Et allez, encore un Clasico ! Cette fois, c’est en quarts de finale aller de Coupe du Roi. Tenant du titre, le Real Madrid ne veut pas se faire racketter son seul trophée par son tourmenteur barcelonais. Pas simple car depuis un an et demi, Mourinho a tout tenté. En vain. Ou presque…
Après avoir manqué le rendez-vous angolais en 2010, le Sénégal revient sur le devant de la scène continentale. Avec une génération très talentueuse, les Lions de la Téranga sont considérés parmi les favoris de cette Coupe d’Afrique.
Selon l’AFP, Manchester City aurait trouvé un accord avec le PSG pour le transfert de Carlos Tevez. Mais attention, on nous a déjà fait le coup la semaine dernière avec Pato. Or, rien n’est fait tant que l’Apache n’a pas choisi lui-même son point de chute. Destinations possibles.
Il a quitté son statut de capitaine douillet d’Arsenal pour gagner des titres avec son club de cœur, le FC Barcelone. Fabregas a tout lâché pour réaliser son rêve de gamin. Bilan du retour de l’enfant prodigue à quelques encablures du clasico.
Parce que le clasico n’est pas qu’une affaire de manita. Parce que Pepe. Parce que l’index de José Mourinho. Parce Sergio Busquets pleure par terre. Oui, le match le plus attendu de l’année peut partir en couille.
L’annonce il y a quelques jours de l’arrivée en Inde d’une demi-douzaine de retraités et préretraités du football, dont Pires et Cannavaro, pour un mini-championnat de quelques semaines, a suscité bien des questions.
On dit que les absents ont toujours tort. Pas faux. D’ailleurs, dans cette CAN, les grands absents tiennent quasiment le haut du pavé. En effet, quatre des cinq derniers vainqueurs de la compétition regarderont tout ça à la télévision. Revue d’effectif.
Lundi dernier, Thierry Henry a effectué un come-back hollywoodien avec Arsenal. Avant lui, d’autres sont parvenus à raviver le frisson de leurs jeunes années, quand ils se décidèrent pour un retour à la maison.
Souvent déroutant, parfois irritant, de temps en temps maladroit, Eric Mouloungui est aussi difficile à cerner qu’à prendre au marquage sur un terrain. Pourtant, le Niçois sera l’une des attractions de la CAN avec son équipe du Gabon.
Samedi, Roy Contout a joué 90 minutes avec Auxerre. A Ajaccio, l’attaquant guyanais a passé une sale soirée. Peu de ballons, et une défaite (2-1) qu’il n’a toujours pas digérée.
Cette semaine sur Twitter on a parlé de femmes, moqué les gays, honoré l’orthographe, anticipé la présidentielle et poignardé Frimpong. On est même descendu en Ligue 2 et en National…
Eduardo Vargas est la grosse recrue hivernale du Napoli Calcio. Acheté 12 millions d’Euros à l’Universidad de Chile, l’ailier droit quasi inconnu en Europe, était pourtant la hype de l’année en Amérique du Sud.
La France a perdu son triple A. Quelles conséquences pour le foot français, lui qui semble capable de passer au travers de toutes les vicissitudes économiques ?
La Tunisie s’est qualifiée à grand peine, présente une sélection pas franchement sexy, mais à l’appui de son traditionnel hermétisme, et de produits du terroir de qualité, elle pourrait se frayer un chemin vers les quarts de finale, voire mieux.
Dur, dur, de composer une équipe-type du dimanche alors que les championnats moldave, slovène et maltais n’ont pas encore repris. Va encore falloir se coltiner des trucs qui passent sur Canal+.
Marseille qui enchaîne, Paris et Montpellier qui font le trou, Sochaux qui s’effondre. C’était la rentrée des classes en Ligue 1 ce week-end, sur fond de multiplex.
Il n’y a peut-être pas eu cinq buts dans ce match mais l’appellation « sommet de Ligue 1 » n’était pas usurpée. Le niveau technique était au rendez-vous.
Benfica a gagné, Porto a gagné, Paços de Ferreira n’a pas gagné, bref, les matchs sans suspens ont accouché d’un résultat prévisible. Sinon, Braga a battu le Sporting et remonte sur le podium de la Liga Sagres.
Vainqueurs difficiles de Majorque (2-1) et du Bétis Séville (4-2), le Real et le Barca ont assuré le minimum à trois jours du premier clasico de l’année.
L’Inter remporte le derby milanais, grâce à un but de Diego Milito inscrit en début de seconde période. Les Interisti se rapprochent de la tête du classement, tandis que les Milanais encaissent leur première défaite depuis début octobre.
Facile vainqueur d’un LOSC sans moelle, Marseille revient à deux points du podium et de son adversaire du soir avec un doublé du génial Loïc Rémy. De son côté, Lille tire la tronche et commence à sérieusement inquiéter.
En espérant que ce ne soit pas la dernière, voici la plus belle œuvre des Swans depuis leur promotion en Premier League. Un match référence contre Arsenal (3-2) qui s’est peu à peu fait bouffer au milieu de terrain et sur les ailes.
Alors qu’elle avait toutes les clefs en mains pour s’imposer face à Cagliari, la Juventus n’a pas réussi à faire mieux qu’un nul. Une vraie aubaine pour le Milan AC qui, en cas de victoire dans le derby, s’emparerait de la première place. L’Udinese s’incline sur la pelouse du Genoa et la Lazio réagit face à l’Atalanta.
Jesus Gamez a tout connu avec Malaga, de la galère en deuxième division aux paillettes qataries, l’âme d’un club modeste devenu riche avec l’arrivée à sa présidence du cheikh Abdullah Al Thani.
Ce soir (21h), le Vélodrome va se faire tout beau pour le choc de la journée entre les deux derniers champions de France. Marseille est redevenue l’équipe la plus performante du Championnat depuis deux mois. Mais Lille en demeure la valeur la plus sûre. Alors ?
Ce soir, Milan s’arrête de respirer. C’est le derby, celui que toute une ville attend depuis le 3-0 de l’an dernier. Les rossoneri veulent s’imposer pour maintenir leur première place, les nerazzurri pour laver l’affront et poursuivre leur belle série de victoires.
Sa promotion était passée par le jeu la saison dernière. Son maintien semble emprunter le même chemin. Façonné par Roberto Martinez, Paulo Sousa et Brendan Rodgers aujourd’hui, le promu Swansea tire son épingle du jeu cette saison.
Qu’il est chiant ce mercato hivernal… Pourtant, la saison dernière, on s’était bien marré, avec quelques transactions mémorables. L’AS Monaco, notamment, avait régalé son monde.