Les notes de Saint-Étienne contre Manchester United
Une première mi-temps étonnamment réussie, une seconde bien moins convaincante, mais trois buts encaissés : malgré leur bonne volonté, les Verts ont été trop naïfs.
Porté par un triplé de Zlatan Ibrahimović, Manchester United a balayé les Verts jeudi soir (3-0) sur une leçon de réalisme qui laissera certainement des regrets à des Stéphanois joueurs, mais maladroits. Cette fois encore, il y avait la place d’espérer.
Nettement dominée par Mönchengladbach, la Fiorentina s’en est remise à un coup franc divin de Federico Bernardeschi pour l’emporter. Sinon, Tottenham s’est fait gifler par La Gantoise et Jérémy Perbet.
Lyon est tranquillement allé marcher sur Alkmaar grâce notamment à un doublé de Lacazette (1-4). Autant dire que le match retour servira uniquement à dégourdir les jambes des Lyonnais.
Pendant deux saisons, Stefan Effenberg est parti rejoindre le championnat italien. Mais pour lui, la virée n’a pas été synonyme d’une douce et paisible vie.
Distancé en championnat, éliminé des deux coupes nationales, l’Olympique lyonnais n’a plus que sa campagne en Ligue Europa pour espérer sauver sa saison.
Longtemps condamnés à un cercle vicieux de blessures en raison de leurs physiques fragiles et d’une poisse tenace, Kevin Strootman et Sergio Asenjo n’ont jamais vraiment cessé de croire en leur retour au plus haut niveau.
Pour la sixième fois de son histoire, l’Olympique lyonnais affrontera une équipe néerlandaise en Coupe d’Europe. Retour sur les cinq premières, entre penalty non sifflé et doublé de Zlatan Ibrahimović.
Ce jeudi, l’AS Saint-Étienne se déplace à Old Trafford pour la première fois de son histoire. Pourtant, Sainté a bel et bien affronté les Red Devils en Coupe des coupes, à l’orée de la saison 77-78.
Arrivé sur un lit de doutes à Manchester l’été dernier, Zlatan Ibrahimović est devenu début février le premier joueur de United à atteindre la barre des vingt buts sur une saison depuis Van Persie.
En ballottage défavorable à la pause, le Bayern s’est énervé en seconde période. Et à l’image d’une berline allemande intérieur cuir qui accélère sur l’autouroute, ça pousse fort. Très fort.
Dans un match à sens unique, les Bavarois auront connu quelques difficultés en première période avant de passer la seconde après la pause pour littéralement déposer les Gunners, 5-1.
Un temps aux commandes de ce huitième aller, le Napoli s’est pris à rêver, mais a subi les foudres madridistas. Résultat des courses, un succès précieux, mais pas définitif (3-1) pour le Real Madrid d’un Karim Benzema enfin de retour aux affaires.
90′ : Merci à toutes et à tous d’avoir suivi ce live. A bientôt pour de nouvelles aventures. Ne faites pas de cauchemars en repensant aux buts de la soirée !
Pur produit de la Castilla, José Maria Callejón retrouve le Real Madrid ce mercredi soir. Un retour aux sources pour un joueur façonné par le club madrilène.
Real Madrid et Napoli se sont rarement croisés en compétition européenne. Pis, le seul précédent entre les deux clubs renvoie à un match ubuesque dans un Santiago Bernabéu vide disputé à la fin des 80’s.
Pourquoi Real-Napoli est l’affiche de ces huitièmes
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Si le tirage au sort des huitièmes de finale de Ligue des champions nous a réservé plusieurs affiches alléchantes, aucune n’arrive à la cheville de ce Real-Napoli qui s’annonce flamboyant.
D’un côté, un club prêt à enfiler sa cinquième couronne nationale de suite, qui n’a plus perdu depuis un peu moins de trois mois. De l’autre : un ensemble devenu chiant. Autopsie.
Présent en 8es de finale de la C1 depuis 2003-04, Arsenal se déplace mercredi soir à Munich pour la première manche d’un aller-retour qui semble déjà plié avant l’heure. Alors, Arsène Wenger s’en remet au ciel.
Archi favori, le Bayern Munich compte sur son réalisme dans le jeu et son public pour faire respecter la logique. En face, Arsenal prie pour voir un Özil en grande forme.
«La grande catastrophe» et autres railleries catalanes
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De mémoire de journaux espagnols, jamais le FC Barcelone n’a été aussi dépassé au cours de ce siècle. Une claque qui, à l’unanimité, a pour coupable Luis Enrique. Ou quand une correction annonce la fin d’une époque.
Énorme contre Barcelone, Kimpembe a fait vivre un enfer à Lionel Messi et ses potes d’attaque. Ou comment la blessure de Thiago Silva s’est transformée en aubaine.