Le Bayern Munich, invaincu depuis la mi-novembre, rêve de faire mieux que la saison dernière en Ligue des Champions et d’atteindre les demi-finales. Dans un stade Artemio Franchi chauffé à blanc, probablement sous la neige, l’équipe bavaroise (avec son petit but d’avance) se trouve dans sa situation préférée, celle d’une équipe qui attend, pour mieux survivre en contre-attaque…
Après avoir planté deux buts contre Arsenal (2-1) en huitièmes de finale aller de la Ligue des Champions, le FC Porto est à deux doigts de la faire à l’envers aux Gunners. Et ce ne serait qu’un succès de plus pour un club habitué aux grands crus.
Au mauvais endroit au mauvais moment, responsables mais pas coupables ou passionnément tragiques, les losers de la semaine se nomment Julien Escudé, la Fiorentina, et Didier Ollé-Nicolle.
Battus à Wigan (0-1), les Reds affichent un niveau proche du néant à trois jours de leur rendez-vous à Lille en Europa Ligue. Revue de détail au sein d’un géant en perdition.
L’été dernier, Didier Ollé-Nicolle était la « meilleure recrue » de l’ancien président Maurice Cohen. Aujourd’hui, DON n’est plus rien. Une défaite de trop l’a remis à sa place : dehors. Un triumvirat interne va le remplacer. Pour quoi faire et pour combien de temps ?
Propulsée présidente du Bologne FC 1909 après son rachat par son père, Renzo Menarini, Francesca Menarini, donc, est aux commandes du club depuis le 13 septembre 2008. Et parce qu’aujourd’hui c’est la journée de la femme, quoi de plus normal que de lui offrir une tribune sur sofoot.com. Elle nous explique en quoi consiste son rôle de présidente. Entretien.
Chaque année de Coupe du monde, c’est le même feuilleton. Le retour du super héros. Vieira pour la France, Luca Toni pour l’Italie, Ronaldinho et Ronaldo pour le Brésil… En Angleterre, jusqu’à la semaine dernière, c’était Michael Owen, ex-ballon d’or, ex-buteur prolifique. Avant de mettre un terme lui-même au suspense, le jour où tout pouvait redevenir possible…
Chaque année de Coupe du monde, c’est le même feuilleton. Le retour du super héros. Vieira pour la France, Luca Toni pour l’Italie, Ronaldinho et Ronaldo pour le Brésil… En Angleterre, jusqu’à la semaine dernière, c’était Michael Owen, ex-ballon d’or, ex-buteur prolifique. Avant de mettre un terme lui-même au suspense, le jour où tout pouvait redevenir possible…
Bien sûr, ce week-end Manchester United a repris la tête de la Premier League et Arsenal se rapproche de la pole. Mais l’événement pourtant c’était la Cup, non ?
Avec des matchs en retard et des équipes qui jouent les coupes, les classements européens deviennent de plus en plus illisibles. Par contre, sur les terrains, pas d’excuses : on brille ou on coule.
La cité des Anges est en émoi. La 82eme cérémonie des Oscars va rendre son verdict. Talent, grâce, fluidité, beauté des images… la Ligue 1 est film à suspense. Le 27e acte était attendu. La douce mort du Paris SG, le choc des leaders, la chute niçoise… une journée décidément musclée. Action !
Super match ! De l’intensité, du suspens, des buts… et le ballon qui vit ! Malgré un arbitrage du niveau des Bleus contre l’Espagne. Mais bon : super match, quand même.
Les trois premiers du classement qui sont infoutus de marquer un pion, ça s’est passé ce week-end en Italie. Et c’est la Juventus qui remontre le bout de son nez. Eh ouais.
Week-end important en Premier League avec la prise de pouvoir de Manchester United et le retour d’Arsenal à hauteur de Chelsea. Avec un bémol toutefois : les Blues ne jouaient pas en championnat, FA Cup oblige où il s’est passé des choses très intéressantes…
La guerre des nerfs vient de recommencer. Grâce à leur prestation éblouissante, voire carrément héroïque contre le FC Séville, les Merengues rejoignent en tête du classement un Barça méconnaissable à Almeria. Le choc des titans va finalement avoir lieu… Tant mieux !
Vainqueur 3-0 au Parc des Princes la semaine dernière, l’OM n’a pu faire mieux que match nul contre Lorient cet après-midi au Vélodrome (1-1). Dans le match des mal classés, Le Mans et Grenoble se sont neutralisés sur le même score.
La réception de Hull dimanche pourrait bien être le dernier match de Landon Donovan avec Everton. Seulement prêté aux Toffees, le meilleur joueur américain de l’histoire est prié de rentrer au pays, chez les LA Galaxy, pour un énième malentendu entre le prince du soccer et le monde du football.
