The Popopopops : «Salma Hayek donne un petit plus dans les gradins»
The Popopopops : «Salma Hayek donne un petit plus dans les gradins»
Pour le quatuor rennais, le football breton, comme la galette saucisse, n’a plus beaucoup de secrets. De Yann M’Vila à Antonetti, de Vahirua à Salma Hayek, rencontre avec un groupe qui devrait plaire à François Pinault.
Les éliminatoires de la zone Europe pour la Coupe du monde 2014 avancent. Certaines équipes se baladent, d’autres galèrent, et d’autres ont déjà dit adieu aux vacances au Brésil. On fait le bilan, calmement.
On en est où après neuf matchs de l’équipe de France de DD, surtout après les deux tests espagnols ? C’est « moyen-plus », comme d’hab. Sauf qu’il va falloir quand même assurer la qualification.
« On a livré bataille (…). Et même à la fin, alors qu’on était en infériorité numérique, ils n’étaient pas tranquilles ». Didier Deschamps peut sortir de cette défaite la tête haute : ses Bleus se sont battus de façon intelligente et ordonnée, avec ponctuellement une certaine dose de virtuosité. Mais en face, l’Espagne était encore plus intelligente.
En l’espace de 90 minutes, la Roja a mis son monde d’accord. Il n’en fallait pas plus à la presse espagnole, qui a déjà composté son ticket pour le Brésil, toque en poche. Et qui ne se prive pas d’égratigner l’EDF, Benzema en tête.
Le Venezuela a réalisé la grande performance de la 12e journée des éliminatoires CONMEBOL en faisant chuter une euphorique Colombie (1-0). Leader, l’Argentine a survécu à l’altitude en Bolivie, tandis que l’Uruguay, défait au Chili, voit la Coupe du monde s’éloigner.
Si à la fin du match, Franck Ribéry assure avoir des regrets, il ne faut pas en avoir tant que ça. Les Espagnols étaient supérieurs, dans tous les compartiments du jeu.
Mondial 2014 – Éliminatoires – Zone Europe & restes du monde
Du tout bon pour l’Allemagne, l’Italie et les Pays-Bas
Du tout bon pour l’Allemagne, l’Italie et les Pays-Bas
Pas de surprise ce soir dans les éliminatoires de la zone Europe : Belgique et Croatie continuent de se disputer la première place du groupe A. L’Allemagne, l’Italie et les Pays-Bas gagnent sans trembler et le Portugal se rassure. Résumé complet de la soirée.
A la rue en première période, le Monténégro est parvenu à répondre à l’Angleterre en seconde, sous l’impulsion de son duo fétiche Vučinić-Jovetić. De quoi effacer un but de Rooney, et conserver la première place du groupe H des éliminatoires du Mondial (1-1).
Le Brésil en première classe s’éloigne pour les Bleus
Le Brésil en première classe s’éloigne pour les Bleus
La France a perdu la tête du groupe I et peut-être ses ambitions de première place. Battus par des Espagnols dominateurs mais pas imprenables (0-1), les Bleus vont devoir assurer les affaires courantes et compter sur un hypothétique faux-pas de la Roja.
Pas grand-monde n’aurait misé dessus, mais c’est bien l’équipe de France qui a l’occasion de faire un grand pas en direction du Brésil en cas de victoire ce soir. Accrochés par la Finlande, les Espagnols sont, eux, revanchards. Et ce n’est peut-être pas une bonne nouvelle.
8 mois, 8 matchs et déjà, quelques enseignements. Arrivé à la tête des Bleus le 8 juillet 2012, Didier Deschamps a déjà imposé sa patte sur une équipe de France qui accueille l’Espagne ce soir, avec un bon espoir de se rapprocher du Mondial 2014 au Brésil. On fait le bilan, calmement.
Il y a deux ans, Diaby et Rami étaient les chouchous du public. Ensuite, on a eu droit à Martin et Payet. Puis à Menez et Cabaye. On a même fait de Malbranque un sélectionnable en puissance. Aujourd’hui, cette mode est passée. On est déjà sur autre chose. Voici les cinq au sommet de la courbe de hype.
Génie, génial, talentueux, respectueux. Cesc Fàbregas a tout pour lui, en plus d’avoir un palmarès de chacal à 25 piges. Sauf que le milieu de terrain du FC Barcelone n’est qu’une vulgaire roue de secours en équipe d’Espagne, et ce, en dépit de plus de 70 sélections. Un postulat qui dure.
