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Les clés de Lyon-Roma
Lyon reçoit l’AS Roma, ce jeudi soir, au Parc OL. Alexandre Lacazette et Radja Nainggolan postulent légitimement au statut de héros du match.
Lyon reçoit l’AS Roma, ce jeudi soir, au Parc OL. Alexandre Lacazette et Radja Nainggolan postulent légitimement au statut de héros du match.
En 2007, Ricardo Faty était dans le groupe de l’AS Roma lors de la double confrontation entre le club romain et l’Olympique lyonnais, en huitième de finale de Ligue des champions. Dix ans plus tard, l’actuel milieu de Bursaspor revient sur cet épisode. Et se projette sur le match à venir.
Arrivé à Rome il y a quelques semaines, Clément Grenier ne pourra être aligné au Parc OL jeudi soir et n’a surtout joué qu’une petite minute avec son nouveau club.
Jamais dans ses 117 ans d’existence, le Barça n’avait réussi telle prouesse. Car en plus de s’inscrire dans la mythologie de la Coupe d’Europe, cette remontada fait entrer les Blaugrana dans une folie qu’ils n’avaient jamais connu. Une soirée en tout point historique, donc.
Vainqueur de la Coupe des coupes en 1996 avec le PSG, Patrice Loko revient sur le cauchemar vécu par les Parisiens ce mercredi au Camp Nou.
Ce match devait être tellement tranquille que certains de tes potes n’ont pas eu envie de le voir. Toi, tu as vibré ou souffert tout ton mercredi soir.
Sur le papier, tout semblait plié : un large succès à l’aller, un ascendant psychologique, une victime annoncée qui ne cessait de parler de sa remontada risible. Et puis…
Après un tel échec, Paris peut-il encore grandir ?
Emmenés par un Neymar de gala et malgré un Messi en dedans, le Barça a claqué sa remontada. Bulletin de notes pour l’histoire.
À l’exception d’Edinson Cavani, tous les Parisiens se sont écroulés dans le match le plus important de leur histoire.
Totalement supérieur, cynique, brutal, le Barça a retourné l’impossible mercredi soir et s’est qualifié brillamment face à un PSG démonté de partout (6-1).
Même s’il a un peu tremblé en première période, le Borussia Dortmund s’impose finalement largement contre Benfica grâce à un triplé d’Aubameyang (4-0).
98′ : Bonne soirée à tous. Vous avez été assez incroyables ce soir, à l’image de ce match. Une grosse bulle de folie qui nous a éclaté à la face un peu violemment. Je vous fait des bises parce que l’amour est plus fort que tout, et triomphe toujours même dans les soirées comme celle-ci. Peace, et triez vos déchets. La planète s’en fout de qui est en quart de finale de Ligue des Champions, elle veut juste que vous viviez proprement ! Doskov out
Le 8 mars est certes le jour de Barcelone-PSG, mais c’est aussi la journée internationale des femmes. L’occasion de faire un petit tour d’horizon des répliques machistes dans le football.
Barça-PSG, Dortmund-Benfica ? Non, la vraie rencontre à ne pas manquer mercredi soir est le match de Premier League entre Manchester City et Stoke.
Transféré au Benfica en 2015 pour jouer les doublures de Júlio César, Ederson Moraes a profité des pépins physiques de l’ancien gardien de l’Inter pour s’imposer dans les buts des Lisboètes.
Dortmund a perdu le match aller contre Benfica 0-1. Au match retour, le BvB n’a donc pas le choix : il faut gagner par deux buts d’écart ou sortir. Et ça tombe bien, on a déjà vu le match.
Si quelques légers grincements se sont fait entendre à ses débuts, le talent et le dévouement d’Ousmane Dembélé ont mis tout le monde d’accord, des médias aux coéquipiers.
Défait 2-1 à l’aller lors du premier tour de C1 1963, le Borussia effectue un match dantesque et s’impose largement face au grand Benfica Lisbonne privé de sa star, Eusébio.
« En réalité, vous ne savez rien de moi. » Voilà comment Andrés Iniesta introduit sa biographie, Mon Histoire…
Le changement de système orchestré par Luis Enrique, d’un 4-3-3 vers un 3-4-3, fait naître dans les travées du Camp Nou un fol espoir de remontada.
Marco Verratti, vingt-quatre ans, petit, tatoué, gourmand, fumeur, buveur, papa, roublard, malin, dribbleur, charmeur…
Le PSG est-il déjà qualifié, ou les Parisiens vont-ils se faire dévorer au Camp Nou ? Fin des débats ce soir.
Pour la Catalogne, Barcelone serait largement capable de rattraper quatre buts et de renverser Paris. Vraiment ?
Tout dans l’interview post-raclée du match aller (4-0) traduisait un sentiment d’épuisement chez le coach catalan, qui dispose pourtant du « meilleur psychologue du sport ». Son nom : Joaquín Valdés.
Oui, Arsenal a dégusté face au Bayern. Mais l’une des raisons s’appelle peut-être Koscielny. Car le Français n’était présent sur la pelouse que sur un seul des dix pions.
Menés et malmenés, mais finalement larges vainqueurs de Naples, les Madrilènes peinent défensivement et se subliment au mental.
Après une grande première mi-temps, emmené par un incroyable trio Mertens-Insigne-Hamšík et un pressing de dingue, le Napoli a fini par céder. Le Real avait trop de marge.
Buteur en finale en 2014, Sergio Ramos est un habitué des fins de soirée gâchées. Alors que Naples s’y voyait, l’Espagnol a placé deux coups de tronche pour donner la victoire aux siens. Capitaine plaisir.
Malmenés par des Napolitains auteurs d’une première période formidable, les Madrilènes ont serré les dents avant d’assurer la qualification grâce à un doublé de Sergio Ramos.
Pendant une mi-temps, Arsenal a laissé penser que l’exploit était possible. Ou tout du moins que le Bayern allait devoir serrer les dents pour préserver sa qualification. Puis Arsenal a cédé en début de seconde période et… patatras.