En Espagne aussi, ce soir c’est choc entre le leader et son dauphin. Sauf que là-bas, le FC Barcelone peut, en cas de victoire face à l’Atlético, tuer tout suspense pour la suite du championnat. En mettant toute concurrence à minimum neuf points.
Depuis deux semaines, Paris va mieux. Beaucoup mieux même. Une victoire face à Porto, deux démonstrations en Ligue 1 et un collectif qui semble enfin se mettre en place. Un renouveau tactique ou un simple changement d’attitude ?
Pour un match qui devait rimer avec victoire et buts au Chaudron, Saint-Étienne a déjoué et perdu face à Lorient (0-2). Les Merlus, impeccables dans la maîtrise et la gestion de la rencontre, récoltent ainsi un quatrième succès consécutif en Ligue 1.
Net vainqueur de l’Atalanta (3-0), la Juventus prend une sérieuse avance en tête de la Serie A. Les Bianconeri comptent 7 points d’avance sur l’Inter (battue hier par la Lazio) et 8 sur le Napoli, qui reçoit Bologne ce soir. Derrière, la Fiorentina et le Milan AC assurent face à des relégables, et la Roma chute chez le Chievo.
Paris et Lyon ont toujours entretenu de bons rapports. Dans les effectifs actuels, ils sont d’ailleurs trois à avoir porté les deux maillots (Milan Biševac, Peguy Luyindula et Mathieu Bodmer). Depuis quarante ans, ils sont beaucoup plus.
Nancéiens et Bordelais se sont quittés sur un résultat nul (1-1) ce dimanche après-midi, au terme d’une rencontre médiocre dans son contenu. Un partage des points, bien sûr, qui n’arrange personne.
Après chaque match, c’est la même rengaine : joueurs comme supporters se jettent sur les notes données par les observateurs. Un exercice qui peut s’avérer intelligent, drôle et stimulant. Sauf en France, où L’Équipe fait, souvent, la pluie et, parfois, le beau temps.
Seul aux manettes de la Liga, le Barça peut dès ce dimanche tuer tout suspense en battant l’Atlético. De son côté, le Real s’avance sans aucune certitude face à l’Espanyol. Ou comment définitivement tirer un trait sur l’intérêt de ce championnat.
Meilleur buteur d’un Galatasaray en pleine bourre, Burak Yılmaz a qualifié à lui seul les Sang et Or pour les huitièmes de Ligue des champions, en inscrivant six des sept buts du club. Avant le derby face au Fenerbahçe, portrait d’un buteur. Un vrai.
Éliminé dès les phases de poules de la Ligue des champions, Chelsea espérait sauver les apparences en remportant la Coupe du monde des clubs. C’est raté. Dominateurs pendant une heure, les Blues se sont finalement inclinés face aux Corinthians (1-0).
Guglielmo Stendardo vient de vivre une drôle de semaine. Le défenseur de l’Atalanta n’a pas participé au match de Coupe contre la Roma. Suspendu ? Blessé ? Non non. Monsieur passait ses examens finaux pour devenir avocat. Excusez-le.
Après quelques années de purgatoire footballistique, Obafemi Martins est de retour sur les prés. Dans la banlieue de Valence, il fait les beaux jours du poil à gratter Levante. Un retour au soleil pour le Nigérian à la carrière si atypique.
Lorient, Nancy et Châteauroux sont les seuls clubs professionnels français à avoir franchi le cap du terrain synthétique en compétition. Face aux nombreux avantages que présentent cette surface, pourquoi une telle levée de boucliers dans les autres clubs ? Éléments de réponse.
Grâce à un but de l’inévitable Miroslav Klose, inscrit à dix minutes du terme de la partie, la Lazio est venue à bout de l’Inter sur la plus petite des marges (1-0). Les Romains reviennent dans la course, et font surtout une superbe passe décisive à la Juve.
C’était un bien joli samedi soir, sur les pelouses de Ligue 1. La preuve en chiffre : 19 buts (et des beaux) en cinq matchs. Au final, Montpellier et Nice confirment leur bonne forme, respectivement face à Bastia (4-0) et Évian (3-2).
