L’Euro s’est achevé en même temps que la saison 2011-12. On a bouffé du football pendant des mois et des mois, et nous en voilà sevrés jusqu’en août. Il y a bien quelques matches qui trainent, non ?
Avec huit Blaugranas champions d’Europe, le titre de la Roja porte encore en partie la marque du Barça. Tout sauf une surprise. Pourtant, le début de saison des ouailles de Tito Vilanova s’annonce plus difficile que ces dernières années.
Buffet : «Le sport reflète le sexisme de la société»
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Ce soir, les féminines affrontent en amical la Roumanie. L’occasion de tailler la bavette du foot en soutien-gorge avec l’ex ministre des Sports Marie-George Buffet.
Seize équipes pour le millésime 2012 : l’Euro sous cette forme, c’est déjà du passé. Pour 2016, la formule évolue et 24 équipes y participeront. Une autre bizarrerie signée Platini.
André Villas-Boas fait son come-back. Pour éviter de se casser la gueule à nouveau, il a choisi un club qui lui correspondait, avec des bons joueurs, pas de vieux et moins de pression. Et comme par hasard, ce club, Tottenham, partage sa haine pour Chelsea.
Comme prévu, Didier Deschamps n’entraînera pas l’OM une quatrième saison. La trace de son passage est tout de même énorme. Avec des trophées et des cicatrices.
Si le championnat d’Europe qui vient de faire entrer l’Espagne dans l’Histoire du sport fut satisfaisant sur bien des plans, il lui a tout de même manqué un ingrédient majeur : les bad boys. Parce que trois semaines de fair-play, ça use.
L’Espagne qui gagne un troisième titre consécutif, Pirlo qui réalise un tournoi de folie…Cet Euro 2012 aura été celui des confirmations plus que des révélations. Ca n’a pas empêché le petit João Moutinho de s’extirper du lot.
Tout le monde est en train de se demander qui diable pourra bien décrocher le Ballon d’Or cette saison. Iniesta? Pirlo? Casillas? Cristiano Ronaldo? Et si on créait un être suprême, qui regroupait les caractéristiques de tous ceux qui ont marqué l’Euro? En bien, ou en moins bien…
C’est fait : les primes des joueurs de l’équipe de France sont gelées pour une durée indéterminée. Une « sanction » financière qui ne va pas empêcher les joueurs de partir en vacances. Mais alors, que pourrait-on faire de ces primes ?
On le sait : le football est un sport qui, souvent, se joue à quelques infimes détails. L’Euro qui s’est achevé hier soir confirme la règle. L’Espagne s’est imposée, certes, mais de nombreux petits détails, à droite à gauche, auraient pu changer le cours de l’Histoire. La preuve.
C’est une place de choix dans la constellation du football que l’Espagne est allée chercher grâce à son incroyable triplé jamais accompli : Euro, Mondial et re-Euro derrière !
Pour une faire une vraie équipe-type, il faut déjà prendre le schéma de jeu qui a le plus séduit pendant l’Euro, allons donc pour le « 4-Pirlo-2-3 ». Qu’est-ce que tu dis de ça, l’UEFA ?
Couillu, malin, chanceux, turpide… Les qualificatifs foisonnent pour désigner Álvaro Arbeloa, maître du monde et dorénavant double souverain européen. Mais qui se cache vraiment derrière le soi-disant maillon faible de la Roja ?
Parce qu’il n’y a pas que des vainqueurs, parce que tout le monde n’est pas tout le temps beau et parce qu’il faut forcément des ratés pour qu’une grande compétition soit presque parfaite.
Cassano, Nasri, Ménez, Ibrahimović… Certains ont répondu présents sur le terrain, d’autres moins. Mais tous ont eu à cœur de marquer l’Euro 2012 de quelques punchlines mémorables.
L’Euro 2012 est terminé. C’est le moment de dresser les bilans chiffrés. Du pourcentage de possession de balle de l’Espagne au nombre de tirs cadrés par Karim Benzema, en passant par la malédiction anglaise aux tirs au but, la tête de Balotelli, les deux derniers buts de Schevchenko… Putain, vivement 2014.
Lendemain de fête pour les uns, grosse gueule de bois pour les autres. Forcément, la presse espagnole et les médias italiens n’ont pas vraiment passé la même nuit…
La finale de l’Euro, remportée par l’Espagne face à l’Italie, a comme prévu déchainé les accrocs des sentences définitives en moins de 140 caractères, hier soir.
Voilà, cette fois, c’est terminé. L’Euro 2012 s’est conclu sur la fessée espagnole infligée à l’Italie. Mais plus que le score, ce sont les hommes qui ont rendu cette finale si particulière…
Le triomphe espagnol, la classe italienne, le regain de forme portugais et le fiasco batave. Ca y est, 31 matchs sont passés, 76 buts ont été inscrits et le mois de juin a filé à la vitesse de la lumière. L’Euro est terminé, petite séance de rattrapage.
Démontée par l’Espagne en finale de l’Euro, hier soir, l’Italie n’a que ses yeux pour pleurer. Retour sur une superbe équipe que personne n’attendait, et qui a tout bien fait jusqu’à l’acte final.
Difficile de sortir des mecs d’un collectif si bien huilé, pour ne pas dire parfait. Dans cette formation magique que l’on appelle « Roja », ils sont pourtant cinq à s’être montrés un peu plus que les autres…