Dans un choc qui pouvait sceller ou relancer la course au titre en Serie A, Napoli et Juventus ont remis la décision à plus tard. Une première mi-temps parfaitement maîtrisée par les Bianconeri, une seconde à l’avantage des Partenopei, et les deux équipes se sont en effet quittées sur un nul logique (1-1).
Grâce à deux buts dans le dernier quart d’heure, Montpellier est venu à bout de Rennes (2-0) au terme d’un match où l’on aura vu davantage de trous dans la pelouse que d’occasions. C’est le huitième succès consécutif du champion de France en titre à domicile.
C’est ce soir ou jamais pour le Napoli. S’ils veulent relancer le suspens pour le titre en Italie, les coéquipiers de Cavani et Hamšík doivent s’imposer contre la Juventus. Et revenir ainsi à trois points de la Vieille Dame.
Cette semaine, Zlatan a disputé deux matches face à l’OM, a gagné deux matches face à l’OM, a marqué trois buts face à l’OM, s’est fait chambrer par Barton et a assisté à la défaite du Barça contre le Real Madrid. Si le Suédois prenait la plume pour raconter ses impressions, voilà ce que cela donnerait. Ou pas.
Perdu de vue depuis quelque années, Cyril Chapuis s’éclate désormais à Bourg-Péronnas, en National. Révélé à Rennes et passé par Marseille, Leeds ou Ajaccio, l’attaquant de 33 piges annonce la couleur pour la 27e journée de Ligue 1. Des pronos sans fioriture.
L’info transfert du jour, c’est la signature de Frédéric Piquionnne à Portland. Non, pas les Trail Blazers mais la franchise soccer de l’Oregon. Avant lui, il sont quelques-uns, les Français, à s’être laissés tenter par l’aventure américaine.
Ce soir, c’est le grand match. Celui qui peut sceller ou non le sort de la Serie A. Le Napoli, 2e, reçoit la Juve, leader. En cas de succès, les Turinois prennent 9 points d’avance et tuent tout suspense. A l’inverse, Naples peut relancer le suspense.
Malgré la victoire obtenue cette semaine en match en retard face à Auxerre, le CSSA reste bon dernier de L2. Surtout, le club-phare des Ardennes est menacé de dépôt de bilan si son rachat en cours, qui s’éternise, n’aboutit pas. Alerte : le sanglier est en danger.
Ce fut court mais intense. En février, entre les confrontations entre Paris et l’OM, les papouilles autour de France/Allemagne, la Saint-Valentin et le Clasico, vous avez quand même trouvé le temps de vous glisser quelques parties de FIFA. Et de lire ces dix articles sur sofoot.com…
En février, on a vu le Real Madrid marcher sur le Barça, Gareth Bale marquer un paquet de buts, Jérémie Aliadière aussi, le Bayern écraser tout le monde, David et Victoria Beckham débarquer au Parc des Princes. Bref, 28 jours, seulement, mais beaucoup de belles choses.
Incarné à merveille par Laurent Paganelli, l’homme de terrain est une particularité bien française. Une belle planque pour certains mais qui comporte aussi des risques. Refus d’interview, réponses agressives. Olivier Tallaron ne va certainement pas nous contredire.
À coups de vidéos, de compilations, de témoignages, on nous a vendu un bad boy, un type ingérable qui vérolerait l’OM jusqu’aux racines. Quelques mois après son arrivée, Joey Barton, discret mais efficace sur le pré, s’est enfin fendu de son premier gros coup. Résultat : ni sang ni carton, juste une vanne sur le pif de Zlatan et une belle et franche marrade. The show must go on !
Entre midi et deux, les soirs de semaine jusqu’à minuit ou le week-end toute l’aprem, tu prends ta caisse direction la proche couronne. Là tu vas te garer sur un parking de zone industrielle et lâcher ton billet de 10 pour pouvoir encore dire à tes proches que « Oui, tu pratiques un sport.« . Toi tu sais que ne joues plus qu’au foot à 5 quand…
Le championnat belge relancé par la surprise Zulte-Waregem, le PSV qui voit revenir Feyenoord et l’Ajax aux Pays-Bas, la promenade du Celtic en Écosse, la baston qui continue en Suisse : l’essentiel de l’actu des championnats mineurs européens, c’est ici.
Joey Barton qui mime le nez de pélican de Zlatan Ibrahimovic en plein match, c’est drôle. Chez les poètes, on appelle ça chambrer. C’est devenu rare dans le football alors que cela fait partie du jeu. Quand c’est utilisé à bon escient, c’est même un très bon coup tactique.
