Le surnom de l’Olympiakos, c’est Thrylos (“Légende” en grec)… Des “légendes”, les Girondins en ont démontées deux, des vraies, au premier tour : la Juve et le Bayern. Alors, normal qu’ils soient favoris face à des Grecs certes costauds et pas là tout à fait par hasard. Première manche ce soir à 20 h 45…
Auteur d’un quadruplé ce week-end, Cacau, l’attaquant brésilien de Stuttgart, adore l’Allemagne et la Bundesliga. Dix ans qu’il s’y régale la chique. Interview du plus allemand des brésiliens qui croit son équipe capable de battre le Barça.
Qui a losé cette semaine ? Notre nouveau baromètre hebdomadaire des perdants, des poissards et autres gloires déchues, se penche cette fois sur les cas Jean-Marc Furlan, Arsenal et Antonio Cassano.
Des triplés, des buts, la défaite de Montpellier et une victoire du PSG. Cette 25ème journée de Ligue 1 a été riche en émotions. Après un jour en France, Saez nous raconte une journée du championnat de France. Saez, le milieu de Valenciennes, of course.
Ces dernières semaines ont offert un condensé de l’essence du club Rouge et Noir, avec un succès flamboyant face à Bordeaux, puis une humiliation à Quevilly, trois jours plus tard suivie de deux défaites face à Auxerre et Lille. Le moment idéal pour un «tu sais que tu es pour Rennes quand ….»
Calé entre deux salves de matchs de Ligue des Champions, ce week-end européen nous a néanmoins permis de savoir qui allait briller une fois le money time du printemps venu. Et qui va aller « au-delà de grandes désillusions », comme disait Aimé Jacquet.
Un Real au tapis (1-0) et un Sochaux démoli chez lui (4-0)… Une semaine glorieuse pour Lyon qui pointe aujourd’hui à la 4ème place, à 5 points du leader bordelais (et un match en plus). D’aucuns commencent même à parler d’un championnat totalement relancé avec des Gones remis en selle pour la course au titre. Faut voir…
Bordeaux a savouré son week-end. En repos afin de préparer son match de C1 contre l’Olympiakos, le leader Girondin est resté serein sur son fauteuil à bascule. Montpellier a pris une balle entre les deux yeux, le Paris SG a gagné après “un très grand match”, Grenoble est en Ligue 2, Didier Ollé-Nicolle est toujours vivant et Lyon se met aux braquos. Retour sur un week-end de cow-boys.
Menacé par les victoires conjointes de Lyon et Marseille, le LOSC n’a pas tremblé face à Rennes et s’est imposé in extremis grâce à un but d’Aubameyang. Les Dogues restent cramponnés à leur troisième place et reviennent à un point de Montpellier.
Manchester battu à Everton (1-3), c’est Chelsea, vainqueur des Wolves (2-0), qui fait la bonne opération. Derrière, Arsenal se rapproche tandis que City et Liverpool repartent dos à dos (0-0) et voient revenir Aston Villa et Tottenham.
Le Real démonte Villarreal, le Barça fesse Santander, Séville surclasse Majorque, les Basques écrasent Tenerife et Malaga sort de la zone de relégation grâce à sa victoire contre l’Espanyol. La Liga entre dans le dur pendant que Zokora préfère le mou de la mère de l’arbitre. Résumé d’une 23ème journée de Liga hardcore.
Le Real démonte Villarreal, le Barça fesse Santander, Séville surclasse Majorque, les Basques écrasent Tenerife et Malaga sort de la zone de relégation grâce à sa victoire contre l’Espanyol. La Liga entre dans le dur pendant que Zokora préfère le mou de la mère de l’arbitre. Résumé d’une 23ème journée de Liga hardcore.
En Italie, on sait déjà que l’Inter sera champion. Ce que l’on sait moins, ce sont les noms des malheureux qui iront expier leur peine en Serie B. Et là, la course est un peu plus serrée. Etat des lieux.
Sur le terrain, le PSG n’a pas montré grand chose contre le Téfécé. Mais dans un Parc des Princes à moitié muet, l’ambiance était à la fois hostile et déroutante.
Aujourd’hui, à 16h, Manchester City, actuellement 4e, peut mettre Liverpool hors combat pour la dernière place du Big Four. La mini-révolution est dans l’air mais attention côté Citizens car depuis quelques semaines, les Reds vont mieux.
Après Wolfsbourg la saison dernière, le Bayern a de nouveau une équipe poil à gratter dans la lutte pour le titre. C’est le grand retour du Bayer Leverkusen, le meilleur looser de la Bundesliga, après cinq saisons d’anonymat. Décryptage de cette surprise, aux 2/3 de la saison, avec l’aide d’un ancien de la maison, tout en épaules rentrées, Oliver Neuville, aujourd’hui à Möchengladbach.
