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Top 7 : Les meilleurs films X sur la Coupe du monde
Le monde du porno le sait très bien : lors d’une Coupe du monde, la pression a vite tendance à monter. Pour la faire retomber, certains producteurs ont d’ailleurs essayé de lier l’utile à l’agréable. Petit florilège des meilleurs films X en rapport avec le Mondial de foot.
Mundial Sex
Par Jim Reynolds, 1990
Un classique du genre. Pour inciter les footballeurs italiens à remporter leur Mondial, le sélectionneur de la Squadra Azzurra leur promet en récompense la Cicciolina et Moana Pozzi. En attendant, elles mouillent le maillot pour fatiguer les futurs adversaires de l’équipe d’Italie. Résultat : éreintés par de trop nombreux coups de reins, un faux Gullit et un faux Maradona ne peuvent empêcher les Italiens de soulever la Coupe du monde. La belle histoire finira en « happy finish » …
Croupe du monde
Par Alain Payet, 1998
Alors que la France découvre Footix, Alain Payet, lui, présente « des pointures internationales championnes du monde de leur catégorie » . Olivia Del Rio et les seins gros comme des ballons de Dolly Golden ne font cependant pas oublier un florilège technique de haute volée. Morceau choisi : « On m’avait dit que tu étais le champion du monde de la petite lucarne… Ouais, mais je suis surtout le spécialiste du poteau rentrant… » Voilà, voilà…
Championnes du monde
Par Gabriel Zéro (cousin de Rocco Siffredi), 2002
Quelques semaines avant la Coupe du monde au Japon et en Corée du Sud, un jeune manager rêve de former une équipe de vainqueurs. Un mercato qui prend la forme d’un casting dépassant très vite le cadre du football. Les nouvelles recrues sont toutes de jeunes demoiselles de l’Est. Les matchs, commentés par Jean-Michel Laqueue et Thierry Rouston, se terminent souvent en orgies. Après ça, évidemment, on peut mourir tranquille.
3 goals à zéro
Par Fabien Lafait, 2002
Pour remporter un match, les membres d’une équipe de filles vont user physiquement leurs adversaires masculins lors des préliminaires de la compétition. Ils auront beau bander leurs muscles endoloris et tirer leurs crampes dans les vestiaires, ils ne pourront éviter la branlée. Une tactique qui tient en quelques mots (aspirer l’adversaire, écarter, percuter) pour une victoire 3 gaules à zéro. Le clin d’œil au 3-0 de la France contre le Brésil lors de la finale de 1998 s’arrête là, puisque le I Will Survive des Bleus est remplacé par les filles du film par une autre chansonnette : « Une p’tite bite, hourra ! » Ça ne s’invente pas.
Tirs au but
Par Silvio Bandinelli, 2003
Drôle et confondant. Le transfert de l’attaquant serbo-moldave homosexuel Sergei Smolenko, dit « l’Équarisseur » , met en émoi deux clubs rivaux du Calcio (le Dynamo et la Gaillarde de Toscane). Malgré le fait que l’intrigue ne tourne pas autour de la Coupe du monde, il faut tout de même noter la présence de M. Collino, arbitre corrompu par la femme du président de la Gaillarde, qui lui caresse le chauve pour favoriser la victoire de l’équipe de son mari. Le film se termine tout de même par une réclame pour la « Asian 2002 Fica World Cup » . Traduisez : « La Coupe du monde de founes 2002 en Asie » . Très fin.
Copa do sexo
Par Don Picone, 2014
Réalisé avant le Mondial 2014, le film brésilien met en scène cinq filles affublées de maillots de l’Italie, de l’Espagne, du Brésil, de l’Argentine et de l’Allemagne. Après une heure et demie de gestes techniques incroyables, le boulard se termine sans qu’aucune d’entres elles ne soulève la moindre Coupe du monde. Pas de jalouses. Et pas de jaloux non plus, puisqu’on ne voit pas les acteurs. Il faut dire que le film a été tourné en POV. Un parti pris artistique ? Plutôt une précaution prise par le producteur Clayton Nunes : « On avait eu des problèmes avec la justice après avoir utilisé un sosie de Cristiano Ronaldo, dans un film précédent, explique-t-il. Le POV était un moyen de dribbler ce genre de soucis. On ne pouvait pas non plus utiliser les maillots officiels ou les produits siglés FIFA, mais malgré ces contraintes, le film est plutôt satisfaisant. » Plus, en tout cas, que la performance auriverde à la vraie Coupe du monde 2014.
Scandale aux vestiaires
Par Liselle Bailey, 2018
« Bienvenue dans le monde du football professionnel ! Dans cet univers masculin, la plantureuse Liza Del Sierra devient l’agent de joueur la plus influente. » Voilà le pitch annoncé par Dorcel productions. S’il n’est pas vraiment question de Coupe du monde, le film, sorti début juin 2018, tente évidemment de surfer sur la fièvre mondialiste. Pour faire valider sa nouvelle performance, la plantureuse Liza Del Sierra a même contacté Sinama Pongolle sur Twitter. Très pro, l’ancien international français s’est contenté de lui demander si elle avait fait « un recrutement pour le titre ou la relégation » . Oui, c’est sérieux, le foot Madame Del Sierra.
Scandale aux vestiaires…. cc @sinamapongolle4 jsuis agent de joueur mtnt LOL ? à St Leonard’s… https://t.co/Ajm1r5RNf9
— Liza del Sierra (@lizadelsierra) 2 novembre 2017
Par Ramon Jabugo et RP