On l’a vu récemment au Qatar avec Nenê et Cissé ou en Suisse lors de de la cérémonie du Ballon d’Or, avec son pote Sepp Blatter. Gérard Depardieu est un homme de ballon, et pas que de rouge. Une passion qui ne date pas d’hier. Itinéraire d’un enfant de balle entre Châteauroux, Auxerre et la Russie.
Une saison en D1, une Coupe de la Ligue, un président nommé Tony Vairelles et puis, plus rien. Mais qu’est donc devenu le club forgeron un an et demi après sa liquidation judiciaire ? Éléments de réponse.
Chaque année, la Coupe de France se découvre un petit poucet. Cette année, c’est à Vénissieux, dans le quartier des Minguettes, qu’il fallait chercher. Alors même si le froid était encore présent entre Rhône et Saône, il fallait bien aller les encourager, ces Gones.
Dans un match à sens unique, le Paris SG s’est facilement imposé face à onze Marseillais fatigués. Van der Wiel, aux chiottes depuis six mois, a réalisé un match de bonhomme.
Et de deux. Vainqueurs tranquilles de Marseillais bien faibles, les joueurs du Paris Saint-Germain sont qualifiés pour les quarts de finale de la Coupe de France. Auteur d’un doublé, Zlatan Ibrahimovic s’est fait charrier par Joey Barton, mais lui a bien répondu.
L’affiche de la dernière finale de Coupe d’Allemagne n’aura pas accouché du même sort. Humilié en mai dernier, le Bayern Munich a cette fois-ci dominé le Borussia Dortmund et se qualifie pour les demi-finales grâce à un chef d’œuvre de Robben (1-0).
Bienvenue au Pizjuán pour le vrai gros match de la soirée, la bouillante demie-finale retour de la Coupe du Roi. Vainqueurs 2-1 à l’aller, les Colchoneros tenteront de mettre de côté l’élimination en C3 en s’offrant une superbe finale face à l’ennemi, le Real Madrid.
Paris-Marseille : acte II. Avec quelques changements notables par rapport à l’épisode précédent. Une coupe en toile de fond, pas de Beck’Cam, mais David titulaire d’entrée, des maillots sponsorisés PMU et Crédit Agricole et un vainqueur incontestable à la fin.
Ils ne se quittent plus, ces deux-là. Trois jours après une victoire un rien heureuse en championnat, le PSG retrouve Marseille. Cette fois, il s’agit d’un huitième de finale de la Coupe de France. Le quatrième et dernier Classico à la française de la saison.
Vous ouvrez le supplément d’un magazine un matin, et vous découvrez d’un coup que la France entière déteste votre club adoré. Pendant que les autres se partageraient des miettes insignifiantes de popularité. Et si ce type de sondage nous en apprenait plus sur ceux qui les commandent que sur l’échantillon qui y répond ?
Cristiano Ronaldo a éclaboussé le clásico hier soir. Le héros portugais a marqué ses septième et huitième buts en six visites au Camp Nou. Ce doublé méritait un hommage.
Le visage marqué et la barbe de trois jours de celui qui bosse un peu trop, mais le sourire de celui qui est heureux de parler de football. C’est posé dans un salon beaucoup trop réchauffé de sa maison de disques que L.E.C.K parle de son PSG et de son pote de toujours, Jérémy Ménez.
Une gifle filée par le rival du Real, un entraîneur principal à New York, un intérimaire dépassé, une équipe en autogestion, un Messi tout triste et un jeu qui bégaie. Le Barça pose question depuis quelques semaines. On en a même trouvées 31.
Ce soir, Gennaro Gattuso fait ses grands débuts en tant qu’entraîneur-joueur du FC Sion. Au programme : un quart de finale de Coupe de Suisse contre Lausanne. Il est déjà le cinquième entraîneur du FC Sion cette saison.
Ezequiel Lavezzi est arrivé dans la capitale avec une réputation de joueur de dancefloor. Il a commencé sa saison par un carton rouge et des blessures. Forcément, on s’est posé des questions. Mais depuis novembre, l’Argentin a mis tout le monde d’accord.
On aurait pu vous parler de Franz Beckenbauer, de Lothar Emmerich et d’autres mecs à rouflaquettes et/ou en noir et blanc. On a préféré parler Franck Ribéry, Mario Götze, Luca Toni et surtout Jakub Blaszczykowski et Stefan Effenberg. Bayern Munich contre Borussia Dortmund, ou les deux clubs les plus chauds d’outre-Rhin du moment. Plaisir.