Yann Sommer, son dernier rempart international suisse, n’a tout simplement pas vu le moindre centimètre de ses filets trembler. Le triple vainqueur de la C1 a fait de la protection de sa cage un art qu’il maîtrise parfaitement sur le Vieux Continent – bien mieux qu’en championnat par ailleurs où il a encaissé un but par match en moyenne – et qui se traduit dans les chiffres par un bilan qui n’a pas grand-chose à envier à celui du Bayer de Xabi Alonso : si le Werkself affiche un impressionnant tableau de chasse avec seulement trois revers sur les 75 derniers matchs qu’il a disputés, l’Inter joue dans la même cour avec cinq défaites sur la même période à son actif. Prêts pour le 0-0 ?

→ Parce que Leverkusen a toujours perdu contre l’Inter

Les fans hardcore de celle qu’on appelle « Ligue Europa » se souviennent tous de ce quart de finale à manche unique époque Covid, à l’été 2020, où les Nerazzurri d’Antonio Conte avaient pu compter sur le jeu de corps de Romelu Lukaku et une frappe de l’extérieur du pied d’un certain Nicolò Barella pour se débarrasser du Bayer, à Düsseldorf (2-1). Mais ce n’était bien évidemment pas la première fois que les deux écuries croisaient le fer lors d’une compétition européenne, d’autant que l’Inter et le Bayer se sont déjà croisés en C1. En 2002-2003, très exactement, où ils s’étaient retrouvés dans la même poule lors de la deuxième phase de groupes (oui, c’est vieux). À l’aller, un doublé de Luigi Di Biagio avait permis à l’Inter de faire la différence (3-2), tandis qu’au retour en Allemagne, le onze dessiné par Héctor Cúper s’en était remis à Obafemi Martins et Emre Belözoğlu pour que l’affaire soit entendue. Trois matchs, trois défaites pour le Bayer, qui n’aborde donc pas cette rencontre avec le fameux avantage psychologique si cher aux grands clubs européens.

→ Parce que Nicolò Barella est le meilleur milieu de terrain du monde

C’est évident qu’il est impossible de ne pas tomber amoureux de Florian Wirtz, oiseau rare dans le football actuel. Tout comme il est impossible de ne pas tomber sous le charme des arabesques de Nicolò Barella. À 27 ans, le vice-capitaine de l’Inter semble plus complet que jamais, et son dernier but fantastique face à Parme en atteste : techniquement, tactiquement, dans le volume de courses, à la finition ou à la dernière passe, Barella n’a plus rien à envier aux meilleurs milieux de terrain du monde.

Barella, qui confiait il y a quelques mois lors d’un large entretien sur Youtube « avoir perdu pendant un temps la passion pour le football », semble avoir totalement retrouvé cette joie qui caractérise son jeu. De là à pouvoir emmener l’Inter au sommet, quinze ans après la dernière fois ? Cela reste à voir.

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SF

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