Les articles de SOFOOT.com

Plus qu’une finale, une opposition de style. Avec, d’un côté, une insouciance étonnante et, de l’autre, des stars favorites. L’outsider peut-il faire mal aux Anglais ?

Ce devait être la première finale européenne d’une carrière qui touche à sa fin. Puis, son genou l’a lâché le 20 avril dernier et la pièce écrite pour lui se jouera sans lui.

Formé à Amsterdam puis vendu à MU en 2014, le Hollandais y a laissé de bons souvenirs. Parce qu’il correspond parfaitement à l’image du club.

Dans un match rarement endiablé, mais plaisant dans l’ensemble, Orléans a fait l’essentiel en s’imposant 1-0 sur la pelouse du Paris FC en barrage aller.

Il a sifflé le coup de sifflet final de sa carrière dans le foot pro vendredi dernier, lors d’un Le Havre-Orléans. Le meilleur arbitre français de sa génération retrace ses pires souvenirs.

La Juventus aura vu défiler des champions en tout genre. Autant d’hommes qui ont écrit l’histoire de la Vieille Dame, si belle et si terrible à la fois.

On a beaucoup parlé de Bastia et de ses quatorze cartons rouges. Mais cette saison, certains Bastiais n’ont jamais été exclu. Véridique.

Arbitre du Rennes-Monaco de samedi soir, Saïd Ennjimi a mis fin ce week-end à plus de vingt-cinq ans passés avec un sifflet dans le bec.

Déjà recruté par le Bayern, Niklas Süle confirme qu’il peut devenir la star qu’il doit devenir depuis ses quinze ans.

Avec un Bayern Munich surpuissant et inarrêtable, la Bundesliga a encore fait trembler quelques records et repoussé les limites de l’imaginable.

Yassine Belattar cumule les casquettes, mais avec toujours le même état d’esprit, celui de l’engagement. Alors, quand il parle de foot, l’humoriste a forcément des choses à dire.

Recruteurs, adeptes de Football Manager ou simples amateurs de football champagne, cette Coupe du monde U20 est faite pour vous. Voilà les dix pépites de demain.

Attaquants charismatiques, milieux complets, 4-4-2… Les champions de France présentent des similitudes avec leurs prédécesseurs. Mais pas que.

Plus de larmes sur le terrain que dans les tribunes. Inconsolables Christian Lopez, Karim Hafez, Desan Cvetinović ou encore le gamin du cru, Benjamin Bourigeaud, vendredi soir sur la pelouse de Bollaert.

Entre les fayots, les bonnets d’âne et les feignants, la Ligue 1 a encore été une belle cour de récré cette saison.

Cinquièmes, les Gunners ne joueront pas la C1. Une première depuis vingt ans pour un club qui n’avait pas été éjecté du Big Four depuis la saison 1995-1996.

Après des années sur le terrain et sur le banc sous les couleurs de Brême, Thomas Schaaf a rangé pour l’heure sa tenue de coach. Entretien musclé.

La Juventus aura vu défiler des champions en tout genre. Autant d’hommes qui ont écrit l’histoire de la Vieille Dame, si belle et si terrible à la fois.

Le 21 mai 1997, le FC Schalke 04 soulevait la Coupe de l’UEFA au terme d’une intense séance de tirs au but face à l’Inter.

Des buts, des exploits, des agressions et du rouge, mais surtout beaucoup de larmes et d’adieux : la saison touche à sa fin.

Il y a quelques mois, l’affaire Théo a occupé la scène médiatique, ravivant les tensions entre banlieue et police. Toujours convalescent, le jeune garçon nous reçoit chez lui, avec son grand frère Grégory.

La saison réussie de l’AS Monaco est aussi la victoire de Dimitri Rybolovlev. Fantôme médiatique, il n’a cessé pourtant d’être décrié depuis son arrivée.

Une haie d’honneur pour John Terry, un alligator à Roudourou et la légende Manu Bourgaud. Il est temps de regarder dans le rétro de ce week-end de foot complètement barré.

Pendant que le Real s’apprêtait à officialiser son titre, l’Atlético a dit adieu à son stade Vicente-Calderón. Comme il le devait, et en songeant à l’avenir.

Ancien entraîneur du Real Madrid, Radomir Antić analyse les raisons du trente-troisième couronnement de la Casa Blanca en Liga.

Alors qu’elle restait sur neuf matchs sans victoire et quatre défaites consécutives, l’Inter est allée s’imposer au stadio Olimpico, avec la complicité de l’arbitre.

Catalogué comme une équipe composée de fortes individualités, le Real Madrid a finalement prouvé la puissance de son collectif pour aller décrocher un trente-troisième titre de champion d’Espagne.

Impressionnant de force et de régularité, le Real Madrid conquiert sa trente-troisième couronne espagnole. Parmi cette armée blanche, la Maison-Blanche a pu compter sur cinq piliers majeurs.

Vainqueur de ce sprint final face au Barça, le Real Madrid a parfaitement négocié ses matchs en retard pour s’adjuger cette Liga.

En hommage au numéro de maillot de Zizou lorsqu’il était encore sur le pré, le chiffre 5 est celui du Real Madrid cette saison.

Cinq ans après leur dernier titre national, les Merengues retrouvent leur trône domestique. Un sacre en Liga, le 33e du musée du Santiago Bernabéu.