Ouf, après une série de trois défaites en quatre matches, Arsenal va pouvoir souffler un peu face au modeste Sunderland. Sûr ? Gaffe jeunes Gunners car chez les Black Cats, Darren Bent est la promesse d’un après-midi compliqué. Portrait d’un revanchard.
Troisième de Ligue 1, encore dans la course au titre et en UEFA, Lille peine toujours à intéresser public et médias. Esquisses d’explications d’un faible pouvoir d’attraction.
Welcome Home. Pour la première fois, Wayne Rooney revient affronter son club formateur, Everton, avec un statut de Ballon d’Or en puissance. Tout cela ne doit cependant pas occulter le fait que Manchester jouera gros face à l’autre club de Liverpool, dont le classement n’est pas forcément flatteur.
Bordeaux est au repos, préparant son 8ème de Champion’s League contre Le Pirée. Les poursuivants essaieront donc de combler tant que possible le trou, provisoirement. En bas de tableau, Boulogne et Le Mans devraient décider de leur sort en Ligue 1, Lorient de celui d’Ollé-Nicolle. A Montpellier, on est tranquille, la deuxième place est assurée, même en cas de défaite.
Il y a peu, Eric Cantona qualifiait son entraîneur de « sac à merde », Gérard Houllier snipait David Ginola un soir de novembre 1993… Aujourd’hui, les déclarations puent la langue de bois et les discours de communication. Top 10 du meilleur du best du génial.
Nouvelle rubrique sur sofoot.com ! Librement inspirée de ce que l’on peut trouver sur les réseaux sociaux certes, mais en beaucoup plus subtile, documentée et pertinente. Et parce qu’il n’y a pas que la L1 dans l
«Les gardiens allemands réagissent comme des murs»
Il devait être le futur du Stade Rennais. Malheureusement, dans le sillage de l’arrivée de Guy Lacombe en Bretagne, sa carrière prend du plomb dans les ailes. Barré par Patrice Luzi puis Nicolas Douchez, il fera le choix de l’exil, direction la D2 allemande et le sexy SC Fribourg. Aujourd’hui en Bundesliga, Pouplin lutte avec son club pour le maintien.
Presque une formalité pour Marseille, même si le contenu était parfois un peu light et «relâché». Mais victoire importante quand même. Un coup de génie : le but pas possible de Ben Arfa. Sauf tsunami méditerranéen, l’OM devrait jouer les 8èmes face au vainqueur de Hertha-Benfica (1-1 à Berlin et ballottage favorable pour les Portugais)…
C’est une petite révolution qui secoue le football argentin à l’orée de cette nouvelle décennie : aucun des « Cinq grands » de Primera (Boca, River, San Lorenzo, Independiente et le Racing) ne dispute la Copa Libertadores. Une première depuis vingt-sept ans, plus symptomatique qu’anecdotique.
Place aujourd’hui à la petite sœur européenne. Pas d’énormes affiches mais un plateau qui se relève enfin, après quelques années de torpeur footballistique. Marseille et Lille sont bien entourés mais peuvent s’en sortir, au moins pour ces 16èmes de finale. Ensuite, on verra. Lyon a bien montré la voie, non ?
Pourquoi Marseille doit punir le FC Copenhague ? Pour venger l’équipe de France, soumise depuis de trop nombreuses années à des déplacements périlleux aux Féroé ! A la base, les Féroé, c’est danois. Les Féroé et surtout le Danemark ont trop souvent été le cauchemar des Bleus (remember Euro 92, Mondial 2002). Il suffit ! Puisse Marseille faire mordre la poudreuse aux Vikings !
Selon la majorité des médias français, l’Olympique de Marseille, en héritant du FC Copenhague, serait déjà qualifié pour les 8èmes de finale de l’Europa Ligue. Pas si simple.
Nice fait son carnaval. Incapables de gagner un match depuis fin novembre, les Niçois sont au bord du gouffre (17ème au classement). L’entraîneur Didier Ollé-Nicolle stigmatise le mal qui envahit le club azuréen. Avant de recevoir Lorient samedi, le DON est-il déjà foutu ?
Au terme d’un match équilibré et alerte, Porto s’est donné un léger avantage avant d’aller subir à l’Emirates en profitant de deux immenses bévues de l’arrière-garde londonienne. Au banc des accusés : Campbell et Fabianski. Ou l’arbitre, selon le camp dans lequel on se place.