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Top 1000 : les meilleurs joueurs du championnat de France (920-911)

Par Quentin Ballue, Jérémie Baron, Adel Bentaha, Raphaël Brosse, Clément Gavard et Steven Oliveira, avec toute la rédaction de SF

Quel est le meilleur joueur de l'histoire du championnat de France depuis sa création en 1932 jusqu'à 2022 ? Statistiques, palmarès, trajectoires personnelles, classe, dégaine, empreinte laissée : autant de critères qui nous ont permis d'établir notre classement très subjectif des mille joueurs les plus marquants de Division 1 et de Ligue 1. Le credo d'un feuilleton qui va durer précisément 100 jours.

1000
Fabrice Apruzesse
999
Rodéric Filippi
998
Marcel Langiller
997
Sébastien Roudet
996
Helenio Herrera
995
Serge Lenoir
994
Alexy Bosetti
993
Dominique Casagrande
992
Stéphane Dedebant
991
Yann Bodiger
990
Jacques Glassmann
989
Apoula Edel
988
Édouard Wojciak
987
Koji Nakata
986
Ronald Zubar
985
Juan Pablo Sorín
984
Christophe Kerbrat
983
Ali Ahamada
982
André Grillon
981
Kalman Gerencseri
980
Nicolas Marin
979
Franck Durix
978
Laurent Bonnart
977
Angelo Hugues
976
Diego Carlos
975
Jérémie Janot
974
Yeso Amalfi
973
Youssef El-Arabi
972
Xercès Louis
971
Amara Diané
970
Santos
969
Dianbobo Baldé
968
Albert Rohrbacher
967
Paul Georges Ntep
966
Alexander Vencel
965
Kevin Anin
964
Anthony Bancarel
963
Mido
962
Louis Provelli
961
Joël Tanter
960
Rafik Saïfi
959
Abdallah Liégeon
958
Fabien Lemoine
957
Jacques Abardonado
956
Victor Agali
955
Nolan Roux
954
Gilles Hampartzoumian
953
Saber Khlifa
952
Armand Penverne
951
Eddy Capron
950
Daniel Cousin
949
Maurice Gransart
948
Bacary Sagna
947
Demetrius Ferreira
946
Bruno Rodzik
945
Lamine Diatta
944
Jairzinho/Paulo César
943
Fernando Morientes
942
Guillermo Ochoa
941
Gabriel Lalloué
940
Jocelyn Blanchard
939
Dimitar Berbatov
938
Petr Cech
937
Pierre Neubert
936
Daisuke Matsui
935
Henri Guérin
934
David Ducourtioux
933
Olivier Sorlin
932
Pépi Humpal
931
Jérémy Clément
930
Vagiz Khidiyatullin
929
Alphonse Le Gall
928
Mohamed Chaouch
927
Dario Cvitanich
926
Didier Notheaux
925
Sylvain Legwinski
924
Lionel Charbonnier
923
David Hellebuyck
922
Jaouad Zaïri
921
Grégory Wimbée
920
Sékou Touré
919
Martin Braithwaite
918
Gaël Danic
917
Serge Dellamore
916
Carlos Eduardo
915
Salah Assad
914
Omar Sahnoun
913
Ousmane Dembélé
912
Dimitri Liénard
911
Étienne Sansonetti
910
Aulis Rytkönen
909
Yannick Cahuzac
908
Ljubomir Mihajlovic
907
Ederson
906
Jean-Pierre Posca
905
Benjamin Bourigeaud
904
Boro Primorac
903
Dante
902
Kaba Diawara
901
Yves Mariot
900
Philippe Christanval
899
Alban Lafont
898
Lionel Mathis
897
Malcom
896
Milan Bisevac
895
Ali Bouafia
894
Maurice Bouquet
893
Tulio De Melo
892
Joël Tiéhi
891
Jules Sbroglia
890
Lucas Bernardi
889
Hamada Jambay
888
Nicolas Pallois
887
Michel Rio
886
Vladan Lukic
885
Marc-Vivien Foé
884
Johnny Ecker
883
Guillaume Hoarau
882
Jérôme Bonnissel
881
Matt Moussilou
880
Ilan
879
Patrick Regnault
878
Enzo Francescoli
877
Ibrahima Bakayoko
876
Zvonko Ivezić
875
Sammy Traoré
874
Youssouf Hadji
873
Jean-François Larios
872
Aleksandr Mostovoï
871
Jean-Pierre Tempet
870
Nicolas Savinaud
869
Bernard Bureau
868
Bruno Grougi
867
René Alpsteg
866
Cédric Barbosa
865
Louis Marcialis
864
Vicky Peretz
863
Olivier Echouafni
862
Bonaventure Kalou
861
Aljoša Asanović
860
Younès Belhanda
859
Cédric Hengbart
858
Bruno & Pascal Zaremba
857
Joël Henry
856
Jean-Alain Boumsong
855
Fred
854
Erwin Kostedde
853
Bernard Mendy
852
Brandão
851
Jacques Laposte
850
Téji Savanier
849
Patrick Delamontagne
848
Wahbi Khazri
847
Nordine Kourichi
846
Mevlüt Erding
845
Bruno Carotti
844
Fernando Cavenaghi
843
Alain Fiard
842
William Ayache
841
Javier Pastore
840
Alexei Smertin
839
Rémy Vercoutre
838
Pascal Despeyroux
837
Roger Mendy
836
Francis Méano
835
Philippe Redon
834
Yohan Demont
833
Luiz Gustavo
832
Curt Keller
831
Aziz Bouderbala
830
Anthony Lopes
829
Romain Danzé
828
Antoine Bonifaci
827
Benoît Tihy
826
Jérémy Ménez
825
Fodé Mansaré
824
André Ayew
823
Seth Adonkor
822
Nicolas Seube
821
Louis Floch
820
Andreas Köpke
819
Steve Marlet
818
Jürgen Klinsmann
817
François Denis
816
Pantxi Sirieix
815
Renato Civelli
814
Geoffrey Jourdren
813
Cédric Mionnet
812
Jacek Ziober
811
Ireneusz Jeleń
810
Sébastien Puygrenier
809
Thierry Bonalair
808
Taye Taiwo
807
Ludovic Obraniak
806
Cheick Diabaté
805
Danijel Ljuboja
804
Roger Jouve
803
Patrice Carteron
802
Adil Rami
801
Claude Breny
800
Olivier Kapo
799
Franck Beria
798
Marvin Martin
797
José Souto
796
Lucien Laurent
795
Achille Emana
794
Andy Delort
793
Louis Pinat
792
Camel Meriem
791
Viorel Moldovan
Sékou Touré

