Le Bavarois, peut-être plus encore que Robben et Olic, devrait être le joueur majeur du Bayern Munich, pour protéger la fragile défense munichoise face à l’Inter. Ouais, une mission d’Allemand, une tête d’Allemand, un jeu d’Allemand, une efficacité d’Allemand et un nom d’Allemand : Bastian Schweinsteiger, Messieurs, Dames !
Rare Français à s’être imposé à l’Inter Milan, à tel point qu’il est resté dans les murs en tant que coach des sélections de jeunes, Benoît Cauet donne du «nous» quand il parle de son club à quelques heures de la finale de la C1 face au Bayern Munich.
Inter le club maudit. Massimo Moratti a dû en avaler des couleuvres depuis qu’il a pris la tête du club. Mais en 2010, son bébé est enfin en finale de C1. Il ne reste plus qu’à flinguer cette image de perdant et redorer son blason hors de ses frontières.
Merci Carrasso. Certains auraient pu tirer la tronche quant à la perspective de passer le Mondial sur le banc. Lui, non. Honnête, carré dans ses réponses, Carrasso est clairement entré dans sa Coupe du Monde. Que les autres suivent…
Voilà, le dernier rendez-vous du football européen arrive : la finale de la Ligue des Champions entre l’Inter et le Bayern. Assurément le match le plus important de la saison. Pourtant, depuis la création de la C1, certaines finales mériteraient d’être oubliées, notamment celles de la Juventus…
José Mourinho a reçu une couronne dorée de la part d’un journaliste bulgare. Osera-t-il la porter si l’Inter remporte demain sa première Ligue des champions depuis quarante-cinq ans ? Le Portugais sait qu’il peut devenir le troisième entraîneur à remporter la C1 avec deux clubs différents.
Lorsque Ronaldo signe à l’Inter Milan pour 167 millions de francs (record de l’époque), la femme du président Massimo Moratti tente de ramener son mari à la raison, en lui conseillant de placer sa fortune dans des causes humanitaires. La réponse est cinglante : «Qui souffre plus qu’un supporter de l’Inter ?».
Tourmenté et flagellé sur les différents terrains d’Europe toute la saison… le Bayern München a su ressusciter à chaque tour et réinventer le concept du miracle permanent. Retour sur un parcours qui prend racine à Haifa.
Même prénom, mêmes initiales mais deux mondes aux antipodes. Diego Milito est aussi laborieux que Diego Maradona était surdoué, aussi discret que le Pibe était flamboyant, aussi sage que son sélectionneur est fou. Pourtant, ce Diego M. là gagne à être connu. Samedi, c’est peut-être lui qui remettra définitivement l’Inter Milan sur la carte de l’Europe.
Même prénom, mêmes initiales mais deux mondes aux antipodes. Diego Milito est aussi laborieux que Diego Maradona était surdoué, aussi discret que le Pibe était flamboyant, aussi sage que son sélectionneur est fou. Pourtant, ce Diego M. là gagne à être connu. Samedi, c’est peut-être lui qui remettra définitivement l’Inter Milan sur la carte de l’Europe.
Guardiola avait prévenu : «Il faut oublier la saison dernière». Certes les Catalans restent champions d’Espagne, mais la meilleure équipe du monde (selon le reste de l’humanité) a perdu deux titres cette saison. S’il ne devait rester que sept jours à cette saison bizarre, ce serait ceux-là.
Sa voix est aussi mythique que le record d’Usain Bolt sur 100m. Polyglotte et interviewer phare de France Télévisions, Nelson Monfort fait son bilan du football international, mais donne également son avis sur Raymond Domenech. A vous Nelson !
Des 30 présélectionnés la semaine dernière, Vicente Del Bosque en a gardé 23. Le mieux étant l’ennemi du bien, le groupe de 2010 ressemble beaucoup à celui de 2008.
Quel que soit le résultat de la finale de Champions League samedi, la saison 2009-2010 restera vivace dans les annales du football allemand grâce à la dramaturgie des imperfections du club bavarois. Flashback sur les forces et faiblesses du club phare de la Bundesliga.
Certains ont voulu le faire passer pour un bizut. Premier retoquage. D’autres ont voulu le faire passer pour un éclopé miraculé. Deuxième retoquage. Pas vexé mais presque, Anthony Réveillère a -quand même- répondu aux questions convenues, mercredi, lors d’un point presse. Un grand moment qui ne marquera pas l’Histoire.
Ok, Lille n’a pas fini sur le podium. Ok, Lille a un stade de sdf. Ok, Lille joue avec une tenue de championnat corpo. Ok. Mais malgré tout ça, le Losc a été l’équipe la plus tripante de la saison. Si en plus, les Dogues se mettent à faire des bras d’honneur à Aulas… Bilan et perspective.
