Top 10 : Football et tour Eiffel

1. Zlatan Ibrahimović

Quand QSI frappe fort sur le marché des transferts en juillet 2013 avec l’arrivée de Zlatan Ibrahimović, les dirigeants décident de frapper fort aussi. Ibra ne peut pas être présenté dans l’auditorium du Parc des Princes. Ibra mérite mieux. Ibra mérite grand. Ibra mérite les 324 mètres de hauteur de l’édifice. Devant le bijou du 7e arrondissement, le Suédois s’offre une série de jongles, un bain de foule et un traitement de star. Normal.

2. Safet Sušić

30 ans avant le Z, Paris avait déjà un bijou originaire des Balkans. Safet Sušić, l’homme qui a donné une certaine classe aux chaussettes baissées, posait fièrement devant la tour avec Thierry Roland. Safet, le magicien du Parc. La première grande star du PSG. Un homme capable de jongler dans les ascenseurs et de tenter un petit pont dans les escaliers rendus célèbres par le James Bond Dangereusement vôtre. Sur la photo, on note le petit pull sur les épaules de Sušić. La casquette à l’envers des bourgeois.

3. Mevlüt Erding

Avant Ibra, Thiago Silva et Marco Verratti, il y avait le PSG de Colony Capital. C’était le trident Erding-Sessègnon-Hoarau. Quand le Turc délaisse Sochaux pour la capitale, il troque les usines Peugeot pour la tour de plus de 300 mètres. Aurait-il cadré une frappe entre les jambes de la demoiselle ? Bonne question.

4. Javier Pastore

42 millions, un transfert record en 2011, une certaine idée de la classe, forcément, quand Pastore se rend dans le 7e arrondissement, il ne pose pas vulgairement avec son maillot floqué. Non, Pastore pose avec une veste, le regard au loin, le sourire apparent et le petit filtre Instagram qui va avec. Bref, classe.

5. Les Brésiliens de QSI

Une chose est sûre, la communication du PSG ne s’est pas trop foulée pour présenter les Brésiliens du club. Après tout, pour les Sud-Américains, Paris c’est avant tout la tour Eiffel. Que ce soit David Luiz, Marquinhos ou encore Lucas Moura, la photo tour Eiffel est un passage obligatoire dans la capitale. C’est la famille.

6. Gérard Houllier

Premier entraîneur à être sacré champion de France avec le PSG en 1986, Gérard Houllier avait fait du club de la capitale une formidable machine à gagner. Jeune coach à l’époque, Houllier s’est vraiment lancé dans le métier durant son passage dans la ville lumière. En revanche, on se rend compte à son pull fait main que le monsieur vient du Nord. Kiabi, la mode à petit prix. Ou la quintessence des années 80 avec ce pull façon Mondrian.

7. Pavel Nedvěd

Oui, le Ballon d’or 2003 ressemble à un prêtre sur cette photo. Star de la Lazio Rome dans les 90’s, le Tchèque va prendre une autre dimension lors de son arrivée à Turin, en 2001, pour remplacer Zidane parti au Real Madrid. Quand il devient Ballon d’or deux ans plus tard, le milieu de terrain s’offre une virée sur la place du Trocadéro, la tour Eiffel en arrière-plan. Parfait pour la postérité.

8. Marco Verratti et Ezequiel Lavezzi

Entre l’Italien et l’Argentin, une vraie amitié existe depuis leur arrivée dans la capitale en 2012. Quand les deux potes s’offrent des virées sur les bords de Seine, ils trouvent toujours l’endroit parfait pour une photo nocturne. Tout est beau : les sourires, les lumières, l’éclairage de la Dame de fer et les dégaines. Paris by Night.

9. Falcao

Radamel a toujours eu des choix de carrière douteux. Voilà pourquoi, à 29 ans, il n’affiche que 8 matchs de Ligue des champions au compteur. En revanche, quand il s’agit de partir en vacances, le Colombien vise juste : Paris, la ville la plus visitée du monde. Et bien entendu la tour Eiffel, deuxième site le plus vu de Paname après Notre-Dame de Paris.

10. Kevin Durant

MVP 2014 de la NBA, le meilleur marqueur de la ligue nord-américaine en 2010, 2011, 2012 et 2014 se met à la page quand il débarque à Paname. Un maillot du PSG, la Seine pas loin, un filtre Instagram de beau gosse et la tour Eiffel derrière. Bref, I love this game.

Bonus : la folie du titre de 2013

Champion de France en 2013, le PSG s’était payé deux folies en une journée : un bordel monstre au Trocadero pour afficher l’Hexagoal devant la tour Eiffel et une coupe de cheveux très « Eiffelienne » de Mamadou Sakho pour l’occasion.