- Ligue des Champions
- 8e
En direct : OM / Inter (1-0, score final)
Après avoir bazardé son huitième face à Manchester United la saison dernière, l’OM aborde cette rencontre face à une Inter dans le creux de la vague avec l’intention de faire un coup…
Après avoir bazardé son huitième face à Manchester United la saison dernière, l’OM aborde cette rencontre face à une Inter dans le creux de la vague avec l’intention de faire un coup…
Dans un match parfaitement maîtrisé, où Porto a joué sa chance, les Citizens n’ont laissé aucune chance aux Dragons (4-0). Avec un Aguero éblouissant, les Mancuniens affronteront le vainqueur de Sporting du Portugal-Legia Varsovie en 1/8ème de finale.
Seule équipe d’Europe à faire partie du quatuor de tête de son championnat avec une différence de buts négative, l’Espanyol Barcelone est candidate à la Ligue des champions.
Si, officiellement, l’Inter est encore favori, plus les heures passent, plus l’OM croit en ses chances. Attention, ce genre d’histoire a déjà joué des tours aux Marseillais par le passé.
Défait à l’aller devant son public face aux Citizens (1-2), le FC Porto aura besoin au minimum d’un miracle pour passer en 8e de finale ce soir. Car les Lusitaniens n’ont jamais gagné un seul match à Manchester.
Face au FC Bâle, qualifié surprise en huitièmes de finale, le Bayern Munich aurait pu être serein. Seulement, c’est la débandade depuis quelques semaines. La Ligue des Champions vient donc à point pour oublier les soucis à la maison.
Ce soir, l’Inter se déplace à Marseille pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Les Nerazzurri restent sur trois défaites consécutives en championnat d’Italie, et Ranieri pourrait bien jouer sa survie au Vélodrome. Bonne ambiance…
Tombeur surprise de Manchester United en phase de groupes, le FC Bâle a les moyens de déstabiliser un autre grand d’Europe ce soir à St. Jakob-Park, grâce à un bon amalgame entre joueurs expérimentés et grands espoirs.
A l’image de Santos battu en Bolivie ou de Boca Juniors accroché au Venezuela, les favoris ont mal débuté une compétition qui s’annonce indécise. Première journée riche en surprises.
Il n’y a pas a dire, Walter Mazzarri a une belle paire. Dangers publics annoncés, Edinson Cavani et Ezequiel Lavezzi ont mis à mal la défense de Chelsea. C’est pas dit qu’André Villas-Boas soit présent au match retour…
Naples enfonce Chelsea (3-1) grâce à un collectif supérieur et à des individualités brillantes. Lavezzi et Cavani, les deux buteurs napolitains, ont été les grands artisans du succès italien sur un club anglais complètement démobilisé. André Villas-Boas semble plus que jamais être assis sur un siège éjectable.
Ambiance de feu au San Paolo où les Napolitains accueillent les Blues de Chelsea dans leur cratère. Deux équipes qui n’ont, pour ainsi dire, plus que ça à jouer…
Le Real avait presque tout bon. Après avoir mené pendant une heure, les merengues encaissent un but dans les arrêts de jeu face à un CSKA pas vraiment au niveau. Récit d’un match vraiment nul.
Simple formalité ou match piège par excellence ? Le Real Madrid, si souverain en Liga, déplace son armée offensive sous les températures glaciales de Moscou où il affronte le CSKA…
Depuis l’adoption du fameux « plan Leproux » à l’été 2010, le PSG et les pouvoirs publics se félicitent de l’atmosphère apaisée du Parc des Princes et de ses alentours. Mais c’est au prix d’une certaine ferveur populaire et d’une transformation du stade de la Porte d’Auteuil en un Parc d’attraction grotesque protégé comme une forteresse.
Largué en Championnat, en ballotage défavorable en Coupe, Chelsea n’a plus guère que la Ligue des champions pour sauver sa saison. Pas simple car Naples n’est pas exactement l’adversaire idéal pour se refaire la cerise.
