Les articles de SOFOOT.com

Marseille est passé à la casserole (0-3) à Madrid alors que pendant près d’une heure, les vice-champions de France avaient fait mieux que jeu égal. Rageant et fatal…

Une deuxième journée qui s’achève dans l’ennui. Peu de buts, des matches parfois soporifiques. Mais déjà quelques bonnes tranches de rigolade. Milan est ridicule, Chelsea sera costaud, Madrid définitivement schizophrène et Ryan Giggs est éternel. Explications.

On a enfin retrouvé le vrai Soulé, perdu définitivement Gago, aimé Niang. Sinon quelqu’un a-t-il vu Laurent Bonnart ce soir ? Les notes, parce que le foot, c’est aussi une histoire de mathématiques…

Diego Maradona fait dans la charité. El Pibe a rappelé en sélection « El Burrito » Ariel Ortega, 35 ans, pour jouer ce mercredi en amical contre la Ghana. Ayant sombré dans l’alcoolisme, celui qui fut le plus grand espoir du football argentin de la fin des années 90, se voit offrir par son père spirituel une dernière chance de sauver son football. Retour sur la fin de carrière d’un génie, brisé par l’alcool.

L’OM dans l’antre des Galactiques, ce n’est pas une première. Retour en 2003-2004. Malgré une défaite 4-2 plutôt honorable, ce match marque le début de la rupture entre le groupe et un homme, Alain Perrin. Entretien avec Steve Marlet, crucifié à l’époque sur l’autel des ambitions de son entraîneur…

Ce soir, entre Perez et Dassier, il devait y avoir un Marseillais en tribune : Zinédine Zidane. Au Real de Florentino, le directeur général c’est Valdano et l’Ambassadeur c’est un autre ex-joueur emblématique du club : Emilio Butragueño. Présenté comme une des principales recrues de l’équipe dirigeante de la Florenteam, Zizou n’a toujours pas de poste officiel.

Après avoir séduit à plusieurs reprises Arsène Wenger, irrité Jean-Louis Triaud, puis affolé les tabloïds anglais, Marouane Chamakh a décidé de rester en Gironde pour régaler coéquipiers et supporters. Motivé pour réaliser une saison pleine, le buteur veut frapper un grand coup en Ligue des Champions. Et il en est capable…

La machine marseillaise n’a toujours pas trouvé son rythme de croisière. Mais plus inquiétant, elle n’a toujours pas trouvé son fonctionnement. Explications !

Bon, on va pas y aller par quatre chemins. L’OM, fragilisé par son naufrage à Valenciennes, se rend ce soir au Bernabeu. Pas vraiment le meilleur moyen de se rassurer. Pour éviter d’en prendre quatre ou cinq, voici quelques conseils prodigués aux Olympiens pour éviter de rentrer à Marseille sous les cailloux.

Deux arbitres français, des buts, la Fiorentina qui permet à Lyon de s’échapper, l’Inter qui tombe en panne au Tatarstan et Arsenal qui sert de modèle à presque tout le reste. Découvrez ce que réservaient les autres matchs de cette deuxième journée de Ligue des Champions Part 1 sur 2, vous qui ne suivez que les clubs français et/ou le Barça.

L’OL est allé tranquillement fesser Debrecen le champion de Roumanie (4-0) chez lui, et s’installe en tête du groupe E devant Liverpool et la Fiorentina.

Après Jean-Michel Aulas, Antoine Kombouaré se fait Christian Gourcuff. Après le grand patron, l’artisan du beau jeu. «Pleureuse», «claque dans la gueule», «qu’il dégonfle son cigare», Antoine envoie à tout va, sans calculer. Pas de stratégie de com’ pour le Kanak. Quoique…

Après avoir expliqué en quoi la répression actuelle à l’encontre des ultras français en général et niçois en particulier lui paraît abusive et comment la BSN a choisi d’y répondre en faisant grève lors de Nice-Monaco (cf. *Ultras, ennemis du football ?*), Renaud évoque maintenant le déroulement de cette grève et les incidents qui ont émaillé la fin du derby.

Le Foot hongrois, aujourd’hui ? Bof… Ceci dit, il n’y a plus de petites équipes, hein !? Alors, Puel fait exprès de se faire peur alors qu’Aulas a déjà budgétisé les 6 points contre Debrecen, aller et retour. Debrecen, petite barque de l’Est infiniment reconnaissante à Michel Platini de pouvoir mouiller auprès des big yachts espagnols, italiens et anglais. Debrecen-Lyon, c’est ce soir à 20 h 45 au Stade Ferenc Puskas de Bouddha-peste.

L’OL se déplace mardi soir à Budapest pour y défier Debrecen, petit poucet présumé du groupe. L’idée serait donc bonne de prendre les trois points avant la double confrontation avec Liverpool. Mais attention : l’affaire est loin d’être simple !