#920 - Sékou Touré

Sékou Touré Alès (1958-1959), Sochaux (1959-1960), Montpellier (1961-1962), Grenoble (1962), Nice (1962-1963), Nîmes (1963-1964)

Sékou Touré, côté pile : six clubs différents avec lesquels il a scoré en première division, une saison 1961-1962 de folie avec 25 caramels en seulement 36 rencontres et un titre de meilleur buteur du championnat pour l’Ivoirien d’un mètre 65, ce que seuls trois autres Africains réussiront (les Sénégalais Jules Bocandé, Mamadou Niang et Moussa Sow). Il inscrira au total la bagatelle de 45 pions en 61 apparitions sous le maillot du Stade Olympique Montpelliérain (ancêtre du MHSC) et s’éteindra le 2 avril 2003, à 68 ans. Sékou Touré, côté face : un attentat en bonne et due forme sur Just Fontaine, le 20 mars 1960 lors d’un Sochaux-Reims, qui écartera le goleador français des terrains jusqu’en décembre (double fracture de la jambe gauche) et participera surtout à mettre un terme prématurée à la glorieuse carrière de « Justo », en 1962. « C’était une époque où tu pouvais changer l’issue d’un match avec ce genre de « blessure », faute de remplaçants. Tiens, par exemple, moi, j’ai eu la jambe cassée en mars 1960 par un autre avant-centre que je n’aurais jamais dû croiser, a priori » , témoignait amèrement Fontaine pour So Foot, en 2014. La fameuse faute d’attaquant, un concept qui ne date pas d’hier.