Le Paris Saint-Germain fête son quarantième anniversaire, en même temps qu’il semble en train de mourir. Oui, le Paris SG qui a fait rêver tant de personnes n’existe plus. Ce soir, à Lens, commence une nouvelle ère. Celle du PSG, année zéro.
Cielito Lindo. C’est un refrain mexicain, sorte d’hymne national bis d’un pays où Cesar Delgado s’est révélé au plus haut niveau, comme ailier-buteur. Devenu titulaire à Lyon après deux ans à jouer le coéquipier-remplaçant modèle, le voilà désormais sur le devant de la scène au moment où l’OL se trouve à 90 minutes de faire vibrer l’Europe. Chelito Lindo, le refrain du printemps lyonnais ?
Le Sevilla se présente au Bernabeu en apéritif d’une semaine décisive pour le Real. En attendant ce qui sera sans doute le match le plus important de la saison pour les Merengues mercredi soir, celui de ce soir doit montrer si oui ou non, il y a beaucoup à espérer de ce Real-là. Mine de rien, le Real joue sa saison cette semaine. Inventaire avant liquidation.
On avait presque oublié que Bordeaux jouait encore en Ligue 1. Exempts depuis deux journées, les Girondins reprennent leurs exercices avec un problème épineux à régler : Montpellier. La place de leader est en danger, Lyon et Marseille pouvant se mêler à la lutte. Dans le bas de tableau, Le Mans se déplace à Grenoble pour sauver ses derniers espoirs.
Juan Manuel Lillo est un peu le Menotti de la Liga et peut causer ballon pendant des plombes sans ciller. Nostalgique, le Basque a côtoyé Pep Guardiola lors de son bref passage au Mexique, à Dorados. Devenus copains comme cochons, les coachs d’Almeria et du Barça s’affrontent pour la première fois sur un banc. Analyse de l’actu du foot espagnol voire un peu plus, avec un passionné. Un vrai. Deuxième partie.
Alors que la France entière doute de sa sélection, Raymond Domenech semble habité de certitudes, autour de quelques joueurs indéboulonnables. Des vaches sacrées trop encombrantes ?
Thierry Henry doit-il se blesser avant la Coupe du Monde ? Clairement, l’attaquant de Barcelone n’est plus indispensable aux Bleus. Pire, il en est même devenu un boulet. Parce que son statut, son passé, et surtout son brassard lui assurent une place de titulaire dans le onze tricolore. Il faut donc faire jouer Thierry Henry. Mais où ?
Juan Manuel Lillo est un peu le Menotti de la Liga et peut causer ballon pendant des plombes sans ciller. Nostalgique, le Basque a côtoyé Pep Guardiola lors de son bref passage au Mexique, à Dorados. Devenus copains comme cochons, les coachs d’Almeria et du Barça s’affrontent pour la première fois sur un banc. Analyse de l’actu du foot espagnol voire un peu plus, avec un passionné. Un vrai.
François-Michel Gonnot est député UMP de la 6e circonscription de l’Oise. Au lendemain de la leçon d’espagnol reçue par les Bleus, il publie sur son blog un post intitulé «{La tête de Raymond}» en forme d’appel au secours à l’intention de la secrétaire d’Etat chargée des Sports Rama Yade. Cri du cœur ou récupération politique ? A vous de juger.
«Pourquoi l’ASM est en L1 alors que c’est pas en France?»
«Pourquoi l’ASM est en L1 alors que c’est pas en France?»
Émigré très tôt en Angleterre, Vadim Peare aka DJ Vadim s’est parfaitement intégré au pays des polos Fred Perry : le Russe parle avec un accent anglais et supporte les Reds. Prends ça Eric Besson !
Julien Quemener, Yann L. Deux membres du Kop de Boulogne, deux destins tragiques. Dans les deux cas, un emballement médiatique immédiat relativement loin de la réalité. Analyse.
Quand les Champions d’Europe rencontrent les champions de la France, le match dure 45 minutes. En clair, Ciani a salopé son baptême en bleu au sein d’une défense toute molle pendant que Gourcuff, Ribéry ou Henry, entre autres, avaient décidé de la jouer à l’envers. Heureusement qu’en face, il y avait Sergio, David, Cesc et compagnie…
L’Equipe de France n’a pas fait illusion face à l’Espagne, qui a plié l’histoire en 45 minutes (0-2). Si la Roja est bien là où on l’attendait, les Bleus, eux, sont très loin du compte à moins de 100 jours de la Coupe du monde.
Une Coupe du Monde se gagne très souvent en défense. Pour une fois, celle de l’Angleterre présentait quelques garanties. Et comme d’habitude, au gré des galères qui s’enchaînent, c’est ce qui lui coûtera encore le titre mondial tant attendu depuis 44 ans.