Il fallait un exploit pour se qualifier, la Lazio ne l’a pas réalisé. Trop brouillons, les Biancocelesti ont longtemps péché par excès de précipitation. Jusqu’à un but synonyme d’espoir, et une désillusion dans la foulée avec le but égalisateur des Turcs (1-1). Il n’y a plus d’équipe italienne en Europe.
Mission impossible ou presque pour Newcastle. Dominé et battu 3-1 à Lisbonne, le plus français des clubs anglais veut croire à l’exploit face à un Benfica toujours en course pour un triplé championnat-Coupe-Ligue Europa.
Ce soir, la Lazio et Fenerbahce s’affrontent en quarts de finale retour de C3. La Lazio, qui a deux buts à rattraper, aurait aimé pouvoir compter sur le soutien de ses tifosi. Mais le match se déroulera à huis clos, à cause de la suspension infligée par l’UEFA.
Benfica aborde son match retour face à Newcastle avec deux buts d’avance (3-1), et beaucoup de chances d’atteindre les demies de l’Europa League. Presque autant que de réaliser le même triplé que Porto en 2011. Jorge Jesus n’a pas exclu cette possibilité. Loin de là. Et il a bien raison.
La France du foot a toujours été championne du monde du « presque ». Dernière illustration en date : la glorieuse élimination de Paris face au Barça, hier soir. Deux matchs nuls (2-2 et 1-1) qui font presque une victoire… Même avec le seul Jallet dans son onze, le PSG reste un club bien français.
Pas d’exploit, pas de « rimonta », pas de victoire, pas de match nul, pas le moindre but. La Juve a simplement perdu contre (beaucoup) plus fort qu’elle. Une bonne leçon pour l’avenir, pour une équipe qui, mine de rien, était en Serie B il y a six ans.
Ce fut cruel, mais beau. Mais cruel. Mais beau quand même. S’il fallait tomber face à la « plus belle équipe au monde », il était écrit que le PSG le ferait par manque de réalisme. Cruel, mais beau.
La reprise du championnat chinois sans stars mais avec Hoarau, la baston qui commence au Japon, la Corée du Sud à la relance, la désillusion de Del Piero en Australie, l’emballage final dans les pays du Golfe : toute l’actu de la zone Asie, c’est ici.
Scandalisée après le match aller, la presse espagnole se sait bien heureuse de la qualification du Barça. Une sixième demi-finale consécutive que le FC Barcelone doit au talent d’un seul et unique homme, « Merci Messi ».
Emmené par un Argentin dansant, le PSG ramène un point du Nou Camp selon Nasser Al-Khelaïfi, et une élimination en quart de finale de Ligue des champions pour le reste du commun des mortels. Rageant et encourageant à la fois. Toute la folie de Paname en un seul match.
Il n’y a pas eu d’exploit. Bien que meilleure qu’au match aller, bien que motivée, la Juve n’a aucunement contrarié un Bayern impeccable de maîtrise. Malgré ce plus beau visage, elle s’incline sur le même score qu’à Allianz Arena (0-2).
Auteurs d’une très belle prestation et qualifiés pendant quelques minutes, les joueurs du Paris Saint-Germain, tenus en échec 1-1 sur la pelouse du Camp Nou, quittent la Ligue des Champions la tête haute. Plombés par un manque criant d’efficacité, les joueurs d’Ancelotti ont plié, mais pas forcément face à meilleurs qu’eux.
Vainqueur 2-0 à l’aller, le Bayern Munich a fait une grande partie du boulot. Mais les Bavarois sont encore loin d’être déjà en demi-finale. Chez elle, la Juve est loin d’avoir dit son dernier mot.
Le PSG a rendez-vous avec son histoire. En arrachant le nul (2-2) à la dernière seconde du match aller, le PSG s’est donné le droit de rêver. Rêver de faire tomber le Barça chez lui au Nou Camp.
Avant la Zlatanmania parisienne, le Suédois avait promené son squelette du coté de Barcelone, où il a laissé des souvenirs plutôt mitigés. Focus sur l’étape la moins glorieuse de la carrière d’Ibra avec trois témoins privilégiés.
Le PSG doit-il abandonner le 4-4-2 contre Barcelone ?
Le PSG doit-il abandonner le 4-4-2 contre Barcelone ?
