Dans un Grand Stade festif, Lille termine l’année en beauté. Emmenés par un Nolan Roux des grands soirs et un Dimitri Payet décisif, les hommes de Rudi Garcia se sont fait plaisir en écrasant Montpellier (4-1).
Nommé le 28 décembre 2010 ministre des Sports de la Guinée par le président Alpha Condé, Titi Camara s’est fait remercier le 5 octobre 2012 lors d’un remaniement ministériel. En attendant, ses larmes face à Bastia sont dixièmes de notre top 100 des buts de légende…
En s’imposant 1-0 face à la Sampdoria, et grâce au nul de l’Inter contre le Genoa (1-1), la Lazio s’empare de la deuxième place de Serie A. Derrière, la Fiorentina et le Napoli s’imposent aussi. Le peloton des poursuivants n’a jamais été aussi serré.
Avant de retrouver l’OL, Claude Puel est cinquième de Ligue 1 avec Nice. Une folie que l’on doit à Claude Puel, déjà coutumier du fait car avec trois francs cinquante, le sosie de Claude Barzotti avait fait de Lille une place forte du championnat de France. Rebelote ?
C’est une petite équipe d’Arsenal qui est allée s’imposer à Wigan cet après-midi (0-1). Grâce à un penalty d’Arteta, les Gunners s’emparent provisoirement de la troisième place du classement.
Ce soir, l’AS Roma, sixième, accueille le Milan AC, septième. Une confrontation entre deux équipes qui sont plutôt sur une bonne dynamique, et qui ont tout intérêt à ne pas perdre si elles ne veulent pas voir le train pour l’Europe s’éloigner.
Cet après-midi, Delio Rossi fait ses grands débuts sur le banc de la Sampdoria, après le limogeage de Ciro Ferrara. Ironie du sort, pour son premier match, il retrouve la Lazio, club où il a passé quatre ans et remporté une Coupe d’Italie.
Symbole de cette Espagne qui ne gagne pas, Joaquín vit aujourd’hui une seconde jeunesse à Málaga. Cette petite résurrection, symbole du bon début de saison des Boquerones, a de quoi faire trembler un Real mal en point.
Avant l’annonce de la rechute de Tito Vilanova, une nouvelle a fait sourire tout Barcelone : Éric Abidal a enfin reçu l’aval des médecins pour réintégrer l’effectif pro. Le plus beau titre de la saison blaugrana, assurément.
Cagigao : «La formation française a mal géré le cas des jeunes joueurs d’origine africaine»
Cagigao : «La formation française a mal géré le cas des jeunes joueurs d’origine africaine»
À Arsenal, il y a Arsène Wenger. Et puis il y a Francis Cagigao. Scout depuis 15 ans pour les Gunners, l’Espagnol a été celui qui a permis aux jeunes Fàbregas, Reyes, Lauren ou Almunia de découvrir la Tamise. Spécialiste de tout ce qui brille, il fait le point sur la formation à la française, longtemps considéré comme le vivier des londoniens.
Olympique lyonnais-OGC Nice, c’est l’assurance de voir une nuée de sifflets descendre des tribunes de Gerland au moment de la simple prononciation du nom de Claude Puel par le speaker. Résumé des épisodes précédents.
Dominateur d’un Stade brestois rapidement réduit à dix (3-0), Paris a terminé l’année comme il le souhaitait, en tête du classement. Zlatan, Gameiro et Mendy contre son camp sont les buteurs de la soirée.
Menés deux à zéro sur la pelouse d’Istres, les joueurs d’Éric Sikora se sont sortis les doigts pour égaliser et prolonger un peu plus leur série d’invincibilité. En haut, Caen et Angers engrangent, Guingamp cale.
Tout le monde se rappelle de Kheiron, le pote un peu lourd et pervers du héros de la série Bref. Depuis la fin de celle-ci, il cartonne sur les planches, à l’Européen, et livre ses pronos. Sans notes et sans contrôle.
Cette semaine, Zlatan a mis ses crampons sur le crâne de Lovren, a assisté au tirage au sort de la Ligue des champions et a « écrit une lettre à France Football ». Si le Suédois prenait la plume pour raconter ses impressions, voilà ce que cela donnerait. Ou pas.