Martin Braithwaite

#919 - Martin Braithwaite

Martin Braithwaite
Toulouse (2013-2017), Bordeaux (2018)

Coupe afro, dreadlocks ou encore cheveux rasés de près : Martin Braithwaite a des choix capillaires très changeants. Mais sa place dans le cœur des supporters toulousains, elle, reste intacte. Aussitôt arrivé, le Danois n’a aucun mal à être adopté par les habitués du Stadium, qui affectionnent son goût de l’effort, sa combativité… et sa faculté à être décisifs dans les matchs qui comptent. Au sein d’un TFC brinquebalant, plus souvent engagé dans d’éprouvantes luttes pour le maintien que calé dans le ventre mou, l’attaquant scandinave est l’un des rares piliers sur lesquels il est possible de se reposer. Pascal Dupraz donne même le brassard de capitaine à celui qui tiendra un rôle-clé dans la folle opération maintien de 2016. Nul doute que le natif d’Esbjerg, devenu depuis persona non grata au Barça, doit parfois repenser avec nostalgie à ses années haut-garonnaises.

Gaël Danic

#918 - Gaël Danic

Gaël Danic Rennes (2000-2002), Guingamp (2002-2003), Troyes (2005-2007), Valenciennes (2008-2013), Lyon (2013-2015), Bastia (2015-2017)

Pendant ses jeunes années en centre de formation de Rennes, Gaël Danic est parfois tenu à l’écart du onze de départ. En cause : son gabarit, jugé trop frêle par ses entraîneurs. Cela n’empêche pas le Vannetais, son pied gauche soyeux et sa vision aiguisée du jeu de disputer 338 matchs dans l’élite du football français. Au pic de sa forme, le milieu offensif fait les beaux jours de Valenciennes. Son influence sur le collectif nordiste n’échappe par à l’OL, qui l’attire en 2013. Ce transfert restera un flop, mais l’ex-Troyen ne le regrette absolument pas. « Ma plus grande fierté est d’avoir signé à Lyon à l’âge de 32 ans, alors qu’on considère qu’à 30 ans, les joueurs sont has-been. Ça s’est passé moyennement, mais c’était une mise en danger et si c’était à refaire, je le referais » , avoue-t-il au Télégramme. Le goût du risque.

Serge Dellamore

#917 - Serge Dellamore

Serge Dellamore
Sedan (1968-1971 puis 1972-1973), Paris FC (1973-1974), Nîmes (1974-1978)

En plus d’avoir un blase très sexy, Serge Dellamore fait partie de ces joueurs qui ont passé la quasi-intégralité de leur carrière en première division. Lui n’a pas attendu d’avoir 20 ans pour découvrir l’élite du football français. Après l’avoir supervisé à plusieurs reprises, Louis Dugauguez, le coach de Sedan, se pointe chez le jeune garçon de 16 ans, en Lorraine, pour lui annoncer son envie de le voir évoluer avec les Sangliers. Un rêve éveillé pour ce gamin doué, et dont la précocité lui permet de faire ses débuts en D1 dès ses 18 piges. D’entrée, il s’impose comme un titulaire indiscutable dans l’équipe sedanaise, dont il fait le bonheur pendant un quinquennat en plantant 46 buts en une centaine de rencontres, dont 16 lors de l’exercice 1971-1972. Il n’en faut pas plus pour que l’attaquant tape dans l’œil des grosses écuries, et c’est au Paris FC qu’il atterri, le club francilien dépensant même 35 millions d’anciens francs pour l’attirer dans ses filets. Loin de son premier amour ardennais, celui dont le pêché mignon était de marquer… des corners rentrants continue de s’amuser pendant quelques années au plus haut niveau avec Nîmes, où il pose ses valises au milieu des années 1970. Pas de titre majeur dans sa besace (champion de D2 avec Sedan en 1972, quand même), mais des buts et de beaux souvenirs.

