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Revivez Rennes – Paris S-G (0 – 4)
Sans forcer et avec autorité, le Paris Saint-Germain s’est baladé, ce mercredi soir, face à Rennes (4-0). Emmené par un Julian Draxler très en verve et auteur d’un doublé, le club de la capitale a profité de l’apathie bretonne pour dérouler son jeu. Une prestation aboutie et immaculée qui devrait ravir au plus haut point Unai Emery. C’est tout pour moi ce soir les lascars, on se retrouve très vite pour de nouvelles aventures. Bises et soyez sages !
C’est terminé au Roazhon Park, le PSG ne fait qu’une bouchée de Rennes (4-0) et se qualifie pour les 8es de finale de la Coupe de France !
GOOOOOOAL DE BEN ARFA ! Paris porte l’estocade à Rennes (4-0) !
Sur une passe subtile de Pastore dans le dos de la défense rennaise, Ben Arfa se présente seul face à Costil et trompe le portier d’une frappe du gauche à ras de terre.
Les supporters rennais ont pour beaucoup délaissé le Roazhon Park. L’enceinte bretonne est désormais largement clairsemée…
Pastore, c’est régalade depuis son entrée en jeu. Des décalages et des caviars à foison. Du velours, putain.
Plus que cinq minutes avant la fin du temps réglementaire. Vivement que ça se termine pour la troupe de Gourcuff…
Ben Arfa prend sa chance à son tour mais ça flirte avec le montant droit de Costil !
Petite passe à dix pour les Parisiens. Ça joue sur un rythme de sénateur et ne comptez sur Rennes pour venir les contrarier, hein.
Bel arrêt de Costil devant Lucas, qui avait été servi parfaitement par Maxwell depuis la gauche.
La rideau est définitivement baissé pour les Bretons. Les Parisiens, eux, ont encore vingt minutes pour s’amuser et donner plus d’ampleur au score.
GOLAZOOOO DE DRAXLER ! L’Allemand claque son doublé et Paris mène désormais 3-0 !
Servi à gauche par Ben Arfa près de la surface, Draxler s’applique pour frapper à ras de terre et tromper Costil sur sa gauche.
Javier Pastore se prépare les enfants ! El Flaco si back !
On ne va pas se mentir, il ne se passe plus grand-chose. Paris gère la rencontre en patron et Rennes tente timidement de réagir.
Tentative de Prcic dont la frappe passe de peu sur la gauche d’Areola. Début de réaction des Bretons ou simple sursaut ?
À l’entrée de la surface, Sio claque une frappe à ras de terre. Areola se couche bien sur sa droite. Et arrête une tentative, oui, c’est possible.
Aux abords de la surface, Diakhaby envoie un centre en retrait. C’est repoussé par Kimpembe.
Sinon les cailles, vous suivez quelques séries en ce moment ? Des idées à soumettre ?
Oh la frappe manquée de Nkunku ! Le jeune parisien a trop croisé sa frappe alors qu’il avait été idéalement servi par Ben Arfa. Costil peut s’estimer heureux…
C’est quand même sacrément triste Rennes ce soir. Aucune envie, aucune solidarité. Les types sont en roue libre totale.
Intervention pleine d’autorité d’Aurier devant Hunou, qui avait été servi par Diakhaby depuis le côté droit.
C’est reparti au Roazhon Park ! 
Puisque les Rennes ont été en dessous de tout, ça me fait repenser à cette perle de Philippe Russo. Oui, un tube oublié des 80’s et une belle bouse, vous pouvez le dire.
Au terme de quarante-cinq premières minutes à sens unique, le Paris Saint-Germain mène sans forcer face au Stade Rennais (0-2). Supérieur techniquement et jamais inquiété, le club de la capitale a ouvert la marque sur un beau but de Draxler puis a doublé la mise grâce à Lucas. Bref, les hommes de Christian Gourcuff ont servi de sparring-partner.
Mi-temps sifflé au Roazhon Park !
Il y aura une minute de temps additionnel. Une minute de calvaire en plus pour les Rennais, oui.
Superbe sortie de Costil en dehors de sa surface pour dégager le cuir devant Lucas, qui était lancé en profondeur.
Côté gauche, Maxwell adresse un superbe centre en retrait. Ben Arfa touche le cuir du bout du pied gauche mais ne peut contrôler correctement.
Bon, voilà, le match est déjà plié. Et au regard de l’équipe alignée par Tonton Gourcuff, ce n’est même pas étonnant.
BUUUUT DE LUCAS ! Paris double la mise, 2-0 !
Sur une contre-attaque parfaitement orchestrée, Draxler est sollicité à gauche et prend de vitesse Cavaré. L’Allemands adresse ensuite un centre à ras de terre. Motta se jette mais c’est Lucas qui marque au second poteau, peinard.