Ils sont beaux (souvent), moches (parfois), émouvants (toujours), importants (quand même), futiles (donc utiles), impossibles (et pourtant), voire contre leur camp (Escobar RIP), et vont se découvrir au fur et à mesure de ce dernier mois de l’année. Ou s’il ne devait rester que 100 buts, pour autant d’histoires qui racontent la même chose : le football.
Ce soir, un peu après minuit, heure française, c’est la fin. La fin de tout. Heureusement, on a encore le temps de regarder un petit match, ce soir, peinard. Mais attention, il faut bien le choisir. Ce serait con que le dernier soit tout pourri.
Après une première saison d’apprentissage assez hardcore, l’Israélien Eden Ben Basat est en passe de définitivement s’imposer à la pointe de l’attaque de Stade brestois. Nolan qui ?
La fin du monde est officiellement programmée à 00H35 dans la nuit de vendredi à samedi. C’est con, parce qu’on se dit qu’on aurait aimé connaître la suite. Et puis bon, perdu pour perdu, autant tout avouer. Ici et maintenant.
Chauvin : «Le foot ne se réduit pas à cadenasser Zlatan»
Chauvin : «Le foot ne se réduit pas à cadenasser Zlatan»
Humilité et discrétion. Les valeurs du Stade brestois et de son coach, Landry Chauvin, permettent au club du Finistère de bosser en paix. L’occasion d’en savoir un peu plus sur ses méthodes, sur son groupe et sur la venue en Bretagne du PSG, ce vendredi.
Para One, prince de la techno hexagonale, distille des tracks aussi millimétrés qu’une transversale de Xabi Alonso. À l’occasion de la sortie de Passion, Jean-Baptiste de Laubier, de son vrai nom, parle de ballon, de racailles et de charisme.
En un peu plus d’un an, Diego Simeone a fait de l’Atlético Madrid un gros poisson en Espagne et en Europe. Solide second en Liga, l’Atlético devrait enfin retrouver la Ligue des champions la saison prochaine.
Les Mayas auraient décrété que toute cette mascarade plus connue sous le nom de « la vie » s’arrêterait ce vendredi, a priori vers midi. Un des leurs, Gaël Maïa, formé à Bordeaux et actuellement à Pétange (D1 luxembourgeoise), donne deux-trois tuyaux pour mourir heureux.
Ils sont beaux (souvent), moches (parfois), émouvants (toujours), importants (quand même), futiles (donc utiles), impossibles (et pourtant), voire contre leur camp (Escobar RIP), et vont se découvrir au fur et à mesure de ce dernier mois de l’année. Ou s’il ne devait rester que 100 buts, pour autant d’histoires qui racontent la même chose : le football.
Depuis quelques semaines, Ishak Belfodil est en train de faire son trou du côté de Parme. Dimanche dernier, l’ancien Lyonnais, souvent comparé à Benzema, a même inscrit le premier doublé de sa carrière professionnelle. Explosion en vue ?
La Ligue de football professionnel (LFP) a suspendu le stade de Furiani à titre conservatoire et envisage de faire jouer le prochain Bastia-Nancy à… Gueugnon. Si les supporters reconnaissent leurs torts, ils ne comprennent pas certains motifs. Décryptage.
Vélez en Argentine et Fluminense au Brésil, ok. Mais quels sont les autres champions sud-américains ? Gros plan sur trois lauréats : les Millonarios Bogota (Colombie), le surprenant Huachipato (Chili), et le fulgurant Deportivo Anzoategui (Venezuela).
Petite coupe d’Europe, grande affiche pour Lyon qui va affronter les Spurs d’Hugo Lloris. Cap à l’est pour Bordeaux, qui se voit proposer une double confrontation a priori équilibrée face au Dynamo Kiev.
Les supporters parisiens auront vibré jusqu’au bout des tirages, mais leur chatte légendaire leur a finalement permis de s’en sortir presque indemnes. Les joueurs de Carlo Ancelotti ont tiré Valence en huitièmes de la C1 et évitent entre autres le Real et Arsenal.
Samedi, le Sporting recevra Nancy… à Gueugnon. Après le huis clos décrété par la Ligue face à Marseille, la plus haute instance du football français a décidé de priver une seconde fois les Turchini du XIIe homme de Furiani. De quoi générer pas mal de paranoïa.