- Publi-rédactionnel
Top 10 : Ils portent le protège-tibia baissé
Il n'y a encore pas si longtemps, le footballeur ne voyait pas la nécessité de protéger la partie inférieure de ses jambes en y apposant des bouts de plastique, notamment celui qui jouait librement, chaussettes baissées et tête levée. Mais depuis la Coupe du monde 1990, la FIFA a rendu obligatoire le port du protège-tibia. Ce qui n'empêche pas certains électrons libres du football de continuer à porter la chaussette et, par extension, le protège-tibia baissé.
Laurent Blanc
Depuis son poste de libero suranné, Laurent Blanc a été royal au sein de toutes les défenses qu’il a dirigées, au premier rang desquelles celle de l’équipe de France avec laquelle il remportera la Coupe du monde 98 et l’Euro 2000. Avant ça, Laurent Blanc jouait meneur de jeu lors de ses jeunes années au Montpellier Hérault, à l’époque Montpellier Paillade Sports Club. Difficile dans ces conditions de ne pas porter le protège-tibia au fond des chaussettes. Comme quoi, on peut être « Président » et avoir l’air négligé.
Juan Sebastián Verón
Boule à zéro, petit bouc bien taillé et boucle de marin à chaque oreille : Juan Sebastián Verón, c’est une certaine idée du footballeur argentin. Un homme prêt à mourir sur le terrain, capable d’envoyer du bois aux adversaires comme des caviars aux coéquipiers, mais un homme qui a également toujours eu l’air de s’en foutre un peu, d’Estudiantes à Manchester United, en passant par l’Albiceleste. La faute à des protège-tibias portés trop bas, peut-être ?
Rui Costa
Pendant plus d’une décennie, Rui Manuel César Costa a été le maître à jouer au pied de velours et aux chaussettes microscopiques d’une équipe du Portugal qui aurait sans doute mérité mieux qu’une simple place de finaliste de « son » Euro en 2004. Pour compenser, le natif d’Amadora remportera Coupes d’Italie, Scudetti et une Ligue des champions, d’abord à Florence, puis à Milan. Deux villes réputées pour leur sens du bon goût. CQFD.
Thomas Müller
Personne n’a encore résolu l’énigme de savoir où – et même parfois de comment – Thomas Müller évoluait sur un terrain de football de haut niveau. Il n’empêche, le héron allemand a de l’or dans des pieds surmontés de protège-tibias qui viennent lui chatouiller le métatarse à chaque match du Bayern Munich ou de la Mannschaft.
Rigobert Song
L’ancien défenseur de Metz et capitaine du Cameroun a toujours aimé les facéties vestimentaires ou capillaires. Beaucoup se rappellent encore de ses crampons bicolores au Mondial 98 ou de sa teinture blonde intégrale en 2010. Mais il y en a une que le Lion indomptable a gardé tout au long de sa carrière, sans jamais tomber dans le fashion faux pas : celle de porter le protège-tibia à mi-mollet, qu’importe l’enjeu et l’adversaire.
Jack Grealish
« C’est une superstition que j’ai suivie toute ma vie et je compte bien poursuivre ainsi. » C’est en ces mots que s’est exprimé Jack Grealish, ailier irlandais seulement âgé de vingt ans, lors de sa première titularisation avec Aston Villa. Quelle superstition ? Celle de porter les chaussettes baissées, au risque d’effrayer les observateurs de Premier League, pas le dernier des championnats quand il s’agit de faucher en plein élan. Mais point d’inquiétude : le n°40 des Claret and Blue porte des protège-tibias quasiment invisibles, qu’il va chercher au rayon enfant de son magasin de sport.
Francesco Totti
Rome est éternelle. Et du bout de ses vingt-quatre saisons, Francesco Totti aussi : plus de 800 matchs joués entre l’AS Roma et la sélection italienne pour plus de 300 buts. Avec, à chaque fois, un petit bout de protège-tibia qui dépasse de ses bas giallorossi ou azzuri. La classe à l’italienne.
Marek Hamšík
Si le look de Marek Hamšík peut parfois en faire frémir plus d’un, le milieu de 28 ans peut néanmoins s’en remettre à ses guêtres quand il s’agit de flatter les amateurs de football classieux, quand il ne s’agit pas des grandes ogives qu’il envoie dans les lucarnes adverses. Pour la légende, son statut de capitaine du Napoli et de la sélection slovaque font le reste du boulot.
Bakari « Baky » Koné
Son gabarit de poche (1,64m) aurait pu laisser croire que l’Éléphant ivoirien aux 43 sélections rentre chaque samedi sur un terrain avec des protections dignes de la NFL. Que nenni ! L’ancien Aiglon niçois, également passé par l’OM, a pris pour habitude d’éviter les coups bas pour porter des protège-tibias qui le sont tout autant. Après tout, quoi de plus pour un éléphant que de tromper les défenses.
Diafana Fixer
Porter les protège-tibias baissés, c’est bien. Les porter à hauteur de tibia, c’est mieux ! Aussi, il est devenu nécessaire de porter des maintiens de protège-tibias de la même couleur que ses chaussettes depuis 2009, parole de la FIFA. C’est la raison pour laquelle Diafana a créé le Fixer, un maintien de protège-tibia « made in France » capable de tenir pendant 340 heures de jeu, soit 170 matchs. Bien mieux que l’habituelle bande de Velcro qui ne dure parfois même pas le temps d’une mi-temps.
== En savoir plus sur les produits DIAFANA
Par MR