Pourquoi les Panini sont mieux que les jeux vidéo de foot

Avec Panini, pas de débat entre Xbox et PS4 Le monde est divisé en deux catégories : ceux qui mangent leurs pâtes avec du gruyère, et ceux qui préfèrent mettre du parmesan. Les végans étant de plus en plus nombreux, cet éternel débat sera bientôt obsolète. Contrairement à celui qui oppose les utilisateurs de la Xbox à ceux de la PS4 et dans une moindre mesure ceux qui restent attachés à PES et ceux qui préfèrent FIFA. À première vue, ce débat ne semble déranger personne, chacun ses préférences, mais le problème se pose lorsque deux amis veulent s’affronter en ligne et que cela est impossible étant donné que la console, ou le jeu, n’est pas le même. Et puis, n’y a-t-il pas plus énervant comme phrase que celle prononcée par ton pote après une défaite : « Je ne suis pas habitué à la manette de la Xbox » ? Au moins, avec les Panini, il n’y a pas de débat, tout le monde utilise les mêmes cartes et aucune excuse n’est donc tolérée.

Panini te permet de réviser tes connaissances du football mondial Voici le TOP 3 des phrases les plus entendues sur les jeux vidéo de foot : « Oh non, je joue encore contre le Real Madrid ! » « Mais sinon, à part le Barça, tu sais jouer avec d’autres équipes ? » « C’est n’importe quoi il est trop cheaté Neymar. »

Car oui, les jeux ont beau offrir la possibilité de jouer avec des clubs du championnat sud-coréen ou de D2 italienne, tout le monde prend son équipe favorite ou le Barça et le Real Madrid. Résultat, aucune chance de découvrir des nouvelles pépites ou des joueurs obscurs qui rayonnent dans leur pays. À l’inverse, Panini peut te rendre incollable sur l’effectif de l’Iran, de la Slovaquie ou même du Honduras. Jerry Bengtson ? Attaquant hondurien qui évoluait en 2014 aux New England Revolution en MLS, né le 8 avril 1987, 1,85m pour 74kg. What else ?

Concours : 222 pochettes Panini FIFA 365 à gagner à l’occasion de la sortie du numéro de SO FOOT CLUB spécial Neymar, en kiosque le 8 novembre !

Les albums Panini vieillissent bien mieux que les jeux vidéo Avez-vous déjà essayé de rejouer à vos anciens jeux de foot sur PS1 ou sur Megadrive ? Au début, c’est un réel plaisir, mais une fois la nostalgie passée, on se rend vite compte que le jeu a très mal vieilli, que marquer six buts sur des frappes de 30 mètres en un match, ce n’est pas très réaliste et que les pixels font très mal aux yeux. En revanche, fouillez dans vos cartons et ressortez votre album Panini du Mondial 98 et vous verrez que celui-ci n’a pas pris une ride. Vous rigolerez en voyant les noms de Florian Maurice et d’Ibrahim Ba, qui n’ont pas été retenus pour la Coupe du monde, vous vous rendrez compte que fut un temps, l’Espagne avait une équipe moyenne, vous vous demanderez où est le Portugal, avant de vous rappeler de cette élimination en barrages face à l’Allemagne, puis vous rigolerez à nouveau en vous rendant compte que l’attaquant mexicain, Luis Hernández, est le sosie d’Edinson Cavani en blond. Bref, vous passerez un vrai bon moment.

Panini te fait gagner des potes, les jeux vidéo t’en font perdre Comment compléter son album Panini sans acheter sur le site les cartes qui nous manquent, et sans retourner au tabac pour obtenir un cinquième Valbuena ? Simple, il faut faire des échanges. Basique. Soit tu fais du troc avec ton pote, et ainsi solidifies vos liens d’amitié, soit tu trouves sur internet une personne qui a la carte que tu recherches et qui souhaite l’échanger contre Mathieu Valbuena. De cet échange peut naître une histoire d’amitié et même, pourquoi pas, une histoire d’amour. À l’inverse, jouer aux jeux vidéo peut briser un couple, en cas d’usage trop intensif de la console, mais aussi une amitié après une victoire 2-1 dans les arrêts de jeu sur un penalty litigieux célébré en faisant le tour du salon…

Un Ólafur Ingi Skúlason a autant de valeur qu’un Messi chez Panini Si les Panini et les jeux vidéo sont a priori deux entités éloignées, FIFA a tenté de lier les deux à travers son mode de jeu FIFA Ultimate Team (FUT) où les utilisateurs doivent acheter des cartes de joueurs pour se faire une équipe. Alors oui, la sensation avant l’ouverture d’un pack sur FUT peut se rapprocher de celle ressentie avant de déchirer son paquet de cartes Panini tout juste acheté chez le marchand de journaux. En revanche, la grande différence, et elle est majeure, c’est que sur FUT, seuls les grands joueurs sont intéressants. À l’inverse, avec les cartes Panini il est possible d’être malheureux d’avoir à nouveau Lionel Messi ou Cristiano Ronaldo et de sauter de joie en voyant Ólafur Ingi Skúlason qui vous permet de compléter votre équipe de l’Islande. Alors qu’en réalité, c’est juste un milieu de terrain de Karabükspor qui a 70 de moyenne dans FIFA 18.

Pour en savoir plus sur l’album Panini 365

L'alcool réintroduit dans les tribunes de quatre clubs féminins anglais dès 2025