Depuis cet été, le TFC essaie de jouer au ballon et se met subitement à perdre. Telle est la première lecture qu’on pourrait faire du début de saison toulousain. Sauf que c’est plus compliqué. Évidemment.
C’était le moment que les lascars du monde entier attendaient tous. Ce mardi 17 septembre, ils n’avaient que ces trois lettres à la bouche. Alors, LDC ou GTA ? Ligue des champions, évidemment. Voici pourquoi.
David Linarès fait partie de la légende lyonnaise, mais peu de gens s’en souviennent. Pendant six ans sous le maillot des Gones (de 1996 à 2002), il a connu la Ligue des champions et participé à la conquête du premier des sept titres du club. Actuellement entraîneur de l’équipe C du club, David Linarès poursuit sa carrière sur un banc discret.
Direction la Hongrie ce week-end, où va se disputer le vieux derby de la capitale entre Ferencváros et Újpest. Chaque saison, la double confrontation entre les clubs les plus populaires du pays reste le temps fort du championnat local, même si les deux rivaux peinent aujourd’hui à assumer leur glorieux héritage.
Après un mois d’août d’échauffement, la saison 2013-2014 a vraiment repris avec cette première salve de matchs européens. Et Entrevue a raison, les vérités livrées ne sont pas bonnes pour tout le monde.
La bande des quatre (PSG, OM, OL et Bordeaux) n’a pas totalement débandé. Mais avec une victoire, deux défaites et un nul, la spirale négative entamée en août (ASSE, Nice et OL reversé en C3) incite à l’inquiétude inquiétante et inquiète.
Le tirage au sort des seizièmes de finale de la Coupe de la Ligue, qui auront lieu les 29 et 30 octobre prochain, s’est tenu mercredi, dans une salle de réception France TV. La petite sauterie n’a pas agité le monde du ballon rond, mais on a appris plein de choses intéressantes et les petits fours avaient un niveau de Ligue des champions. On est toujours bien reçu à France Télévisions.
Avant de faire des titres « disco cosmiques et spacieux » avec son compère The Magician puis en solo, Aeroplane, aka Vito De Luca, a connu les joies du football adolescent et la ferveur de la diaspora italo-belge. De fait, un détour par Roberto Baggio et Enzo Scifo s’impose.
Lyon a été largement dominé, mais ne s’est pas écroulé ce soir sur la pelouse du Bétis Séville (0-0), grâce à un très bon Anthony Lopes. Après avoir stoppé l’hémorragie en championnat le week-end dernier contre Rennes (0-0), l’ancien septuple champion de France s’est rassuré avec un deuxième match nul vierge de buts. Et tant pis pour le spectacle.
Swansea qui corrige Valence, la démonstration de la Fiorentina et de Tottenham, les buts de Gameiro et de Malouda, le PSV humilié à domicile, le couac du Standard… Tout ce qu’il faut retenir de cette première journée de Ligue Europa, c’est ici.
Salut les zinzins. La pêche ? Bienvenue en Andalousie pour le retour des Lyonnais sur le sol espagnol, après le leçon reçue il y a un mois dans le Pays basque.
L’Eintracht Francfort s’est facilement imposé (3-0) sur sa pelouse, face à des Girondins bien trop limités techniquement pour espérer rivaliser. Mauvaise entame donc, pour un collectif à la peine et inquiétant, en ce début de saison. Bonnes perspectives, en revanche, pour la formation allemande.
Contre le Bétis Séville pour les débuts en Ligue Europa, Rémi Garde doit faire avec un groupe amoindri et très jeune. Stéphane Roche, ancien joueur de l’OL et actuel entraîneur de la réserve, a vu passer en CFA la nouvelle génération lyonnaise et est bien placé pour la juger.
L’Eintracht Francfort est le premier adversaire à se mettre sur la route des Girondins. Un club qui est passé du statut de promu à celui d’Européen en une seule saison, mais qui traîne surtout une glorieuse histoire dont la plus belle page a été écrite en coupe d’Europe. Souvenirs.
José María del Nido, président du FC Séville de son état, a construit sa renommée autour de son combat pour une répartition plus juste des droits TV de Liga. Loin du football et des stades, il est également connu pour ses magouilles avec deux anciens maires de Marbella. Del Nido, ou le nouveau Jesús Gil.
C’est sûr, l’OM n’a pas été mauvais contre Arsenal. Il y a même de quoi avoir des regrets. Mais ce qui est encore plus sûr, c’est que l’Olympique de Marseille, censé avoir de la bouteille, n’en est pas à son premier scénario catastrophe en C1. Pire, le club de la cité phocéenne a pris la mauvaise habitude de répéter le même match.
