- Angleterre
- Premier League
- 32e journée
Revivez Burnley – Arsenal (0 – 1)
Allez, c’est terminé. 8e victoire consécutive pour Arsenal, tranquillement installé en tant que dauphin de Chelsea. Ramsey a rapidement ouvert le score, et derrière les Gunners se sont contentés de gérer. Bisous les loulous.
C’est pas non plus la sérénitude incarnée Arsenal. Mais bon, ca gagne.
Toujours pas de changement du côté de Burnley. Intéressant comme tactique.
Welbeck, le seul joueur dont les frappes sont des centres, et inversement.
Ca va quand même un peu mieux pour Arsenal, qui a mis le pied sur le ballon et s’est installé dans le camp de Burnley.
Rencontre plus que compliquée pour Giroud, qui n’a pas vu un seul ballon correct.
Retourné acrobatique de Danny Ings, au milieu de trois défenseurs d’Arsenal. Ce n’est pas assez fort pour inquiéter Ospina, mais la menace est réelle.
Mee déborde Bellerin à gauche. Il centre parfaitement pour Boyd, seul au deuxième poteau, qui tente la reprise et manque le ballon. Quel dommage.
Vu la gueule du match, Arsenal est plus proche d’en prendre un que de prendre le large.
Il est pas mauvais aussi ce Boyd. Il mérite un club un poil meilleur.
Au lieu de frapper, Özil trouve Ramsey par-dessus tout le monde. La frappe du Gallois est contrée, mais c’est le football qu’on aime.
Barnes tente sa chance de loin et de volée, mais ca s’envole dans les nuages.
Talonnade d’Özil dans la course d’Alexis Sanchez, qui allume de loin. C’est capté par Heaton.
Je verrais bien une entrée d’Abou Diaby pour relancer l’intérêt de ce match.
Sinon, vous avez prévu quoi pour ce soir les loulous? Parce qu’il est pas terrible cet apéro.
Frappe en pivot de Barnes que capte tranquillement Ospina.
En tout cas, la pause n’a rien changé : Burnley domine toujours. Corner pour eux.
Allez, c’est la mi-temps. Arsenal a rapidement ouvert le score mais n’a pas fait grand-chose par la suite, au contraire d’une équipe de Burnley qui monte en puissance. A de suite les loulous.
Özil n’a jamais été mauvais. C’est le monde qui était médiocre autour de lui.
Ca joue pas si mal mine de rien Burnley.
Ce n’est pas Walter White, c’est Philippe Etchebest.
J’essayais de faire une charade de qualité.
Mon premier est n’est pas ta mère
Mon second n’est pas ton père
Mon troisième n’est pas le bruit de la vache
Mon quatrième n’est pas une poche
Mon cinquième n’est pas le cerveau
Mon tout est le némésis de Jean-Luc Arribart.
Giroud en prend une bonne dans la tête.
On est clairement à l’ombre des jeunes filles en fleur.
Bon, donnez le ballon à Mesut, il va vous montrer.
Pas au niveau d’Harrison Barnes ce Ashley Barnes.
On devrait l’appeler Francis Roquelin en fait.
Encore un ballon gratté par Coquelin dans sa surface. Un roc.
Au tour d’Arsenal de tirer un bon coup franc. C’est Cazorla qui s’y colle, mais sa frappe enveloppée vient flirter avec la lucarne d’Heaton.
Coup franc très bien frappé par Trippier, mais Ospina se détend bien pour la sortir.
Bon, vous voulez une charade pour la peine?
Bon, c’est pas folichon sinon depuis l’ouverture du score. C’est un peu haché.
Encore un bon jaillissement de Coquelin qui permet à Arsenal de contrer. Le mec a posé ses balls sur le poste de 6.
Qu’est-ce qu’il est insupportable Arribart. Déjà, on a compris qu’il aime pas Mertesacker, mais il persiste à rabaisser systématiquement tout le monde. C’est insupportable.
Déjà l’ouverture du score ! Mauvaise relance d’Heaton. Derrière, on a le droit à une séance de ball-trap dans la surface, avec deux frappes contrées. La troisième est la bonne pour Ramsey.
Chambers est sur le banc, étant donné que Bellerin est en feu en ce moment.
Sur l’action suivante, Arsenal construit très bien avec des phases en une touche, mais Sanchez au point de pénalty envoie sa frappe dans les nuages.
Bon contre de Burnley, avec beaucoup de vitesse et Ospina doit déjà s’interposer.
Beaucoup trop d’Espagnols dans cette équipe d’Arsenal, pas assez de Français.
On peut dire que j’ai pris un peu de repos.
Salut les loulous, on se retrouve pour ce Burnley-Arsenal. Les Gunners doivent s’imposer pour éventuellement mettre la pression sur Chelsea mais surtout pour prendre de l’avance sur les deux Manchester, qui s’affrontent demain.
Charles Alf Lafon
