En mai dernier, Laurent Batlles raccroche les crampons et, avec eux, une certaine idée du football français. Aujourd’hui recruteur pour les Verts, « Lolo » revient sur sa carrière, déblatère sur les Bleus et stigmatise les consoles de jeux.
Pour leur deuxième sortie de la saison, les Girondins ont produit un bon match. Problème, ils sont tombés sur un A.C. Ajaccio en béton et se sont inclinés (2-1). Pour autant, ils restent confiants.
Zlatan Ibrahimović rejoint donc l’effectif du PSG d’Ancelotti. Le PSG avait besoin d’un grand attaquant, le voilà. Sauf que Ibracadabra n’est ni un 9 à la Higuaín, ni un goleador à la Cavani, ni un bouffeur d’espaces à la Pato. Alors, comment fait-on pour utiliser au mieux le Suédois ?
Pour ce qui serait leur « dernière recrue du mercato », les dirigeants du Paris Saint-Germain ont sorti le grand jeu. Au menu, balade en bus, conférence de presse et air irrespirable. Zlatan est à Paris.
253 buts en 546 matches, le « Z » aime les ficelles. Et quand il s’emploie à trouer le gardien adverse, c’est rarement laid. En force, en douceur, du gauche, du droit, le Suédois est une machine à top buts.
Les arrivées de Lavezzi, Thiago Silva et Zlatan, les rumeurs Ganso, Kaká ou Modrić, les doutes sur l’avenir de Sakho et Gameiro : le PSG entre dans une nouvelle galaxie. Mais en vrai, y a-t-il une logique à tout cela ?
Difficile de trouver un mec de cette trempe depuis la retraite d’Éric Cantona. Zlatan Ibrahimović, le nouvel attaquant du Paris Saint-Germain, est un footballeur à part.
Il existerait apparemment une manière éthique de gagner ses ronds dans le football capitaliste. Si on en croit, en tout cas, le président de la République qui a décidé d’utiliser cet angle, comme son prédécesseur, afin de remplir l’actualité d’un peu de storytelling démago…
Un gros paquet de millions d’euros pour Zlatan Ibrahimović et Thiago Silva. C’est autant que le budget annuel des Girondins de Bordeaux, c’est trois fois celui de Bastia, et c’est beaucoup de casquettes d’Élie Baup.
Avec les départs de Zlatan et Thiago Silva vers le PSG, les départs de Borini, Lavezzi, Forlán, Nesta, Del Piero, Seedorf, une vraie question se pose : qui va encore jouer en Serie A la saison prochaine ?
C’est (enfin) officiel : Zlatan Ibrahimović portera l’an prochain le maillot du Paris Saint-Germain. Troisième recrue, et non des moindres, pour le club de la capitale, après Lavezzi et Thiago Silva. La folie…
Pendant que Zlatan Ibrahimović arrive enfin à Paris, Sebastian Ribas est de retour en France, Bruno Metsu a remplacé Diego Maradona, Mathieu Debuchy a fait part de ses envies d’ailleurs et Kenny Miller a signé en MLS.
Voilà, il est (presque) là. Il est grand. Il est beau. Il transpire l’arrogance. Il va soulever l’Hexagoal dans dix mois. Lui, c’est Zlatan Ibrahimović, et – si tout va bien – il va retourner Paris la saison prochaine. Et changer ta vie.
Ça y est, Marco Verratti débarque au PSG. Nouveau Pirlo ou pas, le choix est révélateur quant à la stratégie des dirigeants parisiens. Et elle ne va pas forcément dans le sens que souhaitaient les amoureux du club de la capitale.
Après le titre du voisin de City, Manchester United repart en guerre. Au front, Sir Alex a réussi à dégoter le samouraï Kagawa et le pré-pubère Powell. Le tout pour entourer le général en chef de cette Red Army, Wayne Rooney.
Alors que beIN Sport impute à la LFP la responsabilité de l’horaire des matchs de Ligue 2 le vendredi à 18h45, les patrons de Ligue 2 sont tiraillés entre une manne financière bienvenue et la colère de leurs fans.
Lavezzi, Silva, Ibrahimović. Trois noms, trois stars qui rejoignent la capitale en quelques jours. L’occasion de revenir sur ces mecs qui étaient d’énormes vedettes en arrivant au PSG et qui ont marqué, ou pas, son histoire.
David Bellion n’avait plus effectué de préparation correcte depuis deux saisons. Buteur samedi face à Nice lors du premier match amical de la saison des Girondins, l’attaquant qui ne sait pas encore de quoi son avenir sera fait livre son sentiment sur le football actuel.
Tout le monde scrute Zlatan, mais la planète foot tourne encore. En attendant le grand Ibra, les supporteurs du PSG se consoleront avec Marco Verratti, tandis que ceux du Mans pleureront Jeff Louis. Ça, c’est un lundi sur le marché des transferts.
Cette semaine sur Twitter, on est sorti du placard sans faire exprès, retourné en primaire pour apprendre le français et on a même commandé de la bière à l’étranger.
Tout le monde parle du Bayern, de Dortmund, de Mönchengladbach. Il ne faudrait pas oublier que Schalke 04 a fini troisième l’an dernier.
La Fédération russe a finalement tranché : le nouveau sélectionneur se nomme Fabio Capello. Le coach italien remplace Dick Advocaat et enchaîne une deuxième sélection nationale après l’Angleterre.
Après une saison 2011 pleine de regrets et le départ inattendu de Leonardo, il y a eu l’échec Gasperini, les montagnes russes de Ranieri et l’espoir Stramaccioni. Aujourd’hui, où en est l’Inter Milan ?
Chacun à leur rythme, Malaga, Manchester City et le Paris Saint Germain commencent à prouver qu’en football plus qu’ailleurs, l’argent contribue grandement au bonheur.
Zebda est le groupe français le plus programmé sur scène cet été. Sans langue de bois, Hakim Amokrane, l’un des chanteurs de la formation, rappelle le manque de moyens des petits clubs, adresse un mot à Michel Platini et se remémore le célèbre Toulouse/Naples de 1986.
Clarence Seedorf est devenu le dernier Européen à tenter l’expérience brésilienne. Avant lui, peu ont réussi à briller au pays du football et des plumes dans le cul. Top 11 des pionniers.
Malaga a surpris en annonçant qu’il se rendrait au Venezuela pour sa tournée lucrative de pré-saison. Qu’est-ce qui peut bien lier le club des Qataris et le pays d’Hugo Chavez ? Perdu, le pétrole n’a rien à voir là-dedans.
Le mythique Nottingham Forest, qui végète actuellement en D2 anglaise, vient d’être racheté par un riche homme d’affaire koweïtien. De quoi se mettre à rêver d’un retour au premier plan ? À voir, car le chantier est vaste…
Aussitôt arrivé, aussitôt intronisé capitaine, Jonathan Zebina fait le point sur l’actualité toulousaine et regarde, amusé, sa très riche carrière.
Directeur de la Cantera de l’Athletic Bilbao, José Maria Amorrortu est à la fois le témoin du passé et le garant de l’avenir de la philosophie du club.