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Qui a volé le trophée « The Best » de Wendie Renard ?
Le 2 janvier 2019, Wendie Renard se trouve dans un TGV Paris-Lyon. Elle arrive sur les coups de midi à la gare de Lyon Part-Dieu, mais ne se doute pas encore qu’elle s’apprête à se faire dérober un objet très précieux : son trophée « The Best ». Voici la liste des principaux suspects.
Attaquants
Rudi Völler
Premier réflexe lorsque l’on prend place seul(e) à bord d’un TGV : vérifier l’identité de son voisin au moment de la présentation des billets. Une erreur de débutant, qui aurait permis à Wendie Renard d’identifier assez rapidement Rudi Völler, au lieu de se rassurer en se disant que c’était un simple passager sans histoire qui siégeait à ses côtés. En bon patriote et légende de l’OM, l’homme de 59 ans a profité de la naïveté de la défenseuse des Bleues pour venger Potsdam, Francfort ou encore Wolfsbourg. Pourquoi eux ? Tout simplement car ils ont tous été victimes de Renard et de l’OL en finale de Ligue des champions ces dernières années. À sa sortie du train, sous les « au voleur ! » du chef de gare, le renard allemand a pris la fuite la breloque sous le bras. Peut-être qu’un tour du côté de l’armoire à trophées du Bayer Leverkusen pourrait permettre à Wendie de retrouver son bonheur.
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joueurs
Gad Elmaleh
Depuis les révélations de Copy Comics l’accusant d’avoir plagié de nombreux humoristes, les symptômes de cleptomanie dont souffre Gad Elmaleh n’ont fait qu’empirer. Oui, le comique français de 48 ans, qui n’a pas pour autant arrêté les spectacles – loin de là – s’attaque désormais aux objets. En route pour Lyon, où Gad a choisi de poser ses valises pour préparer son prochain show, le natif de Casablanca remarque un scintillement émanant de l’un des bagages cabines. S’il comprend rapidement que ce n’est pas une lueur qui va le remettre sur le droit chemin, Gad Elmaleh pense aussi qu’un trophée avec écrit « The Best » dessus peut lui permettre de retrouver le trône de la scène humoristique française. Un pas de plus vers un Oscar.
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Robin des Bois
« Voler aux riches pour donner aux pauvres » , l’adage de Robin des bois vaut pour tout le monde, et Wendie Renard n’échappe pas à la règle. Avec un revenu avoisinant les 30 000 euros brut par mois – faisant d’elle l’une des footballeuses les mieux payées au monde selon l’Internaute –, Renard était forcément une cible prioritaire pour le gardien de la forêt de Sherwood. Que va bien pouvoir faire Robin de ce trophée ? Personne ne le sait. Pourquoi pas le refiler à Trélissac pour réparer le préjudice subi en Coupe de France face à l’OM ?
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Lamine Diaby-Fadiga
« Je m’en suis pris à lui sans aucune raison, peut-être un peu par jalousie. » Oui, Lamine Diaby-Fadiga a malheureusement une fois encore récidivé. Si les dirigeants du Paris FC pensaient lui offrir une nouvelle opportunité, après le vol de la montre du Niçois Kasper Dolberg, les décideurs de la capitale se sont malheureusement trompés. Parti visiter un ami pendant les fêtes sur Lyon, Diaby-Fadiga tombe nez à nez avec Wendie Renard dans le TGV. Il découvre alors l’internationale française en pleine séance de dédicaces, trophée à l’appui, et qui s’adresse à ce moment-là à un passager au fort accent allemand. La jalousie, là encore, sera le talon d’Achille de Lamine, qui se rappelle cette douloureuse soirée où il n’avait même pas été nommé pour intégrer l’équipe type féminine de l’année. Dolberg était un lanceur d’alerte, et comme Edward Snowden en son temps, il ne sera jamais oublié.
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Défenseurs
Corinne Diacre
Corinne Diacre et Wendie Renard ne s’apprécient guère, et il n’y a qu’à lire ce passage de Mon étoile – l’autobiographie publiée par Renard en décembre 2019 – pour s’en convaincre : « Lors du premier rassemblement de 2018, le lieu de rendez-vous change : j’arrive à Montpellier regonflée à bloc. Pour lui dire bonjour, je tends la main à la coach. Je vois immédiatement un changement sur son visage. Elle lâche :« Il va falloir que tu rentres vite dans le rang si tu ne veux pas rester chez toi. » Après lui avoir fait répéter sa phrase, je lui réponds simplement : « Je ne savais pas qu’il fallait faire la bise à la sélectionneuse pour venir en équipe de France. Je vous ai dit bonjour, je ne vous ai pas manqué de respect, mais je ne vous donne plus mon visage. » » Un échange tendu que Corinne Diacre non plus n’a pas oublié. Bien décidée à couper la chique sous le pied de sa meilleure buteuse lors de la dernière Coupe du monde, Diacre fait dérober l’objet par un tiers pour le filer à Griedge MBock, sa véritable chouchoute. Sacrée guerre d’ego.
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Par Andrea Chazy