Agassa : «Les joueurs du passé viennent nous voir»
Agassa : «Les joueurs du passé viennent nous voir»
Le portier rémois, Kossi Agassa, l’un des tout meilleurs de la division, fait les présentations des Rouge et Blanc, qui pourraient rapidement retrouver leurs lettres de noblesse.
Pénalisés de 10 points et devant toujours s’acquitter d’une dette de plusieurs dizaines de millions d’euros, les Glasgow Rangers sont proches de la faillite. Et avec eux c’est tout le football écossais qui tremble…
Toucher le fond est parfois la meilleure façon de mieux rebondir par la suite. Ou pas. La trajectoire pathétique de Monaco et d’Arles-Avignon, englués dans les bas-fonds de la Ligue 2, en est la peu reluisante illustration.
Ce soir, pour la première fois depuis une éternité, trois clubs belges disputaient les 16e de finale d’Europa League. Anderlecht, le Standard et le Club Bruges restent dans la course, mais ce sera chaud !
Du Metal, du Grec énervé, de la pelouse gelée, un train à l’heure, un faux Ronaldo et des voyages payants. Voici tout ce qu’il fallait retenir dans cette soirée chargée de seizième de finale de Coupe d’Europe du pauvre. Parce qu’il n’y a pas que Porto–City et Ajax–United dans la vie.
Chanceux face au FC Porto, Manchester City prend une option pour la qualification grâce à une victoire étriquée (1-2) au stade du Dragon. Insipides face à une formation portugaise inspirée en première période, les hommes de Roberto Mancini devront montrer un tout autre visage lors du match retour.
Au terme d’un match moyen mais d’une deuxième période rondement menée, United a fait un grand pas vers la qualification face à une équipe de l’Ajax courageuse mais manquant de talent et d’imagination.
Largement supérieur à son adversaire du soir, l’Atletico Madrid s’impose 3-1 sur le terrain de la Lazio Rome, en seizièmes de finale aller de l’Europa League. Les Romains ont ouvert le score par Klose, mais le trio Diego-Adrian-Falcao leur a ensuite fait vivre un véritable calvaire.
On attendait Porto et City en Champions League, les voilà en Europa League, histoire de pas trop se faire chier le jeudi. Les dragons reçoivent l’actuel leader de Premier League. La défense du titre de champion de D2 européenne s’annonce difficile, surtout qu’en un an bien des choses ont changé.
Reversés en C3 après leur élimination surprise de la poule A de la Ligue des Champions, les joueurs de Manchester City retrouvent ce soir une compétition qu’ils connaissent bien. Avec plus que jamais, une obligation de résultat.
Patron du milieu de terrain de l’Ajax d’Amsterdam à tout juste 20 ans, Christian Eriksen est promis à un brillant avenir, dans la lignée de ses prédécesseurs Wesley Sneijder, Rafael van der Vaart ou son compatriote Brian Laudrup.
La gueule de bois est dure à vivre pour les supporters d’Arsenal, au lendemain de la rouste reçue à San Siro (4-0). Pour Manu Petit, l’heure n’est plus aux pleurs, il faut déjà se tourner vers l’avenir. Et vite.
Ce soir, la Lazio reçoit l’Atletico Madrid pour l’un des plus beaux chocs des seizièmes de finale de l’Europa League. Une belle histoire de retrouvailles : Diego Simeone, le coach de l’Atletico, est resté comme l’un des symboles de la Lazio championne d’Italie en 2000. Alors, soirée nostalgie ?
Présenté comme un futur crack, le jeune gardien espagnol de Manchester United connait une saison compliquée. Entre bourdes et parades exceptionnelles, difficile de savoir ce que vaut réellement le portier de 20 piges
En 2008, ce n’est qu’à la toute fin de la deuxième rencontre qu’Arsenal avait pris le dessus sur Milan. Cette fois-ci, un petit quart d’heure aura suffi à Milan pour donner envie aux Gunners de s’inscrire directement en Europa League l’an prochain.
Impressionnant de maîtrise et d’efficacité, l’AC Milan a facilement disposé d’une pale équipe d’Arsenal (4-0). Derrière un duo Ibrahimovic-Robinho de folie, c’est tout le collectif italien qui s’est amusé. Bye bye Henry.
Au terme d’un match assez compliqué, Paris a assuré comme souvent depuis le début de saison, sans impressionner (1-0). Mais l’essentiel est ailleurs, les hommes de Carlo Ancelotti peuvent se concentrer sur la réception de Montpellier.
Le Zenit s’est difficilement imposé sur sa pelouse contre le Benfica Lisbonne (3-2) au terme d’un match…rebondissant. Sur un tapis loin d’être vert et par un froid glacial, les hommes de Jorge Jesus n’ont pas réussi à imposer leur jeu aux rugueuses troupes de Luciano Spalletti. Le match retour promet.
Dans un Vélodrome aux trois-quarts vide, l’Olympique de Marseille s’est facilement imposé (3-1) face à une équipe de Bourg-Péronnas vaillante mais trop limitée pour inquiéter une équipe phocéenne appliquée.
Fini de rire. Michel Platini le répète sur tous les tons, avec des accents keynésiens et des sanglots coubertiniciens, le temps du grand n’importe quoi est fini-fini dans le football pro européen.
A de rares exceptions milanaises, les Italiens ont pris cher face aux Anglais, ces dix dernières années, en Ligue des champions. En apéritif de Milan-Arsenal, retour sur dix batailles entre représentants d’Albion et de la Botte.
Ce soir (20h45), les Gunners se déplacent à Milan pour le huitième de finale le plus prometteur. L’occasion de dire goodbye à Henry. L’occasion aussi de vérifier une vérité incontestable : Arsenal adore les Italiens. Et Milan déteste les Anglais…
Vainqueur de l’Udinese ce week-end en championnat, le Milan AC aborde ce huitième de finale de Ligue des Champions contre Arsenal requinqué. Pourtant, leur dernière victoire en Ligue des Champions remonte au 19 octobre. Et la tradition avec les clubs anglais n’est pas des plus rassurantes.
Après plus de six mois de galère, Luyindula a réintégré hier le groupe pro du Paris Saint-Germain, à la plus grande joie des supporters. La veille du huitième de finale de Coupe de France contre Dijon, le groupe est réuni au Camp des Loges pour un entraînement organisé à huis-clos.
Le champion de Russie, qui n’a pas disputé le moindre match officiel depuis décembre, va vite devoir retrouver ses marques ce soir face au Benfica dans son stade Petrovsky, par une température polaire. L’entraîneur Luciano Spalletti doit en plus composer sans son maître à jouer, le Portugais Danny.
Pour ces retrouvailles rituelles avec les 8e de C1, les Lyonnais ont assuré le strict nécessaire (1-0) en pleine Saint-Valentin. Preuve qu’une prestation d’ensemble sans faute de goût apparente suffit encore à faire la décision…
Leader de la Liga Sagres et premier de son groupe en C1, Benfica est là où tout le monde attendait Porto, dans la peau de l’outsider qui peut faire chier les gros. A condition de passer l’obstacle du Zénith.