Quercia : «Dans 10 ans, c’est ma femme qui ira travailler»
Quercia : «Dans 10 ans, c’est ma femme qui ira travailler»
Ce soir, Julien Quercia sait où il sera. Dans les tribunes du Moustoir à soutenir ses coéquipiers face à l’OL. Et dans 10 ans? Côté terrain, il jouera encore, et à la maison, il suivra « maman »
Avoir un examen de 22h à 23h45, c’est dur. Le rater dans son propre bahut, c’est encore pire. Les parents du petit Ronaldo seront prochainement convoqués dans le bureau du proviseur.
Si les regards de l’Europe entière sont ce soir focalisés sur Santiago Bernabeu, on jouait aussi en Italie. Lors de la première partie de la 15ème journée, la Lazio est allée obtenir une victoire fondamentale à Lecce, l’Inter a enfin gagné, et Palerme a laissé échapper ses premiers points à domicile. La Serie A : garantie sans Messi et CR7.
Aussi bons en première mi-temps que peu inspirés en seconde, les joueurs du Paris Saint-Germain s’offrent trois points importants sur la pelouse de Sochaux (1-0). Devant, Montpellier cale à Valenciennes (0-1).
Convoqué par Pep Guardiola pour le clasico de ce soir, Isaac Cuenca pourrait grappiller ses premières minutes de derby en fin de partie. Presque une hérésie tant ce gamin n’était pas prédestiné à sortir de la Masia.
Ferguson peut tourner la page de ce qu’il a appelé « la semaine noire ». Jamais réellement inquiétées par Wolverhampton, ses ouailles ont bien fait le métier à Old Trafford (4-1).
En s’inclinant sur la pelouse du promu Augsbourg (0-1), Gladbach rate l’occasion de s’emparer de la première place, ne serait-ce que pour une nuit. Résultat, c’est Schalke, vainqueur au Hertha hier (2-1), qui en profite.
Les Girondins, revigorés par deux victoires consécutives, s’apprêtent à défier l’O.M. au Vélodrome ce soir. Gonflés à bloc, les hommes de Francis Gillot s’y rendent sans peur, avec de grosses couilles, et l’envie de tout exploser. Et si Marseille avait l’allumette ?
Les filles et Cuenca, la dépression de David Villa, le doigt dans l’oeil de Tito Vilanova, Karanka, Yannick Noah, la possession de balle du Barça, tout est bon dans le clasico. Même les petits pieds de la Pulga.
Après sa victoire contre Auxerre la semaine dernière (3-2), le PSG se doit de confirmer contre Sochaux à Bonal. Un match loin d’être évident tant les Sochaliens sont passés maîtres dans l’art de scalper les gros.
Ce soir (22h), le Real peut frapper un immense coup face au Barça qu’il peut mettre virtuellement à neuf longueurs. Possible car jamais les hommes de Mourinho n’ont semblé aussi forts. Alors passation de pouvoir ou nouvelle désillusion ?
Top 10 : ils n’auraient jamais dû jouer un clasico
Top 10 : ils n’auraient jamais dû jouer un clasico
Messi, Ronaldo, Benzema, Xavi, Piqué, Alonso, etc. Le clasico n’a pas toujours été aussi sexy que celui qui s’avance. Certains lascars ont même fait sacrément honte en portant la liquette d’un des deux grands d’Espagne.
Le Barça c’est le contraire du Real. La preuve, tandis que le Real s’enferme dans l’autisme, le Barça ouvre les shakras. Pourtant les catalans jouent gros ce soir.
Avec le Sporting Gijon, Grégory Arnolin a déjà affronté le Barça et le Real cette saison, avec deux défaites à la clé. Du coup il est plutôt bien placé pour parler des forces en présence. Interview Clasico.
Luis Figo, Ronaldo, Luis Enrique, quelques joueurs ont disputé des clasicos pour les deux camps. Alfonso Pérez aussi. Voici la dream team « blaurengue » de l’ancien Marseillais et elle a plutôt de la gueule.
Il a pas le même maillot, mais il a la même passion. Joël Quiniou, ancien arbitre international, livre ses pronos pour la prochaine journée de Ligue 1.
Les buts de Messi, les buts de Cristiano Ronaldo, les manitas, le record de Di Stefano, les trahisons de Figo et Ronaldo, les cartons jaunes, les cartons rouges, les doigts dans l’œil. Le Clasico, ce sont des faits, mais c’est avant tout une histoire de chiffres.
Capitaine d’une surprenante équipe guingampaise, Lionel Mathis est tombé amoureux des Côtes d’Armor où il mène la vie de Monsieur Tout-le-monde. Alors, matez mon Mathis.
Braqué 30 millions d’Euros au Benfica l’été dernier, Fabio Coentrao est pour l’instant une énigme. Entre méforme et blessure, le gaucher portugais est en train de se gâcher au Real Madrid. Et si la marche était trop haute ?
Des innovations à en rendre jaloux le docteur Fuentes. En pleine course à l’armement depuis une décennie, Adidas et Nike ne cessent d’innover en matière de chaussures de foot. Devenues « intelligentes », elles pourraient, un jour, booster les performances des joueurs.
Au Barça, il n’y a que des artistes. Ou presque. Au milieu des Messi, Alves, Xavi et autre Iniesta, il y a Sergio Busquets. Un mec aussi moche qu’indispensable. Un type dont le côté obscur fait souvent du bien à un club pas si bisounours que ça.
Depuis ce jeudi se tient la huitième édition de la Coupe du monde des clubs, au Japon. Une compétition réunissant les vainqueurs des ligues des champions des différentes confédérations de la Fifa. L’idée est belle mais accouche d’un intérêt mineur, du moins vu d’Europe.
Kusunga: «Manchester doit le regretter aujourd’hui»
Kusunga: «Manchester doit le regretter aujourd’hui»
Entré à la 87ème minute face à Manchester United, Genséric Kusunga peut se targuer d’avoir fait partie de la première équipe suisse à se qualifier pour les huitièmes de finale de la Champions.
Le 8 décembre 1991, l’Etoile Rouge de Belgrade donne à la Yougoslavie sa première Coupe Intercontinentale. Tragiquement, le talent aussi certain que capricieux des Yougoslaves finit par enfanter de succès internationaux au moment où leur pays se disloque dans le sang.
Des surprises, des révélations, des nazes. Comme chaque année, la phase de poule de C1 a fait le tri dans l’Europe du foot. Et en période de partiels, inutile de préciser que la dernière journée compte pour la moitié de la note.
Sans flamber, sans gagner ses matches 5-0, parfois même sans convaincre, l’Italie vient d’envoyer trois représentants en huitièmes de finale de la C1, quand toutes les autres grandes nations n’en ont qualifié que deux. Mais au fait, les équipes italiennes ne sont pas censées être les plus faibles ?
Certains se sont fait chier. Et pourtant… Entre le sauvetage miraculeux des deux Olympiques, la chute des deux Manchester et la domination des deux géants espagnols, la phase de poule a dessiné de vraies tendances.
La victoire épique des Lyonnais contre le Dinamo Zagreb (7-1) fait couler beaucoup d’encre dans les rédactions du Vieux continent. Entre scepticisme espagnol et tiédeur italienne, les avis divergent. Revue de presse.
Lille était meilleur, mais Lille termine sa phase de poule derrière son adversaire du jour, qui s’est accroché à ce 0-0 comme une huitre à son rocher. Moralité ? Faut les mettre au fond.