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Revivez Athletic Bilbao – Naples (3 – 1)
Driiit, driiiit, driiiiiit! L’Athletic Bilbao se qualifie pour la C1 pour la première fois depuis 16 ans. La hype Naples peut officiellement prendre fin.
Le réalisateur se fait un petit kiff, avec un plan large sur le stade et sa déco « ligue des champions ».
Higuain a cru qu’il lui suffisait d’être Argentin et de porter le maillot de Naples pour effacer toute la défense adverse. Mais non.
Certes, la défense italienne est catastrophique. Mais l’assistant ne l’aide pas. Ibai est clairement hors-jeu donc Aduriz, sympa, envoie le ballon au-dessus.
Les carottes ont toutefois l’air d’être cuites et recuites.
Et voilà, Ghoulam sort et c’est la débandade dans la défense napolitaine.
Ibai fait le break! Hors-jeu, Aduriz fait mine de jouer le ballon puis s’efface et laisse son pote plier l’affaire. Benitez est médusé.
Visiblement, Rafael n’a pas remercié Dieu sur ce coup-ci.
Le doublé pour Aduriz! Parfaite mésentente entre Rafael et ses défenseurs. Le Basque en profite et renverse le match!
Il semblerait que le marquage plus qu’aléatoire d’Aduriz soit l’oeuvre de « ce diable de Hamsik ». Dans tous les coups.
Egalisation d’Aduriz! L’attaquant basque est incroyablement oublié sur corner. Il a le temps de contrôler et de donner de l’air à son public.
Dans le rôle du chef de la bande : Hamsik, invisible pendant 45min, mais auteur du but qui change tout.
La bande à Benitez est entrain de réaliser un des plus beaux braquages napolitains de l’histoire. Félicitations à elle.
La fraaappe de Balenziaga! Et la grosse claquette de Rafael, qui n’en finit plus de remercier le bon Dieu.
But de Marek Hamsik pour Naples! Oh le gros coup de froid sur San Mamés. Un dégagement hasardeux, le Slovaque est là pour récupérer et ouvrir le score.
Mi-temps à Bilbao. Nette domination des locaux, malheureusement pour eux maladroits dans la finition. Naples va devoir se « sortir les doigts », comme on dit.
Beñat écrase le poignet d’Albiol. Valverde dessine des arbres sur son banc de touche. Et Higuain pigne.
Ghoulam à Naples, Trémoulinas à Séville. Sacrée vitrine pour les arrières gauche l’ASSE.
Hey les gars, personne n’a interdit de cadrer les frappes, hein!
Ca commence à jouer durs des deux côtés. Et ça plait à San Mamés 2.0. »Athletic! Athletic! Athletic »
Ca pousse, ça pousse, ça pousse. Cette fois-ci, c’est Laporte qui manque le cadre! Naples a la tête sous l’eau.
Encore un débordement de De Marcos à gauche, les Napolitains dégagent en catastrophe!
Gurpegi! Nom d’une pelote basque! Le capitaine était seul à 3m du but, mais il a mis son coup de casque à côté. Incroyable.
On vient de recevoir un sms de Marcelo : « Avez-vous des cassettes des matchs de Gignac quand il jouait en poussins à Martigues? »
Les deux équipes essayent de construire. Avantage Bilbao pour l’instant.
En revanche, la première intervention de Kalidou Koulibaly est légèrement préoccupante. Même Ronald Zubar ne se serait pas fait prendre comme ça par Aduriz.
Grosse classe, De Marcos, même au poste d’arrière-gauche.
Callejon aurait pu ouvrir le score, mais il a préféré tester la solidité du toit du nouveau San Mamés. Sympa de sa part.
Pipita commence déjà à pigner. Avec ce que t’as raté au Maracana mon grand, tu n’as plus le droit de la ramener pendant au moins dix ans.
Et bim, un premier « tacle appuyé » de l’ami Beñat. Quel joueur, celui-là.
On passe le bonjour au Loco, qui nous lit entre deux visionnages de vidéos depuis sa chambre de la Commanderie.
C’est ti-par !
Sympa ce petit face à face francophone Ghoulam-Mertens, non? Bilbao-Naples, putain. Quelle belle affiche.
Salut les demis d’ouverture. Ne vous laissez pas avoir par les Canonniers londoniens, le gros match de la soirée, il est là, au nouveau San Mamés. Bilbao-Naples, c’est passion, tradition, baston et ligue des champions garantis.
Par
