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- 5e journée
Revivez Aston Villa – Arsenal (0 – 3)
Place à Liverpool, dans une grosse demi-heure. A bientôt les punks.
Rideau à Villa Park. Les Gunners se sont rassurés, grâce à trois minutes folles où ils ont tiré deux fois, et scoré trois fois. Mesut Ozil a ouvert la voie, et peut de nouveau hiberner tranquille pendant six mois.
Dernière offensive des Gunners qui se ponctue par un centre de Gibbs que Guzan intercepte.
Trois minutes de calvaire en plus pour les Villans.
Tout le monde s’est barré pour éviter les bouchons. On n’entend que les fans d’Arsenal.
On n’aura donc pas vu Abou Diaby faire sa rentrée pour se re-blesser à nouveau. Une prochaine fois peut-être?
Arsenal refait le plein de confiance après sa déconvenue en C1 et avant le gros derby du week-end prochain face à Tottenham.
C’est officiel, Villa ne reviendra pas. Les Gunners se promènent.
Ozil est en confiance. L’Allemand vient de rentrer une friandise sur un contrôle de balle qui met dans le vent son vis-à-vis. Un geste trop dur à décrire à l’écrit. Démerdez-vous pour chopper le Vine.
AOC chaparde un ballon d’Ozil qui était destiné à Ramsey. Son contrôle à 15 mètres achève de tuer l’action.
Le centre de Cissokho est tellement foiré que Mertesacker est obligé de se mettre à genou pour l’écarter de la tête.
Percée de Chamberlain qui s’enfonce dans la défense comme dans du beurre. Du beurre AOC. Vous l’avez?
Gros match de Cissokho qui dévisse son centre. Szczesny capte dans la niche. IZY.
Petit frisson dans la défense d’Arsenal, à cause d’une sortie fantôme de Szczesny sur corner. Clarke, au second poteau, voit sa reprise contrée.
Agbonlahor se lance dans un slalom un peu fou, mais avec réussite. Ramsey le déséquilibre en fin de course.
Arsenal, qui a déjà marqué trois fois, vient de faire son troisième tir cadré du match. #CissokhoFacts
A la lutte avec Agbonlahor, Koscielny se permet un amorti poitrine. Ce bon vieux Gaby est bien isolé devant.
C’est Arsenal qui confisque le ballon pour le moment. Pas sûr que ce soit le meilleur moyen pour espérer un retour impossible.
Voilà trois minutes qu’Aston Villa n’a pas pris de but. Il faut le souligner.
Mike Jones donne le coup-d’envoi de la deuxième période.
Ramsey ne cadre pas une frappe aux abords des seize mètres, après un joli crochet. Sur ce, mi-temps.
Vilaine faute d’Arteta sur Delph. Le joueur de Villa se fait soigner.
Ca tire la tronche en tribunes. Mais bon, si y a une équipe capable de se faire remonter à 3-3, c’est bien Arsenal.
Arsenal déroule. Ramsey, encerclé, trouve Ozil au second poteau d’une passe lumineuse. L’Allemand croise trop sa reprise. Faut pas déconner non plus.
La stat de meilleure défense d’Aston Villa n’est plus qu’un lointain souvenir.
Ce qui est drôle, c’est que Welbeck aurait très certainement raté la cible à la place de Cissokho.
Et de 3! Sur un centre tir de Gibbs un peu écrasé, Aly Cissokho offre le but du KO définitif à Arsenal, en taclant le cuir dans son propre but. Quel lol. « Tout va très vite en football ». Exact.
En deux minutes et deux actions décisives, Ozil a fait taire les critiques. Espérons que ce ne soit pas qu’un feu de paille.
Et ce bon vieux Danny Welbeck qui double la mise! Ce coup-ci, on inverse les rôles. Ozil, à la baguette sur le côté gauche, adresse un centre impeccable pour le jeune Anglais, qui reprend du plat du pied sans contrôle de près. Son premier but pour Arsenal.
Le déclic pour Ozil? Parti à la limite du hors jeu sur un service de Welbeck, l’Allemand remporte son face à face devant Guzan du plat du pied. 1-0 pour les Gunners.
Koscielny alerte AOC d’une longue diagonale. Le jeune ailier s’appuie sur Cazorla mais s’emmêle ensuite les pinceaux en essayant de provoquer.
Très bonne passe (enfin) de Mesut pour Ramsey, qui, trop ambitieux, tente d’alerter Welbeck en une touche. Une offrande pour Guzan.
Quelle occase pour Villa! Sur le coup-franc, Cleverley dépose le ballon sur le crâne de Clark, tout seul. Szczesny détourne miraculeusement grâce à une posture de gardien de handball.
Vilain tacle de Chambers sur Agbonlahor qui l’avait pris de vitesse.
Bien calé à l’entrée des 18, Ramsey hérite d’un ballon mal renvoyé sur corner pour frapper « comme elle vient ». La sphère passe de peu à côté.
Sur un corner d’Ozil, Mertesacker remise et Welbeck tente une reprise acrobatique. C’est contré par la charnière locale.
Hutton coupe un corner de Cleverley au premier poteau. Le ballon passe au dessus de la lucarne de Szczesny.
Alors que Cissokho redonne des news. Et bien son pied gauche est toujours aussi pourlingue. Sa passe pour Richardson était grillée à 10 km par Chambers.
Une longue phase de conservation des Gunners se termine par une transversale direct en touche. Tout ça pour ça.
Guzan relance rapidement pour Weimann, quasi en un contre un. Les Gunners se replient bien et Szczesny récupère le cuir.
Welbeck enroule son premier tir du match. Il manque la cible. Same classic shit.
Ramsey tente de servir Welbeck dans la profondeur, mais la charnière centrale des Villans avait reçu le fax il y a deux semaines.
A noter que l’ex-Valenciennois a pris place dans le onze de départ à la dernière minute, en lieu et place de Westwood, qui préférait sûrement s’enquiller quelques bières dans le pub du coin.
Première offensive des Villans sur une relance toute naze de Szczesny. Delph récupère, s’appuie sur Agbonlahor qui lui remet, et allume la première mèche. Le portier des Gunners boxe en corner.
Pan! C’est parti à Villa Park
Cynique à souhait à Liverpool il y a une semaine, l’immense Philippe Senderos est de nouveau aligné en défense centrale. Il espère bien glisser une quenelle à son ancien club cet aprem encore. Sinon, le fantôme Ozil est de nouveau titulaire. Totem de l’immunité pour lui.
Bonjour les gringos. Bien belle affiche sur le papier que cet Aston Villa-Arsenal. Non pas qu’on parle d’un all-star game en puissance, mais l’intérêt sportif du match est bien réel. Sensation de ce début de saison, Villa est actuellement deuxième, alors que les Gunners viennent d’enchaîner trois matchs nuls et viennent jouer gros à Birmingham.
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