L’humoriste et comédien Alban Ivanov reçoit à l’Entracte Saint-Martin, cigarette électronique au bec, après avoir passé les plats lors d’une scène ouverte mi-figue mi-raisin. Petite discussion foot, entre champs de tournesols, son amour pour Chantôme et la potentielle cible Zidane.
Ce soir, la Fiorentina retrouve les douces européennes, très exactement 1290 jours après son dernier match de C1 contre le Bayern Munich (on ne compte pas le tour préliminaire de C3). L’adversaire du soir : l’imprévisible Paços de Ferreira.
Alors que la saison régulière de MLS se termine dans un peu plus d’un mois, les prétendants au titre jouent des coudes, avec pour chaque conférence trois accessits pour les play-offs et deux places de barragiste en jeu.
Pour passer de la guerre à la paix, il suffit parfois de pas grand-chose. Une série de victoires convaincantes par exemple a permis au Standard d’effacer – pour le moment – l’état de tension extrême qui régnait en fin de saison dernière entre le président du club et une majorité des supporters. L’équipe liégeoise est ce soir en quête d’une 14e victoire cette saison en autant de matchs de compétition !
Globalement, les Marseillais ont été bien plus convaincants que des Gunners tout timides, à l’image d’un Giroud porté disparu. Mais comme la vie est vraiment trop injuste, ce sont les Londoniens qui se sont imposés sur deux éclairs de Walcott et Ramsey.
Œil pour œil, dent pour dent, Messi répond à Ronaldo, Chelsea fait tourner mais perd, Lucho González et Streller les trentenaires s’offrent une deuxième jeunesse, le Milan écœure dans les dernières minutes, et Hulk a encore mis une praline.
Retour de la Champions League au Vélodrome et match frustrant pour l’OM. Dominateurs stériles, les hommes d’Élie Baup s’inclinent contre le cours du jeu face à une équipe d’Arsenal ultra réaliste (2-1).
Quel match au stade San Paolo ! Pour ce qui était annoncé comme le choc du groupe de la mort, Naples n’a fait qu’une bouchée du Borussia Dortmund. Dans une ambiance dingue, les Napolitains ont régalé leur public, s’offrant une quatrième victoire en quatre matchs (2-1) face à des Allemands réduits à dix pendant 45 minutes.
L’OM n’aura pas eu le temps de mettre le feu. Arsenal empoche la mise à l’expérience. Le réalisme aura fait la différence dans ce match très plaisant. Les Marseillais ont fait le match qu’il fallait, mais ont manqué de réalisme dans les deux surfaces. Le déplacement à Dortmund va valoir cher.
L’affiche de cette soirée de Ligue des champions, elle est là ! Le leader de la Bundesliga, avec 5 victoires en 5 matchs, et finaliste de la dernière C1 se rend sur la pelouse du leader du Calcio, avec 3 victoires en 3 matchs. Attention #choc !
Après un an d’absence, l’Olympique de Marseille retrouve les joies de la C1 ce mercredi. Pour ses retrouvailles avec la plus grande des compétitions, le groupe phocéen reçoit Arsenal dans son beau Vélodrome. Un match déjà crucial dans un groupe F totalement fou.
Le BVB se rend au San Paolo avec le vent en poupe. Depuis le début de la saison, les hommes de Jürgen Klopp n’ont connu que la victoire. C’est bien. Très bien, même. Seulement, il reste deux-trois choses à corriger, auquel cas les Schwarzgelben pourraient se faire punir plus vite qu’ils n’y pensent.
Quatre buts en Grèce dont trois sur corner, le PSG de Laurent Blanc commence à devenir une machine aérienne. C’est une vraie nouveauté par rapport au PSG de l’an dernier. Pour Laurent Blanc par contre, c’est une vraie marque de fabrique.
Bien sûr, ce soir au Nou Camp, avec Messi, Neymar, Xavi, Iniesta, Fàbregas, Alves, Deco, Ronaldinho, Eto’o, Romario et Stoichkov, le Barça part légèrement favori. Mais c’est bien Ajax qui gagnera. Si, si…
Il a l’un des plus beaux blazes et l’un des meilleurs touchers de balle de la Liga. À 21 ans, Koke Resurrección est à l’image de cet Atlético de Madrid : en pleine bourre. Un état de forme qui ne devrait pas s’estomper, tant l’enfant de Diego Simeone a encore faim.