Exempt de la dernière journée d’éliminatoires, l’Équateur, convaincant troisième de la zone CONMEBOL, retrouve le chemin de la compétition ce mardi, face au Paraguay. Pour augmenter son capital, la Tri comptera bien entendu sur le Mancunien Antonio Valencia, incontestable star de cette sélection, mais aussi sur Felipe Caicedo, son buteur providentiel.
Pas de Tévez, ni de Pastore, pas de Cambiasso, ni de Lamela. En Argentine, malgré les bons résultats, certains choix de Sabella surprennent. Un en particulier agace plus que les autres : l’absence de Scocco, attaquant de Newell’s Old Boys et meilleur joueur local.
Entre faux complexe de supériorité et francisation de son vocabulaire, la presse espagnole n’en mène pas large à quelques heures du rendez-vous dionysien. Heureusement, quelques saillies priceless arrachent de francs sourires. Revue de choix.
Ce soir, l’Italie se déplace à Malte pour y affronter le dernier de sa poule. Tout cela pendant que la Bulgarie, 2e, se déplace au Danemark, 3e. L’occasion rêvée pour réaffirmer sa première place.
Dernier de la zone Amérique du Sud, avec 6 défaites en 10 rencontres, le Paraguay est aujourd’hui en passe de manquer son premier Mondial depuis France 98. Chronique d’une chute brutale…
Hutteau : «Valbuena a déjà été aussi bon, mais pas aussi décisif»
Hutteau : «Valbuena a déjà été aussi bon, mais pas aussi décisif»
Agent de Mathieu Valbuena depuis son époque libourno-saint-seurinoise, Christophe Hutteau fait le point sur son poulain. Car oui, messieurs les Espagnols, le meilleur joueur offensif français en 2013, c’est lui.
Avec Monreal sur le flan gauche, Azpilicueta sur le banc et Juanfran dans les tribunes, Osasuna s’est fait une spécialité de placer ses anciens protégés sur les ailes de la Roja. Mais quel est donc le secret du club de Pampelune pour installer ces latéraux dans le squad de Vicente del Bosque ? Indice : ce n’est pas l’argent.
Ce soir à Londres, le Brésil accueille la Russie pour un énième match de préparation en vue de sa Coupe du monde l’année prochaine. Une rencontre amicale donc, mais importantissime pour Neymar et sa bande puisque le bilan de leur coach Scolari est pour le moment peu flamboyant : une défaite et un nul. Réaction attendue face aux Russes.
La faute à pas de chance, ok. La faute à l’arbitre, peut-être aussi. Mais l’improbable nul concédé par l’Espagne face à la Finlande (1-1) est avant tout la faute de Del Bosque, coupable d’avoir complètement désorganisé son milieu de terrain. Le sélectionneur espagnol reviendra à du très classique face aux Bleus.
Qu’il soit tacticien, meneur d’hommes, en costard, en survet’, moustachu ou mal rasé ; l’entraîneur sera toujours le premier fusible à sauter en cas de panne. Mais c’est aussi de lui que vient la lumière, la vraie. La preuve, avec 100 illuminés.
Déjà qualifié d’office pour le Mondial qu’il organisera dans un peu plus d’un an, le Brésil est obligé de se préparer avec des matchs amicaux. Scolari a repris le flambeau de Menezes, mais le moustachu n’a pas encore trouvé de réponses à toutes les questions.
Alors comme ça, pour mieux affronter “la meilleure équipe du monde” il serait opportun de mettre Karim Benzema “le meilleur joueur français” sur le banc ? Logique pour beaucoup. Ou complètement couillon, c’est selon.
Le foot, c’est ta drogue, ton plus gros kif. Mais, depuis quelque temps maintenant, tu l’aimes encore plus quand les matchs sont susceptibles de te rapporter un peu de pognon. D’ailleurs, tu commences à être un peu accro à ces putains de paris sportifs. Tu t’en rends compte quand…
Florian Martinez est auteur de bandes dessinées. Son récent Moselle, il l’a écrit avec la « rage du perdant » face aux refus répétés des éditeurs. Une fièvre qu’il retrouve chez Karim Benzema, super-héros des temps modernes car « imparfait et sombre ». Interview.
Les footballeurs n’aiment pas franchement la discrétion. Le tatouage était donc fait pour eux. Rendez-vous au Mondial du tatouage qui se tient jusqu’à ce dimanche soir à Paris pour savoir ce que les pros pensent de la rose de Jérémy Menez ou du dragon d’Ibra.