Réduits à neuf à la pause après l’exclusion de son aile gauche, le Téfécé a bien tenté de résister à l’OM. Mais André-Pierre Gignac est arrivé et a signé son retour d’une jolie lulu, copie conforme de celle signée par Payet mardi soir… contre Toulouse.
United ne s’arrête plus, QPR goûte enfin à la victoire
United ne s’arrête plus, QPR goûte enfin à la victoire
Intraitable à domicile, United reprend six points d’avance sur City et conforte tranquillement sa place de leader. Mais la sensation de cette journée, c’est assurément la première victoire de QPR, comme un petit cadeau de Noël avant l’heure.
Grâce à un Stefan Kießling de gala, le Bayer Leverkusen s’impose sans faire de détails face à Hambourg, et est assuré de finir deuxième de la phase aller. Le Bayern est toujours largement devant, même s’il a peiné face à Gladbach.
L’OM en visite à Toulouse, c’est l’assurance de voir pour une fois le Stadium faire le plein. Relancés au classement après leur victoire à Bastia, les Marseillais veulent confirmer contre un adversaire en crise.
« Very big match » dans les cimes de Ligue 2, ce Nantes – Caen a été une bien belle vitrine pour deux équipes appelées à retrouver l’élite. Nantes en a surtout profité pour asseoir sa domination.
Largement dominateurs en première mi-temps, les Citizens ont ensuite longtemps souffert. Avec cette victoire à Newcastle (1-3) lors de la 17e journée de Premier League, Manchester City met la pression sur United.
Malgré son contrat valable jusqu’en 2020, Alan Pardew commence à avoir chaud aux fesses. Bonne surprise de la saison dernière, Newcastle pointe à la 14e place. La réception de Manchester City pourrait être l’occasion de se relancer.
Brahimi : «En Espagne, on entre sur le terrain pour gagner»
Brahimi : «En Espagne, on entre sur le terrain pour gagner»
Cet été, Yacine Brahimi a quitté le Stade rennais pour Grenade. Malgré la 18e place des Andalous en Liga, l’international espoir français semble paradoxalement avoir retrouvé du poil de la bête à l’ombre de l’Alhambra. Interview.
En 2009, José Mourinho avait dit de Cambiasso : « C’est le joueur le plus rapide que j’ai entraîné. Et quand je dis rapide, je parle de là où ça sert le plus… » C’est-à-dire dans la tête. Un footballeur intelligent, promis à un avenir d’entraîneur brillant, et encore indispensable dans l’Inter de Stramaccioni.
Ce soir, au Stadio Olimpico, la Lazio, quatrième, reçoit l’Inter, deuxième. Un match entre deux équipes dont les supporters sont jumelés, mais qui, pour le coup, n’a rien d’une rencontre où l’on va se faire des faveurs et des fleurs.
Anciennement adulé à Bilbao, Fernando Llorente est aujourd’hui devenu le pestiféré de l’effectif. Une situation ubuesque qui doit autant au jusqu’au-boutisme de Bielsa qu’à la tête dure du joueur.
Cette année, peut-être encore plus que les saisons précédentes, la Ligue 1 est « spéciale ». Entre un PSG qui enchaîne les 4-0, mais qui se fait battre par Rennes et Nice, un classement ultra-serré et un OM que l’on dit nul, mais qui est deuxième, tout a l’air possible. Visiblement, en Ligue 1…
Dans le duel annoncé entre le Bayern et le Borussia, un club s’est tapé l’incruste : le Bayer Leverkusen. Et il le doit en grande partie à son buteur, Stefan Kießling, plus revanchard que jamais.
Huit matchs, huit défaites. Les chiffres parlent d’eux-mêmes, Toulouse a comme un problème quand il est diffusé par la chaîne cryptée. Analyse d’un mal étrange avant la réception samedi de l’OM sur… Canal.
Aux commandes de la Real Sociedad depuis maintenant deux ans, Philippe Montanier devient petit à petit le nouveau Raynald Denoueix ibère. Dans une Liga qu’il connaît et apprécie, il livre ses impressions à presque mi-chemin de la saison.
Deuxième défaite consécutive pour Valenciennes (0-2), qui semble un peu à la peine en cette fin d’année 2012. De son côté, Rennes n’a pas toujours été très rassurant ni brillant, mais a su exploiter à fond la bonne forme de son duo Féret/Pitroipa.