Carlos Eduardo

#916 - Carlos Eduardo

Carlos Eduardo Nice (2014-2015)

Le souvenir du dernier quintuplé en Ligue 1 commençait doucement à se dissiper, quand Carlos Eduardo est sorti de sa boîte. Ce 26 octobre 2014, le Brésilien accomplit ce que le championnat de France n’avait plus vu depuis trente ans en marquant à cinq reprises lors d’une démonstration de force face à Guingamp (2-7). Un match au cours duquel il inscrit la moitié de la totalité de ses buts sous le maillot de l’OGC Nice, où il ne restera qu’une seule saison. Dépité, le gardien adverse Jonas Lössl en jettera ses gants à la poubelle. « Je ne dirais pas que je me sentais intouchable, mais j’avais quand même la sensation d’être touché par la grâce de Dieu ce soir-là ! » , glissera-t-il à So Foot. Sachez qu’il court toujours en ce moment, à 32 ans, étant sous contrat avec Botafogo.

Salah Assad

#915 - Salah Assad

Salah Assad
Mulhouse (1982-1983), PSG (1983-1984)

Le Paris Saint-Germain et la Ligue 1 n’ont pas attendu Ronaldinho pour voir des virgules. Bien avant le Brésilien il y a eu Salah Assad et son El Ghoraf, ancêtre de l’elastico. Malheureusement, le PSG – qui rêvait d’une association avec Mustapha Dahleb – n’a pas eu la meilleure version du Rouget puisqu’il n’a pu disputer que neuf rencontres lors de son unique saison dans la capitale en raison d’un genou abîmé. Un an plus tôt, Mulhouse s’est en revanche régalé avec l’attaquant algérien, auteur de 13 buts en seulement 26 rencontres de Division 1, soit plus que Alain Giresse, Delio Onnis ou encore Dominique Rocheteau. Et ce, alors que l’équipe de Jean-Marc Guillou, promue, n’est jamais sortie de la zone de relégation. À Mulhouse, que Salah Assad a rejoint après avoir obtenu une dérogation auprès du président Chadli Bendjedid pour lui permettre de quitter le pays avant ses 28 ans – la révélation du Mondial 82 ne s’est pas contentée de faire des virgules et de rendre fous les défenseurs adverses, Assad a aussi tourné, comme nombreux de ses coéquipiers, dans le téléfilm « Trois morts à zéro » avec Guy Marchand qui a pour synopsis : « Les joueurs d’une équipe de football deviennent la cible d’un mystérieux tueur. » Décidément, Ronaldinho lui a tout copié en jouant plus tard dans Trois Zéros.

Omar Sahnoun

#914 - Omar Sahnoun

Omar Sahnoun
Nantes (1972-1979), Bordeaux (1979-1980)

« Un Zidane avant l’heure » , dira de lui Michel Platini. Qu’ajouter après ça ? Formé à Beauvais, Omar Sahnoun se révèle au grand jour avec le FC Nantes, inscrivant notamment 15 buts sur la route du titre en 1975-1976. Habile techniquement, il rayonne à côté de Henri Michel. Contraint de mettre sa carrière sur pause pendant plusieurs mois en raison d’un malaise cardiaque en 1977, Sahnoun succombera malheureusement à une nouvelle attaque en 1980, à seulement 24 ans. Preuve qu’il n’a pas été oublié, un stade porte son nom à Beauvais. Et cette place dans un top 1000 est amplement méritée.

