- Ligue des champions
- 1/4 de finale
Revivez FC Barcelone – Paris S-G (2 – 0)
Allez, c’est terminé. Ce Barca est tout simplement trop fort, et ce Paris trop faible. D’autant plus triste qu’il nous a privé d’amour ce soir. Il va falloir se noyer dans le sucre et l’alcool. Bisous les loulous, on se retrouvera.
Messi tout proche de réaliser sa spéciale, mais ca fuit le cadre.
Il est pas content Messi. Il se fâche tout rouge pour marquer son but à lui.
Oui une frappe de Pocho ! C’est sans problème pour ter Stegen, mais ca fait du bien aux stats.
Bon, quand tu vois que Zlatan récupère facilement le ballon en pressant dur Piqué, tu te dis que t’aurais aimé le voir plus souvent. Le mec est pas serein du tout.
Lucas tente tranquillement le drop. Ca ne marche pas.
Si ca continue d’autant tourner, on va finir par vomir.
Van der Wiel est tellement marqué par son but de l’aller qu’il vise systématiquement un mec du Barca, même sur ses passes.
Bonne action parisienne, avec pas mal de confusion le loin de la ligne de sortie de but. Sans angle, Cavani ne peut que trouver le petit filet.
Il est pas très bon ce Lionel Messi.
Il s’agirait de courir messieurs.
David Luiz reprend à la course Messi. C’est pas si mal le placenta de poney.
Après un super slalom de Lucas, Cavani ne foire pas sa passe et trouve Zlatan. Le Suédois préfère frapper que de servir Pastore sur un plateau, et trouve ter Stegen sur sa route. Salaud.
Sinon, le Camp Nou où on entend que les supporters parisiens, on en parle?
Non Javier, cette passe dans la profondeur de l’extérieur, tu dois la réussir. Pour la légende.
Même Pastore met des louches en six mètres. Le niveau de dépit est très très haut.
Rakitic est peut-être l’un des joueurs les plus simples du monde, et c’est sans doute ce qui le rend si fort.
Cavani, t’as le droit de passer devant ton défenseur pour récupérer le ballon. C’est la leçon numéro uno du match.
Maxwell gâche l’une des rares cartouches parisiennes avec un centre foiré. Wesh, pas toi frère.
Dégagement foiré Piqué. Zlatan récupère et fonce vers le but, pour servir Verratti à l’entrée de la surface. Contre toute attente, Chouchou tente la frappe, mais c’est trop croisée.
Qu’est-ce qu’elle est dure cette image sur les visages des supporters parisiens en tribune. Tout le désespoir du monde pour eux.
Heureusement qu’il reste Marco Verratti.
Il peut arrêter de perdre le ballon Pastore? On a investi des cierges pour lui.
En fait, c’est un nouveau match caricatif, c’est ca?
Sinon, Cabaye tente sa chance de loin. C’est très à des années-lumières du cadre.
Je suis tout à fait là pour dire que le Barca a fait une première mi-temps extraordinaire, tant de maitrise que d’efficacité.
Allez, c’est la mi-temps. Paris ne s’est pas révolté et a encaissé deux buts de Neymar en regardant. Beaucoup trop passif et attentiste, Paris proprement inoffensif. On parle maintenant moins d’un exploit que d’éviter la manita. On va boire.
Messi refuse la main tendue de Verratti. Quelle faute de goût.
Elle arrive bientôt la mi-temps? Il faut passer à l’alcool fort là.
Bayern: 5-0…
Oui, même Papus Camara aurait été préférable ce soir. Au moins pour la blague.
Matuidi claque donc un petit pont. Il joue tout seul avec Verratti.
Sinon, c’est quoi le match du week-end? Faudrait penser à ménager les cadres.
Après un contre mené tambour battant, Paris enraye mais ne parvient pas se dégager. A droite, Dani Alves fait le travail pour aller déposer un centre sur la tête de Neymar, seul face au marquage lâche de VDW, et qui peut tranquillement conclure.
Le Barca est tellement serein que les mecs jouent les bons coup francs un peu lointains en retrait.
Pendant ce temps-là, le Bayern mène déjà 3-0.
Il est bien Iniesta à profiter des mauvaises passes en retrait de Cavani pour claquer un grand pont dans la surface parisienne.
Première montée de VDW, évidemment il rate sa passe latérale et met ensuite le crampon au niveau du visage de Neymar. Un peu gênant.
Ca va finir en 5-2 cette histoire.
Pas du tout attaqué, Dani Alves tente la frappe lointaine. Sirigu la détourne, et capte ensuite la tête de Neymar qui avait suivi.
Matuidi fait donc plus de courses vers l’avant et d’appel dans le dos de la défense que tous les joueur offensifs parisiens réunis. Voilà, voilà.
Il y a pas un autre Italien jeune un peu fort en Serie B à aller chercher?
Verratti est quand même bien au-dessus. Le mec résiste à deux joueurs, puis passe entre deux autres, et allume une superbe ouverture pour Matuidi, qui rate son contrôle dans la surface.
But de Zlatan, superbement servi par Matuidi. Mais le Suédois est hors-jeu.
Pendant ce temps-là, le Bayern vient d’ouvrir le score. On aura peut-être au moins un renversement de situation.
Sinon, le triplé domestique, c’est bien aussi.
Bon, bon, bon… Iniesta traverse toutes les lignes plein axe, puis sert Neymar sur un plateau, qui n’a plus qu’à faire le tour de Sirigu pour marquer dans le but vide. Ca va trop vite.
C’est un peu mou mou ce rythme-là. Faut courir les gars.
Les phases à une touche du Barca sont quand même diablement plus propres que les parisiennes.
Du coup, le Barca a récupéré le ballon, et fait tranquillement tourné. Zéro prise de risque.
Paris a du mal à se sortir du pressing blaugrana, et manque de justesse dans la moitié de terrain adverse. Ca va être dur.
Matuidi il se prend certes un petit pont, mais il laisse pas passer le joueur. Malin.
Déjà une tentative de slalom de Pastore. Le match est pour lui.
TOUCHEZ PAS A CHOUCHOU ! Dégage Busquets, Hollywood t’attend.
Allez, on récupère le ballon.
Salut les loulous, on se retrouve pour ce retour à Barcelone. Si vous êtes là, c’est que vous avez surement une bonne raison: la fidélité, l’espoir, la haine du Mes, l’amour du Mes, des grands-parents espagnols, rien d’autre à foutre, envie de rigoler, envie de voir des buts, le sadisme. Préparez les bières, la soirée va être longue. En bonus, l’avancée du Bayern-Porto, l’autre match.
Par