J’ai le match en streaming sur mon iPad et sans son, c’est un enfer absolu. Dites-moi que je ne suis pas seul dans cette galère.
Oh la sortie aérienne d’Areloa ! On est passé pas loin d’une nouvelle bévue du gardien parisien. C’est quand même très compliqué ces derniers temps pour Alphonse…
Contre avortée par Rennes. C’est toujours aussi décousu offensivement pour les Bretons.
@GhostPsg tu peux retourner le salam à mon camarade guingampais. Un homme de goût.
Joliment trouvé sur la droite par Ben Arfa, Lucas accélère et arme une frappe croisée. Ça passe tout près du montant opposé de Costil !
Comme dirait Jean-Charles Sabattier, Julian « Draxla » est très en verve ce soir. Ça s’annonce plus que compliqué pour les Bretons…
GOOOOAL DE DRAXLER ! Paris ouvre la marque, 1-0 !
Lancé en profondeur sur une merveilleuse passe de Motta, Draxler contrôle de l’extérieur du pied droit et se présente devant Costil. L’Allemand trompe le portier français d’un piqué qui touche le poteau avant de rentrer
Rennes sort désormais un peu plus de son camp mais manque encore d’inspiration près de la surface parisienne.
Rennes cherche à mener une offensive aux abords de la surface parisienne mais c’est raté. Du coup, le réalisateur fait un zoom sur la tête de Yoann Gourcuff qui se marre en tribunes. Salaud.
Allez Hatem, fais-nous quelque chose. Un petit pont, un crochet, je ne sais pas mais quelque chose qui lance cette rencontre.
C’est clairement un début de match de Coupe de France. Ça se tourne autour mais personne ne se regarde dans les yeux. Messieurs, déshabillez-vous, mettez-vous à nu bordel !
Voir Hatem est toujours un crève-coeur pour moi. J’ai acheté son maillot cet été. Autant vous dire que je n’ai absolument pas eu de flair sur ce coup, mais c’est la plus belle tunique quand tu vas taper un five à Porte de la Chapelle.
Les Bretons courent déjà pas mal après le ballon. Le match s’annonce long et compliqué pour les hommes de Gourcuff.
Lucas tente une tête dans la surface. Sa tentative passe nettement à côtés des buts de Costil.
Paris gère tranquillement les débats pour le moment. Sans forcer.
À peine trois minutes de jeu et Unai Emery est déjà en train de s’agiter dans sa zone technique. Je me demande quel est le plus nerveux entre lui et Antonio Conte.
Les Parisiens mettent d’entrée en place un pressing insistant sur le bloc rennais. Combien de temps les Bretons vont-ils tenir le coup ?
Les vingt-acteurs effectuent leur entrée sur la pelouse. Je suis chaud bouillant. Et vous, les lascars ?
Côté rennais, Christian Gourcuff a fait tourner et on a peur que cette affaire tourne à la branlée. En plus des blessés Bensebaini et M’Bolhi qui reviennent tout juste de la CAN, le coach breton a décidé de se passer des services de son fiston Yoann, Gelson Fernandes, Baal, Armand, Lenjani et Toufiqui.
Pour ce rendez-vous, le PSG doit composer avec quelques absences notables. Trapp, Meunier, Verratti et Di María sont blessés et ne peuvent tenir leur place. En revanche, Krychowiak, Lo Celso, Georgen et Augustin ne figurent pas dans le groupe. Grosse nouvelle également, Javier Pastore est présent sur la feuille de match. Hallejuhah !
Côté parisien, la patte d’Unai Emery, elle, se fait davantage sentir en ce début de deuxième partie de saison. Le club de la capitale a émietté le Sporting Club de Bastia (7-0) en 32es de finale. Mais les Parisiens, qui restent sur quatre rencontres sans revers en L1, ont essuyé un nul contre Monaco (1-1), dimanche.
On attendait beaucoup de son retour en Bretagne, mais force est de constater que le druide Christian Gourcuff cherche toujours la formule magique. Si au précédent tour de la compétition les Rennais n’ont fait qu’une bouchée de l’équipe au blase le plus improbable de cette édition, à savoir la modeste formation de DH Jeanne d’Arc de Biarritz (0-6), ils galèrent en championnat. Le nul concédé lors du derby face à Nantes (1-1) a étiré à six leur série de matches sans succès.
Salut les gourgandins et les gourgandines ! J’espère que vous avez sorti vos plus belles tenues d’artistes pour cette compétition chère à tous les Provinciaux. Oui, on est volontairement des Parisiens nombrilistes à So Foot. Au menu de ce mercredi soir, les 16es de finale de Coupe de France avec le Stade Rennais qui reçoit le Paris Saint-Germain dans son enceinte de Roazhon Park.
Romain Duchâteau