Battre ce Barça-là sur ses terres lors d’un match retour de Ligue des Champions. Du jamais vu. Ce que le PSG doit réaliser ce soir à Barcelone, aucune équipe ne l’a encore fait. Oui, Paris a besoin d’un exploit. Et aussi d’un nouveau système, compte tenu de la suspension de Blaise Matuidi.
Exclu : Sayem remixe l’hymne de la Ligue des champions
Exclu : Sayem remixe l’hymne de la Ligue des champions
On commence ici et là à dire de lui qu’il est le « petit prince de l’electro en France ». Ce qui est sûr, c’est que Sayem a déjà bossé avec Cassius, Miss Kittin ou La Caution, et qu’il est fan de l’OM. L’occasion pour lui de parler foot, et de remixer, en exclu, l’hymne de la Ligue des champions avant le match Barça/Paris.
De Pedrito à Pedro, des Canaries à Barcelone, du Camp Nou à la Roja… Pedro Rodríguez Ledesma a toujours su se faire une place au soleil. Un statut d’inamovible qu’il doit à l’évolution de son jeu. Mais ô grand jamais à sa personnalité.
En moins d’une saison, Blaise Matuidi est devenu un joueur incontournable au PSG. Sa suspension, ce soir, à Barcelone, est un vrai coup dur. Question : comment faire sans son Kényan ? Réponse : Prier. Notamment pour le corps de lâche de Thiago Motta.
Ce soir, la Juventus reçoit le Bayern Munich au Juventus Stadium. Les Turinois, largement battus 2-0 au match aller, vont devoir réaliser un véritable exploit pour renverser la tendance. Possible ou pas ?
Deux buts dans le temps additionnel ont fait basculer ce Dortmund – Málaga dans l’au-delà des rencontres mythiques. Les joueurs de Klopp, excellents pour la plupart, méritent eux aussi d’entrer dans l’histoire. Ceux de Málaga aussi, tiens.
Galatasaray était condamné à l’exploit. Condamné à marquer trois buts, pour refaire son retard sur le Real. Mais il n’y a pas cru, la faute à un but de Cristiano Ronaldo dès la 8e minute de jeu. Dommage, au regard d’une seconde période de feu, où les Sang et Or en ont claqué trois, pour finalement l’emporter (3-2).
Mené 2-1 jusqu’à la 91e minute de jeu, Dortmund a arraché une qualification inespérée en inscrivant deux buts en à peine une minute dans le temps additionnel (3-2). Un scénario incroyable qui marquera à jamais l’histoire du BVB. Malaga peut se les bouffer.
Remonter trois buts au Real Madrid de Mourinho et Cristiano, mission vraiment impossible ? Pas forcément lorsqu’on n’a plus rien à perdre, qu’on peut compter sur un public véhément envers l’adversaire et qu’on se dit que c’est beau de rêver.
Qui rejoindra le Real Madrid, le Bayern et le Barça en demi-finale de C1 ? Si rien n’est encore fait après les matchs aller, ce match entre Málaga et Dortmund n’en reste pas moins le plus ouvert et le plus indécis de tous.
Nunettes, c’est l’histoire d’un produit marketing propulsé par un gardien à dreadlocks. Une marque qui ne vit que par le placement de produit. Une paire de lunettes que tu n’achètes que parce que Lionel Messi, Bob Sinclar, Jean-Pierre Pernault et… José Pinto donc en portent. Bref, une réussite de 2013.
Entre l’affaire Knysna et son exil andalou, c’est peu dire que Jérémy Toulalan avait disparu du paysage footballistique français. Mais plus de deux ans après le Mondial, « La Toul’ » régale en Espagne et frappe à nouveau à la porte des Bleus. Un come-back à la hauteur de l’homme : discret et épatant.
A son arrivée, beaucoup de critiques. Aujourd’hui, tout le monde s’incline devant le talent d’Ilkay Gündogan. 22 ans et déjà un style de daron à qui on la fait pas: le métronome du BVB a tout pour devenir un milieu de classe internationale.
Facile vainqueur de Galatasaray au match aller (3-0), le Real Madrid se voit déjà en demi-finale. Alors forcément, lorsque Xabi Alonso et Sergio Ramos, récidivistes, prennent volontairement un carton les suspendant pour ce retour, cela fait jacter. À tort.
Indisponible pendant plus d’un an, Júlio Baptista vient tout juste de retrouver le chemin des pelouses avec Málaga. Déjà titulaire indiscutable, il sera à la pointe de l’attaque andalouse face à Dortmund. Avec son style bestial qui le caractérise si bien.