Le Milan vient de concéder un nul à domicile face à Bari. Son début de saison est alarmant. Son jeu soporifique. Ses supporters blasés. C’est quand même moche une agonie.

Le 18 mai 2008, Portsmouth gagnait la FA Cup. Un an et demi plus tard, Pompey est lanterne rouge du championnat, et n’a toujours pas inscrit le moindre point en sept matches. Retour sur une descente aux enfers inéluctable.

Après les récents incidents dans les stades, un membre actif de la Brigade Sud de Nice se livre. Répression « abusive », revendications des ultras, fumigènes, violences, il aborde tous les sujets sans langue de bois.

Bordeaux passait un test dimanche face à Rennes. En fait, s’il y avait un examen, ce sont les Bretons qui l’ont passé, et raté, face à une équipe qui s’impose comme le principal candidat à sa propre succession. Un peu comme le Lyon de la grande époque.

Bordeaux passait un test dimanche face à Rennes. En fait, s’il y avait un examen, ce sont les Bretons qui l’ont passé, et raté, face à une équipe qui s’impose comme le principal candidat à sa propre succession. Un peu comme le Lyon de la grande époque.

Monaco a peut-être perdu contre St-Étienne, Vincent Muratori sait que son équipe a de quoi faire une belle saison. En alternant victoires et défaites, l’ASM avance toujours plus vite que ceux qui enchaînent les nuls. Pour le jeune latéral gauche, il y a d’autres choses à retenir pour cette journée : le but de Mvuemba, Frédéric Thomas et la prestation de Valenciennes. avance toujours plus vite que ceux qui enchaînent les nuls. Pour le jeune latéral gauche, il y a d’autres choses à retenir pour cette journée : le but de Mvuemba, Frédéric Thomas et la prestation de Valenciennes.

Avant de repartir sur les routes européennes, la Ligue 1 s’offrait une septième journée sportive. Moralité : Lyon est solide comme un roc, Marseille commence à s’effriter, Paris piétine et Bordeaux squatte toujours la première place… Retour sur les épisodes marquants du week-end façon Guerre des Etoiles.

L’automne est arrivé, pourtant les footeux distillent toujours autant de lumière dans les stades européens. Voici les seize meilleurs marchands de bonheur du week-end.

Le Barça met les couilles sur la table, le Real continue de refroidir son monde, Séville flingue Bilbao pendant que Valencians et Colchoneros se font une petite séance de suicide collectif. Bienvenue dans une Liga qui ne rigole plus. C’est pas Villarreal qui dira le contraire.

Alors comme ça, il n’y en a plus que pour la Liga, les godilles de Messi, les cuivres du Real et aux chiottes la Premier League ? Puisque c’est ainsi, le championnat anglais a ressorti une vieille recette, celle de la journée à plus de trente buts, comme la semaine dernière.

Une sixième journée renversante de Serie A, avec en surprise du chef la place de leader occupée par la Sampdoria, première équipe à faire chuter l’Inter. La Juventus n’en a pas profité en se faisant remonter dans les derniers instants. Les traditions se perdent.

Une sixième journée renversante de Serie A, avec en surprise du chef la place de leader occupée par la Sampdoria, première équipe à faire chuter l’Inter. La Juventus n’en a pas profité en se faisant remonter dans les derniers instants. Les traditions se perdent.

L’info est passée inaperçue. C’est la première fois depuis la funeste Affaire OM-VA de 1993 que Didier Deschamps retourne à Valenciennes en tant que « Marseillais ». DD y était déjà revenu, mais comme coach monégasque. Aujourd’hui, tout un symbole. Un peu comme si « l’OM d’avant » (avec Deschamps) devait refaire aujourd’hui un détour par Valenciennes, là où il a « péché », pour repartir sur le vrai chemin de la rédemption… Avec enfin le titre au bout ?

Ashley Young fait partie de la jeune génération montante de l’Angleterre qui promet des lendemains qui rigolent. Sauf que le petit ailier d’Aston Villa a peut-être déjà tout montré de ses qualités et donc de ses limites.

VA-OM, ce ne sera jamais vraiment un match comme les autres. La faute de l’Histoire, pour quelque saisons encore. Même si, bien sûr, les rapports se sont normalisés. La preuve, c’est Jacques Pancho Abardonado qui se charge de l’avant-match; un ancien olympien qui évolue désormais dans le Nord…

L’Inter déroule au Super ou au Sans Plomb ? La Samp vit-elle au-dessus de ses moyens ? Diego Milito a-t-il les épaules aussi larges que son maillot le laisse deviner ? Cassano le Maudit peut-il commuer en Cassano le Génie ? Autant de questions qui trouveront réponse à l’issue du premier vrai examen de passage de cette Serie A 2009-2010.