- Serie A – Napoli
Tu sais que tu supportes le Napoli quand…
Toi, tu aimes le bleu, tu trouves qu’un zèbre, c’est juste un âne avec des rayures, t’aimes les crêtes, les tatouages et Diego. Tu es pour le Napoli.
Toi, tu aimes le bleu, tu trouves qu’un zèbre, c’est juste un âne avec des rayures, t’aimes les crêtes, les tatouages et Diego. Tu es pour le Napoli.
Portable à l’oreille sur un terrain de foot de son pays natal, l’ancien sorcier nantais et abonné de l’infirmerie monégasque évoque la chute de ses deux clubs de cœur et les évolutions du foot en Afrique et au Tchad.
Cachés quelque part entre Paris, Montpellier et Marseille, les Lillois profitent de l’emballement médiatique post-classico pour continuer ce qu’ils font depuis le début de la saison : avancer sans faire de bruit.
Nantes sur le terrain, Parme sur le banc. Voilà comment on peut résumer la dream team de Reynald Pedros, qui ne garde visiblement pas un grand souvenir de ses passages à Lyon, Toulouse et Bastia.
Parce que parfois 140 caractères suffisent. Parce que le footballeur a compris que sur la toile au moins, le public ne s’en irait pas. Florilège du meilleur et du pire de la sem@ine.
Pantxi Sirieix, c’est la touche basque du Téfécé, et l’érudit du club. Pas une faute dans ses SMS, et un vocabulaire varié. Il a joué dix minutes face à Valenciennes, mais à part ça, il n’a rien loupé de la 15e journée de L1.
C’est une victoire au physique, à la tactique et au mental qu’a construit l’OM face à un PSG dépassé. Mais déjà se pose la question : pour lequel des deux ce résultat est-il le plus révélateur ?
Étincelant lors de ses premières sorties avec le PSG, Javier Pastore semble totalement déphasé depuis quelques rencontres. Triste, amorphe sur la pelouse, le joueur connaît une période de vide qui inquiète les supporters parisiens. Analyse.
Trois matches, un petit point de pris. C’est le triste bilan des joueurs d’Antoine Kombouaré lors des trois dernières journées. Pendant ce temps, Montpellier en a pris sept…
L’OM qui atomise le PSG, le Barça qui perd pour la première fois de la saison, la Juve qui prend les commandes de la Serie A, City qui peine, United qui peine, le Real qui ne peine jamais : il s’est passé de bien belles choses, ce week-end, dans toute l’Europe.
Plus concerné, plus déterminé, plus collectif, l’OM a tout simplement tout fait mieux que le PSG dans ce Classico. Toujours pas de Pastore, toujours de moins en moins de Gameiro et encore une “crise” de novembre côté Paris-Saint-Bling-Bling.
Battu pour la première fois de la saison à Getafe hier soir (1-0), le Barca est distancé au classement par le Real Madrid, qui n’a pas trop eu à forcer dans le derby madrilène, contre l’Atletico (4-1).
Au terme d’un Classico moyen, Marseille l’a logiquement emporté sur un PSG en bois (3-0). Une lueur pour Didier Deschamps, le début d’une longue semaine de galère pour Antoine Kombouaré, abandonné par ses joueurs…
Après la Juve, voilà le Milan. Les rossoneri ont écrasé le Chievo (4-0), et montent ainsi à la deuxième position, à une longueur des Turinois, vainqueurs hier soir de la Lazio (0-1). Dans le bas de tableau, l’Inter respire, grâce à un succès arraché à la dernière minute à Sienne.
Le Bayern est encore tombé à Mayence (2-3) comme il avait été défait il y a un mois à Hanovre et la semaine passée chez lui contre Dortmund. Le Werder vainqueur de Stuttgart (2-0) recolle à trois points de la tête.
Reina aurait dû être expulsé en première période, mais non. City, largement dominateur, était parti pour s’assurer une victoire dès la demi-heure de jeu, mais non. La faute à Lescott. Résultat: match nul (1-1) et fin de la série de 7 victoires d’affilée.
Bien emmenés par un Lisandro Lopez des grands aprem, l’Olympique Lyonnais s’est imposé (3-0) face à des Auxerrois pas vernis. Au Moustoir, les Lorientais ont ramé mais ont pris les trois points (1-0) contre Nice.
A l’occasion du classique OM/PSG, Juan Pablo Sorin inaugure son blog sur le dotcom de SoFoot. Au menu aujourd’hui, son départ forcé du PSG. En cause: ses relations avec coach Vahid.
Jazzy Bazz, c’est un type de 22 ans qui connaît mieux le rap des nineties qu’un quadra. C’est le genre de mec que certains ignoraient avant Rap Contenders. Et surtout, un homme qui supporte le PSG. Car ici c’est Paris.
Du fin fond de sa SuperLiga danoise, où il défend aujourd’hui les couleurs d’Odense, Bernard Mendy capte Canal Sat’ et sera bien assis dans son canapé pour savourer cet OM-PSG.
L’entraîneur de l’OM que l’on décrit comme indéboulonnable pourrait bien en fait ne pas résister à une rouste distribuée ce soir par le PSG au Vélodrome.
Paris, Marseille, on s’en tape ! C’est au Qatar que ça se passe. C’est de là-bas qu’arrive une pression ravageuse qui plombe plus qu’on ne le pense une équipe du PSG normalement supérieure à l’OM. Scénario catastrophe ce soir au Boulodrome ?
Quelques jours après la déconvenue napolitaine en Ligue des Champions (1-2), Manchester City passe un nouveau test sur la pelouse d’Anfield Road. Une manière, comme une autre, d’évacuer sa gueule de bois.
Mamadou Sakho a 21 ans. Il est né à Paris. Il a été formé à Paris. Aujourd’hui, il en est le capitaine. Ce soir, il entrera sur la pelouse du Vélodrome en « conquérant ». Comme un mec amoureux de sa ville et de son club.
Longtemps cible de toutes les moqueries pour sa technique limitée, Dennis Oliech est en train de réaliser son meilleur début de saison depuis son arrivée en France. De quoi se poser une question: et si, finalement, cet homme était un vrai bon joueur de foot ?
Entre 2002 et 2004, le PSG va infliger huit défaites de rang à l’OM. Un grand huit qui a fait jubiler les Parisiens et donner la nausée aux Marseillais. Sélection de huit hommes clés de cette série inouïe.
Le Borussia Dortmund, vainqueur de Schalke 04 (2-0), a enfin pris la tête de la Bundesliga à égalité de points avec un Mönchengladbach, spatial hier à Cologne 3-0). Le Bayern ne retrouvera son trône que s’il s’impose à Mayence ce dimanche.
Au terme d’un match magnifique, la Juve s’impose 1-0 face à la Lazio au stadio Olimpico, grâce, comme la saison passée, à un but de Simone Pepe. Les Turinois ont souffert en seconde période, mais ramènent chez eux trois points fondamentaux dans la course au titre. La Lazio sort vaincue, mais la tête haute. Et Cavani sauve Naples à la dernière seconde.
Le derby de Madrid n’a pas eu lieu. Des Colchoneros sans âme se sont fait avaler par un Real (4-1) sans magie. Compte-rendu d’un naufrage annoncé.
Grâce à sa victoire logique face à Sochaux (3-1), Montpellier trône en tête de la Ligue 1, trois points devant le PSG. Derrière, ça suit: Toulouse et Rennes restent au contact.
Comme l’année dernière, supporters parisiens et marseillais regarderont les chocs à l’extérieur depuis les bars de leur ville respective. Et comme en 2010, la décision est venue directement du ministère de l’intérieur.