Quart de finaliste surprise de la Ligue des champions il y a deux ans, le CSKA Moscou espère pouvoir renouveler l’exploit devant plus de 70 000 spectateurs au stade Loujniki.
Le Real Madrid quitte le confort de sa Liga pour le froid de Moscou. Dans ce huitième de finale de Ligue des champions face au CSKA, il n’y a visiblement pas photo entre les deux équipes, mais Mourinho se méfie des Russes chez eux.
Ce soir, le San Paolo s’apprête à vivre une soirée mémorable. Le Napoli reçoit Chelsea, en huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Et autant dire qu’au vu des dernières prestations des deux équipes, les Napolitains peuvent aisément assumer un statut de favori.
Sale semaine pour Benfica. Entre la défaite en Champions League, la défaite face à Guimarães et Porto qui revient à deux longueurs au classement, Jorge Jesus ne va pas bien dormir cette semaine.
L’alliance fusionnelle entre Maradona et Boca n’a tenu qu’à un fil. Au moment de faire le grand saut vers un membre du gotha argentin, Diego se trouve à deux doigts de s’engager avec River. Finalement, le 20 février 1981, il officialise un choix qui semble aujourd’hui relever de l’évidence.
Samedi soir, Thomas Mangani avait les boules après la défaite de son équipe à domicile face à Toulouse (3-0). Beau joueur, le milieu de terrain de Nancy livre ses impressions sur la 24ème journée de championnat.
Cette semaine sur Twitter on a pourri Sarko, chopé d’la meuf, inventé des verbes, parlé d’amour et embrouillé sa bagnole. On a aussi dit à Louis Saha qu’il nous manquait et à la langue française que, décidément, on ne l’apprendrait jamais. Parce que le foot ça ne se joue pas avec un dictionnaire.
Sans doute la blessure la plus conne de l’année : Ever Banega avait oublié de serrer le frein à main de sa voiture avant de faire le plein, et sa jambe s’est retrouvée en sandwich entre le trottoir et une roue. L’Argentin souffre d’une fracture complexe du tibia et sera indisponible 6 mois.
Les punchlines de Taye Taiwo, celles de Disiz la peste, le quadruplé de Messi et la cheville d’Ever Banega. Toutes les stars du week-end sont là, dans un beau 4-3-3. Avec Guillaume Hoarau en pointe.
Paris devait tuer le suspense en recevant Montpellier. Oui mais non. Le nul entre les deux leaders ne fait pas avancer les choses, et encore moins le classement. Une chose est certaine, le futur champion de France jouait sans doute au Parc des Princes, hier.
Dix mois à soigner une sale blessure, vingt-quatre à purger une suspension pour avoir giflé un con. A 28 ans, Thierry Steimetz avait fini par croire que le monde pro ne voulait pas de lui. Puis il y a trois semaines, le génial meneur de jeu a décroché le pompon : un contrat d’un an et demi au FC Metz.
Bien au-delà du combat des millions s’est tenue une opposition de styles entre un collectif montpelliérain remuant et des individualités parisiennes aguerries. A l’arrivée pas de gagnant, mais masse d’enseignements.
En inscrivant un quadruplé face à Valence, Messi a dignement fêté son 200ème match de Liga avec le Barca. Retrouvés, les Catalans n’ont fait qu’une bouchée des hommes d’Emery (5-1), pour qui l’addition aurait pu être plus salée encore.
Dans une affiche qui a tenu ses promesses, Montpellier a tenu la dragée haute au leader parisien avant de craquer en fin de match sur un but d’Hoarau après un exploit personnel de Menez…
Auteurs d’une victoire convaincante sur la pelouse de Cesena (1-3), le Milan AC envoie un signal fort à la Juventus en vue du choc de la semaine prochaine entre les deux équipes. Les rossoneri aborderont cette confrontation directe en leaders.