- Amical
- Allemagne/Italie (1-1)
L’Allemagne a son chat noir
Depuis 2006, l’Allemagne progresse et l’Italie régresse. Du coup, c’est écrit, les Allemands vont enfin battre les Italiens. Bah non.
Depuis 2006, l’Allemagne progresse et l’Italie régresse. Du coup, c’est écrit, les Allemands vont enfin battre les Italiens. Bah non.
La Hollande se balade, l’Argentine assure, l’Angleterre se rassure, la Roja inquiète. Un mercredi soir comme un autre dans l’imprévisible monde du football sans enjeu.
Laurent Blanc peut remercier Hernanes. Sans son expulsion, la France n’aurait pas gagné ce match. Mais elle ne l’aurait sans doute pas perdu non plus…
Si la France est la bête noire du Brésil, l’Italie est celle de l’Allemagne. Sauf que la Mannschaft est en train de construire une équipe impressionnante.
Pas besoin de s’appeler Zidane ou Ronaldo pour disputer un France-Brésil.
C’était une finale de Coupe du Monde il y a à peine treize ans. Pourtant, aucun des deux adversaires de ce soir ne pourrait prétendre à un sacre mondial à l’heure actuelle.
Le Footixinho, comme son nom l’indique, est le supporter français de base qui ne jure que par le Brésil. Parce qu’il croit que ça fait plus classe.
Nicola Son est français mais amoureux au Brésil, au point de sortir un album intitulé « Parioca ».
Champion du monde 70, Paulo Cézar Caju, qui a joué à l’OM (74-75), est bloqué dans les 70’s.
Mercredi, la France qui n’a pas Ma Chaîne Sport va découvrir le Brésilien Hulk. Entretien avec les Français de Liga déjà victimes de l’attaquant du FC Porto.
«Je viens de me faire contrôler par la police. Rappelez-moi plus tard». C’est ce qu’on a fait.
1986, 1998, 2006… Que des bons souvenirs pour les Bleus. Pour les Brésiliens, des défaites amères qu’ils n’ont toujours pas digérées.
Le Brésil c’est le football samba, un jeu léché, des techniciens et des sourires. Ronaldinho, Sonny Anderson, Juninho & co. Pourtant…
Mano Menezes reste fidèle à sa philosophie : exit les bourrins, place aux jeunes et aux artistes.
Dortmund ne s’est pas imposé dans le derby de la Ruhr face à Schalke, mais ses poursuivants non plus, à l’exception d’Hanovre. L’autre derby, celui de Hambourg, a quant à lui été reporté.
Quitte à ressasser des resucées, voici ici les trois vérités vraies de la 22ème journée de Ligue 1.
Les mal-classés se rebellent, les Corses à l’honneur, Nantes qui perd du terrain et Istres qui se met à rêver. Et scoop : Raymond Kopa a foulé les pelouses de L2.
Beaucoup de Premier League et beaucoup de joueurs offensifs, pour un week-end où le championnat anglais a crevé les plafonds.
Milan va devoir remettre les gaz : l’Inter est à bloc et bien décidée à reprendre son sceptre. Naples joue toujours les trouble-fêtes.
L’an dernier, c’était l’affiche d’un quart de finale de C1. Cette année, c’est un match entre deux bêtes blessées. Après 90 minutes de combat, les deux équipes se sont séparées sans but.
L’an dernier, c’était l’affiche d’un quart de finale de C1. Cette année, c’est un match entre deux bêtes blessées. Après 90 minutes de combat, les deux équipes se sont séparées sans but.
Le Barça enchaine une 16e victoire consécutive, Kaka revit, Villarreal sombre face à un promu, Bilbao envoie du rêve, l’Espanyol trébuche encore et Getafe fait sa révolution tactique.
Liverpool a créé la surprise à Stamford Bridge grâce à Raul Meireles. Torres, lors de sa première chez les Reds, avait scoré contre Chelsea. Aujourd’hui, pour ses débuts avec les Blues, il n’a rien fait.
Après avoir mené quasiment toute la rencontre, Lille a dû se contenter d’un match nul, la faute à un but auxerrois pas très catholique. Monaco, qui s’incline à Toulouse (0-2) plonge un peu plus.
A sept points du leader, Lyon doit réagir après sa défaite à Valenciennes qui a fait réapparaître les vieux démons du début de saison.
Ce soir, les deux équipes phares des dernières saisons se retrouvent pour un choc qui, pour une fois, ne vaut pas la première place. Ou presque. Quoiqu’il en soit, la haine sera là. Ouf.
Olivier Dacourt était un bon client télé. Aujourd’hui, il est chroniqueur chez Téléfoot.
Dimanche, le leader de L1 se rend chez l’AJA. Auxerre un vieux et mauvais souvenir pour Aurélien Chedjou.
Une pelle de buts, des arbitres mauvais, des retournements de situation de dingues, MU qui tombe chez les Wolves et Arsenal qui n’arrive pas à conserver 4 buts d’avance. Bref, n’importe quoi.
Carlos Alberto Sanchez Moreno s’est taillé une place au soleil sous le maillot de Valenciennes.
Pour manifester leur mécontentement face au plan Leproux, des fans parisiens avaient prévu de se regrouper, indépendamment du déplacement officiel organisé par le PSG à Rennes.