Ousmane Dembélé

#913 - Ousmane Dembélé

Ousmane Dembélé Rennes (2015-2016)

Dire que le championnat de France aurait pu ne jamais connaître Ousmane Dembélé. À l’été 2015, la jeune pépite rennaise boude dans son jardin familial en Normandie, où il s’entraîne, alors que Philippe Montanier et son staff préfèrent prendre leur temps avant de le lancer dans le grand bain. Le gamin est même annoncé au Red Bull Salzbourg ou encore à Benfica, mais le début de son histoire s’écrira finalement chez les Rouge et Noir. Elle sera aussi courte qu’intense : de ses débuts dans l’élite en novembre 2015 à son départ pour Dortmund un peu plus de six mois plus tard, Dembélé a fait tout ce qu’il faut pour se présenter au monde du football. Douze buts, cinq passes décisives et des grands frissons pour régaler les amoureux du Stade rennais. Dès sa première titularisation contre Bordeaux, il trouve le chemin des filets. Le début de la folie « Dembouz » dans l’Hexagone, où il se fait un peu plus remarquer à la fin de l’hiver en signant un triplé d’anthologie dans le derby contre Nantes, puis en réalisant une performance XXL lors d’une démonstration bretonne au Vélodrome. L’attaquant de 18 ans sème un vent de fraîcheur sur la Ligue 1 : il ne sait pas s’il est droitier ou gaucher (non, non, ce n’est pas juste une punchline sortie du tube de Vegedream), il saute dans les bras d’une trentaine de supporters rassemblés dans un contre-parcage derrière la main courante après un pion à Guingamp, et semble se balader sur les pelouses de L1 comme il le ferait dans son quartier. Il tire finalement sa révérence en claquant un doublé contre Reims, avant de disparaître lors des six dernières rencontres de la saison, avec son futur transfert à Dortmund qui lui trotte dans la tête. C’est donc ça, une étoile filante.

Dimitri Liénard

#912 - Dimitri Liénard

Dimitri Liénard Strasbourg (2017-)

Dimitri Liénard ne pensait jamais pouvoir fouler un jour une pelouse de Ligue 1. Que ce soit à 15 ans lorsqu’il s’est fait recaler par Sochaux. Ou à 24 ans lorsqu’il évoluait en CFA du côté de Mulhouse et jonglait avec un boulot à Valdoie où il devait se lever à 6h du matin pour remplir le rayon liquide. Sauf que le destin en a voulu autrement. Recruté par Strasbourg, alors en National, Dimitri Liénard participe à la remontée du club alsacien jusqu’en Ligue 1. Un championnat qui ne sera pas trop grand pour sa patte gauche. À l’image de ce coup franc envoyé en pleine lucarne lors de l’avant-dernière journée du championnat pour offrir la victoire au Racing à la dernière seconde face à l’Olympique Lyonnais, et surtout le maintien dans l’élite. Si Strasbourg est désormais plus proche de l’Europe que de la zone de relégation, c’est en grande partie grâce à Liénard qui était là en National et qui sera là en Coupe d’Europe.

Étienne Sansonetti

#911 - Étienne Sansonetti

Étienne Sansonetti
OM (1958-1963), Valenciennes (1964-1965), Angers (1965), Ajaccio (1967-1969 puis 1970-1972)

Le nom chantant d’Étienne Sansonetti sera à jamais associé à l’AC Ajaccio. Révélé à l’OM, où il jouera cinq saisons mais seulement deux en D1 (36 matchs en 1958-1959 puis 1962-1963), le Marseillais de naissance enchaînera par la suite à Valenciennes et Angers. Pourtant, c’est bien à l’ACA qu’il laissera sa plus belle impression, à partir de 1967, terminant meilleur buteur du championnat (26 realisations), dès sa première saison. Le Roi Sanso reste ainsi, et à ce jour, le seul joueur évoluant dans un club corse à être parvenu à pareil exploit dans l’histoire du football français. Disputant 125 rencontres en quatre ans, entrecoupés d’un passage furtif à Monaco, le goleador a donc marqué son passage acéiste au sens propre comme figuré. On lui pardonnerait presque ses piges à Bastia et au Gazélec.

Par Quentin Ballue, Jérémie Baron, Adel Bentaha, Raphaël Brosse, Clément Gavard et Steven Oliveira, avec toute la rédaction de SF

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