Chahuté dimanche par ses supporters et à l’aube d’une rude opposition à San Siro contre le Milan AC, le Genoa est à un point de la zone rouge. A cinq journées de la fin, ils ne sont pas loin de reproduire le schéma de la Sampdoria, descendue en 2011. Ce serait con.
Mardi soir, à l’issue d’un match hyper tendu, ce sont les joueurs de Chelsea qui sont ressortis gagnants aux points. Mentions spéciales pour Drogba et Cech, grands artisans de cet exploit londonien.
Malgré l’expulsion de John Terry, Chelsea a accroché un match nul plein de panache ce soir au Camp Nou (2-2). Messi a raté un penalty au cœur de la deuxième période tandis que Fernando Torres a envoyé les Blues au paradis.
Latéral formé à Cannes, Bernard Lambourde est un mec qui a titillé les sommets. Avec une apothéose au goût d’inachevé. Ce quart de finale disputé face au Barça, en 2000. Dans ses rangs à l’époque, Carles Puyol, déjà, et Pep Guardiola, encore. En face, Roberto Di Matteo et… lui, donc.
Le 24 avril 1906, se dispute une curieuse finale des Jeux Olympiques dits «intermédiaires», entre le Danemark et les Athéniens de l’Ethnikos Syllogos. Elle s’achève au terme de la première période …
« Le groupe vit bien ». Voici une phrase entendue et réentendue dans le milieu du sport et encore plus dans le milieu du foot, notamment en conférence de presse. Mais le groupe, dans le football pro, finalement, ça existe vraiment ?
Pendant que Bolton moisit à la 19ème place de Premier League, Gary Cahill, qui a quitté le navire cet hiver, va disputer ce soir, le match le plus important de sa carrière. Excellent depuis son arrivée à Chelsea, le défenseur anglais vit un véritable rêve éveillé.
Ce soir le FC Barcelone, vaincu à l’aller par Chelsea (0-1), peut tout perdre après avoir dit adieu à la Liga samedi. Mais c’est peut-être dans cette adversité extrême que le Barça peut rappeler ce qu’il est jusqu’à preuve du contraire : la meilleure équipe d’Europe.
Ca y est. Dans 48 heures, on connaîtra le nom des deux finalistes de la Ligue des Champions. Alors, opposition anglo-allemande, Clasico ou autre ? Réponse par l’absurde. Ou pas.
Le Borussia Dortmund vient de remporter le huitième titre de son histoire, le deuxième d’affilée. Si cela a été possible, c’est grâce au travail de fond réalisé par Jürgen Klopp. Mais pas que. Présentation des autres éléments de valeur.
National, Ligue 2, Ligue 1, la pluie, le froid. En huit saisons à Valenciennes, José Saez, 30 ans, a tout vécu, où presque. Assez en tout cas pour décrypter la 33ème journée de Ligue 1.
Lettre ouverte aux dirigeants du Paris Saint-Germain pour que le Parc des Princes reste l’éternelle demeure du PSG.
Voila, c’est fini. Le mini championnat de la présidentielle 2012 est terminé. On connait le classement final. Reste à savoir comment ils en sont arrivés là.
En Italie, cinq équipes sont à la lutte pour la troisième place, qualificative pour la Ligue des Champions. Mais cette course se fait au ralenti. En effet, personne ne semble déterminé à aller décrocher son billet. Parce que personne n’a le niveau ?
Non, il n’y avait pas que le Clasico, ce week-end. On a vu la Juventus détruire la Roma, Everton filer un sacré coup de pouce à City, le Borussia Dortmund devenir champion, le PSG marquer plein de buts et Marine Le Pen faire 20%. Drôle de 22 avril.
Montpellier avance ses pions, Paris répond. Avec violence. Lille suit le rythme. Lyon gagne dans la douleur et Marseille s’écroule. Pourtant, rien n’est encore joué. En haut comme en bas.
En écrasant le Bétis (4-0), Valence a repris de l’avance à la troisième place de la Liga, et de la confiance pour son match retour de C3. Son adversaire européen, l’Atletico Madrid, s’est payé l’Espanyol Barcelone(3-1).
Au Portugal, la fin ne change que rarement. Suspens ou pas, Porto s’impose presque tout le temps au bout du compte. 2012 est bien partie pour ne pas déroger à la règle.
Soirée électorale mais football quand même. Dans un match à rebondissements, des Lyonnais décevants mais courageux s’imposent (3-2) en toute fin de match contre des Lorientais qui méritaient mieux.
Élection ou pas, y’avait ce soir un Juventus-AS Roma. Au final, la Juventus a surclassé une Roma schizophrène d’une telle main de maître (4-0) qu’on a envie de dire que le Scudetto lui tend les bras. Enfin, presque.
Au terme d’un superbe match, Manchester United a concédé un nul ballot face à Everton (4-4). City revient à 3 points de la tête grâce à sa victoire à Wolverhampton (2-0).
Au terme d’un match ouvert, agréable, riche en buts, mais à sens unique, le PSG recolle sur Montpellier et reprend confiance.
Le Milan AC a sauvé les meubles en fin de rencontre contre Bologne (1-1), mais laisse désormais la possibilité à la Juve de s’envoler en tête du classement. Statu quo dans la course à la troisième, après les nuls de la Lazio, de l’Inter et de l’Udinese. Seul Naples gagne.
A la relance depuis l’échec de Nicosie, les Lyonnais refont le coup de la panne. Au point de faire surgir une impression, celle d’une équipe jouant l’attente à l’approche de la finale de Coupe de France. A défaut de pouvoir faire autrement ?
Alors qu’en Liga, l’Atletico court encore après la quatrième place, une question se pose : et si l’équipe de Simeone détenait dans ses rangs le meilleur striker du vieux continent ?
C’est sans complexe que les joueurs du FC Sochaux-Montbéliard se déplacent en fin d’après-midi sur la pelouse du Parc des Princes.
En Angleterre aussi, c’est jour d’élection. Bien que le sort du championnat ne soit pas encore joué, le nom du meilleur joueur de Premier League 2011-2012, élu par ses pairs, sera connu ce dimanche.
Manchester United contre Manchester City sont à la lutte, pour le titre. A quatre matches de la fin de saison, tout peut arriver…
Manchester United contre Manchester City sont à la lutte, pour le titre. A quatre matches de la fin de saison, tout peut arriver…
Après l’interruption du championnat due au décès de Piermario Morosini, la Juve veut reprendre sa course vers la Scudetto. Son adversaire, la Roma de Luis Enrique, est vraisemblablement le plus coriace qu’il lui reste avant la fin de la saison.
Porte-parole d’une cause, militant affiché, ou juste conscientisé, le joueur politisé ne répond à aucune définition rigoureuse.