Lionel Jospin, Le Grand Journal, Tim Burton, le Martinez… Le Festival de Cannes ? Dépassé. Aujourd’hui, les VIP se massent dans la station balnéaire de Laval pour assister à la remise des dix césars de la L2. Avec comme maîtres de cérémonie le trio Bazdarevic-Guyot-Cormier.
C’était à prévoir. La chance ne pouvait pas sourire éternellement aux Colchoneros. Le FC Séville remporte la Coupe du Roi sans aucun conteste possible. L’épilogue de la saison espagnole aura été beau, bruyant, coloré et disputé. Résumé.
Troisième à se livrer au jeu de la conférence de presse après Domenech et Evra, Petit Vélo est venu à Tignes avec «beaucoup de détermination, beaucoup d’humilité». Beaucoup de naïveté, aussi. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes de Valbuena. Et ça, «ça fait toujours plaisir».
Après Raymond hier, place aux joueurs face aux journalistes. Evra, en taulier de vestiaire, a ouvert le bal. Croyance, confiance et tacle, les deux pieds décollés sur l’annonce du prochain sélectionneur. Faut pas le chauffer…
L’Atletico rêve d’un doublé historique. Séville veut sauver sa saison. Colchoneros et Rojiblancos s’affrontent en finale de la Coupe du Roi pour l’épilogue de la saison espagnole. Focus sur les forces et faiblesses des deux aspirants au trône.
Nicolas Penneteau a rejoint la sélection corse, et il affrontera aujourd’hui la sélection bretonne (avec Menez, Didot, Lemoine) dans une Corsica Football Cup qui accueillera également le Gabon de Rohr et le Togo d’Adebayor. L’occasion pour le portier de faire le point.
Du soleil, du foot, de la musique, une bonne action. Vous n’avez aucune raison de manquer la journée du 19 mai à Charléty, où se déroulera le World Soccer Tour, organisé par l’ancien joueur lensois et monégasque, Wagneau Eloi. La collecte de fonds reviendra intégralement à Haïti, frappée violemment par un séisme dévastateur.
Il y a le bilan brut : une deuxième place synonyme de 12e qualif de rang pour la Champions’, et une demi-finale de C1, la toute première de l’Histoire du club. Bon. Mais Lyon a bien trop galéré cette saison pour se contenter de son printemps flatteur. Passage en revue des éléments d’une saison lyonnaise riche d’enseignements.
De l’avis général et des journalistes en particulier Franck Ribéry ne pouvait que partir à la fin de la saison au Real Madrid ou au FC Barcelone ! Et si finalement le Bayern Munich avait son mot à dire comme l’année dernière ? Retour sur un poker menteur où le club bavarois joue le « BET » Ribéry.
Voilà, le Paris-SG nouveau est arrivé. Des enfants, des femmes, des amoureux du club, de la mixité, du mélange. Ou comment en une journée, les dirigeants du Paris-SG ont changé l’identité d’un club l’année de ses quarante ans. Pour le meilleur… ou pour le pire ?
Première conférence de presse, sous 4°C à Tignes. Raymond Domenech n’a pas changé les habitudes : réponses calibrées, jamais la bonne balle dans le bon fusil. Au moins, ça le fait marrer…
Dans « Film Socialisme », projeté à Cannes et en salles mercredi, Jean-Luc Godard rend un bel hommage amer au Barça de Guardiola. Avec Patti Smith, l’ex-tenniswoman Cathy Tanvier, le philosophe Alain Badiou et Andrés Iniesta…
Une révélation, dans le football, c’est un joueur dont on ne connaissait pas le nom la saison précédente. Sur le terrain, ça donne une équipe pas forcément équilibrée, mais ces petits jeunes peuvent s’adapter à tous les postes, n’est-ce pas… Et sur le banc, place aux arnaques, aux pièges, aux imposteurs.
Une saison et 300 millions d’euros plus tard, le Real de Perez est revenu au point de départ. Le Real a beau être devenu le club le plus riche du monde, il n’a rien à accrocher à sa boutonnière à part quelques regrets. S’il ne fallait se souvenir que de sept jours, voilà ce qu’on choisirait.
Mussolini n’avait jamais posé le pied dans un stade de foot avant 1934. C’est pourtant en partie grâce à son influence néfaste que l’Italie décroche sa première étoile. Cette deuxième édition se voulait plus pro que la cuvée 1930. Au final, la compétition aura été salie par le spectre fasciste et les scandales arbitraux.