- Rétro
- 26 mai 1993
- Victoire de l'OM en Ligue des champions
Le Onze de rêve de Basile Boli
Personne n’a besoin de présenter Basile Boli. La seule évocation de son nom renvoie à cette finale de Champions League de 1993.
Personne n’a besoin de présenter Basile Boli. La seule évocation de son nom renvoie à cette finale de Champions League de 1993.
Il reste quatre matchs à River Plate pour en finir avec l’enfer de la deuxième division et remonter dans l’élite. L’occasion pour Juan Pablo Sorin de prendre la plume.
Une fois le premier tour passé, l’Espagne ferme la boutique et remporte le tournoi. En 2008 et en 2010, la Roja n’a pas encaissé un seul but en phase finale. Cette année, le forfait de Puyol oblige Del Bosque à repenser sa défense.
Après Miguel et Bosingwa, João Pereira perpétue la grande lignée d’arrières droits talentueux au sein de l’équipe portugaise. Mais qui est vraiment le nouveau coéquipier d’Adil Rami à Valence ?
Rarement la L2 a compté autant d’anciennes gloires du foot, de crashs sportifs ou de directions écervelées. Et rarement la L2 n’a autant fait souffrir ses poids lourds. Pire qu’une canicule dans une maison de retraite.
À l’approche de l’Euro, Joachim Löw se rendra sûrement compte qu’il se doit d’aligner son joueur le plus fort et le plus élégant (sur le terrain comme en dehors), à savoir Mats Hummels.
Entre la crête de Loulou Nicollin, les incidents à Auxerre et le départ d’Eden Hazard, le dénouement de la ligue 1 version 2011-2012 a laissé peu de place à l’hommage que méritait Laurent Batlles. Tentative de réhabilitation.
Le sélectionneur hollandais, Bert van Marwijk, est confronté à un problème de riche : avec à sa disposition van Persie, Huntelaar, Robben, Sneijder, Kuyt, Afellay ou encore de Jong pour occuper les postes offensifs, il va devoir faire des choix et mettre sur le banc certaines stars.
C’est l’histoire d’un mec de Montreuil qui est passé de la CFA 2 au National avec l’UJ Alfortville en trois saisons, avant de partir à Ploiesti, la capitale du pétrole roumain.
Le FC Barcelone a offert un dernier trophée à Pep Guardiola, en surclassant un Athletic Bilbao pas au niveau ce soir (3-0). Les Catalans étaient trop forts.
Les forfaits d’Abidal et de Kaboul, ainsi que l’absence de Sakho, ont bouleversé l’organisation de la défense centrale des Bleus. Sa hiérarchie, surtout.
De Tito Vilanova, on sait qu’il a eu un cancer de la thyroïde, qu’il est apprecié des joueurs, qu’il a de grosses cernes et qu’il est complètement fou d’avoir accepté le relais de Guardiola.
Le suspense a été le dénominateur commun des quarts de finale retour de Copa Libertadores. Boca, Santos, la U et Corinthians forment le carré de qualifiés sur le fil.
Programmée très tard, la finale de la Coupe du Roi opposera ce soir, au Vicente Calderon, les deux perdants de l’année en Espagne, l’Athletic Bilbao et le FC Barcelone. Aussi les deux plus beaux jeux du pays.
Réquisitoire pour la réhabilitation du 4-4-2 en équipe de France. Surtout pour le fait de jouer avec deux attaquants, ce qui change tout au final.
Le Championnat d’Allemagne est si ennuyeux qu’Orange Sport interrompait les retransmissions pour diffuser des avant-matchs de L1 pathétiques, présentés par Céline Géraud. Retour sur un vaste malentendu.
beIN Sport, la version française d’Al-Jazeera Sport, a annoncé hier dans un hôtel posé rue de la Paix que son premier canal commencera à émettre le premier juin. On y était.
Avant la Grèce en 2004, il s’agissait du résultat le plus surprenant de l’histoire de la compétition : le Danemark, champion d’Europe.
La Ligue 2 n’a sans doute jamais été aussi relevée qu’elle le sera l’an prochain, et Caen ne voulait pas rater ça. Alors, naufrage prévisible ou vrai gâchis ?
Après une saison faite de hauts et de bas, et conclue par le triomphe en Premier League avec Manchester City, Mario Balotelli veut se distinguer pendant l’Euro. Mais une distinction positive. Pas en se faisant exclure, ou en lançant des fléchettes.
Il y a des saisons où l’on ne comprend rien : rien à la logique, rien au sport, rien à la fatalité. C’est comme ça, surtout à Bordeaux. Autopsie d’une belle fable.
Ça y est. Après dix mois de boulot, les 20 clubs de Ligue 1 ont le droit à des vacances plus ou moins méritées. Le moment ou jamais pour distribuer les bulletins de notes.
Le Bayern Munich aurait pu faire un magnifique triplé, conclu par une ultime victoire à domicile dans la plus grande compétition européenne de clubs. Au lieu de quoi, le géant bavarois a dû se contenter de miettes.
Un an loin des bancs et revoilà Claude Puel, l’architecte du LOSC, à la tête d’un escouade de Ligue 1. Le choix peut surprendre, ça sera Nice. Et pour trois ans, mais surtout, pour quoi faire ?
Signe que les temps changent, Aulas a préféré cette fois ressortir le dico pour en tirer le seul mot qui compte aux yeux des supporters de l’insupportable : « bâtard ».
Avec quelques kiwis, rouleaux de PQ et balles de tennis, agrémentés d’un fumigène imprévu, les ultras d’Auxerre sont devenus le nouvel ennemi public n°1 du football français.
En Italie, la Juve a brillé, Zlatan a marqué des tas de buts et le Napoli a remporté un trophée après 22 ans de disette. Mais à l’autre bout, il y a eu quelques catastrophes. À la Une : la saison dramatique du Genoa, les errances de l’Inter ou encore les ovnis du dernier mercato. Big up, Elia.
Incapable de gagner le moindre match européen, humilié par Quevilly en Coupe de France, une énième place d’honneur en championnat, le Stade Rennais n’a certainement pas amélioré sa cote de popularité en cette saison 2011-2012.
Après avoir passé la majeure partie de la saison sur le podium de la Ligue 1, et un paquet de journées en tête, le Montpellier Hérault Sport Club a finalement soulevé son premier Hexagoal.
Les incidents qui se sont déroulés à Auxerre ont brusquement rappelé au foot français que les supporters pouvaient eux aussi garantir le spectacle et sauver l’intérêt d’une L1 tirée sportivement vers le bas.