Ronaldinho, Pauleta, Didier Drogba, Hatem Ben Arfa, Gabriel Heinze, André Ayew, Luis Fernandez, Basile Boli, Éric Di Meco, Alen Bokšić, Fabrizio Ravanelli. Ils ont tous marqué, un jour ou l’autre, un choc entre l’Olympique de Marseille et le Paris Saint-Germain. Pourtant, il en existe d’autres. Des hommes de l’ombre. Et même des femmes.
Pour sa première sur le banc sochalien contre Valenciennes (2-0), Omar Daf a donné raison à Éric Hély. Le tout par des méthodes simples de vieux sage et quelques ajustements. Payants cet après-midi à Bordeaux ?
Pendant des années, le PSG et l’OM se sont détestés. Mais cette réalité ne devait pas en cacher une autre : les deux clubs se détestaient parce qu’ils partageaient beaucoup de choses. Maintenant que le PSG a été remplacé par un nouveau club, cette réalité perd un peu en intensité…
Incroyable succès de la Roma de Rudi Garcia. Les Giallorossi se sont imposés 3-0 sur la pelouse de l’Inter, grâce à un doublé de Totti et un but de Florenzi. Match maîtrisé par les Romains (un poteau pour l’Inter), qui restent donc en tête de la Serie A. Sept victoires en sept matchs : impressionnant.
Lille a confirmé ses bonnes dispositions actuelles en l’emportant très largement (3-0) face à Ajaccio. Dans le derby breton, Guingamp a logiquement disposé du Stade rennais (2-0), tandis qu’en bas du classement, Valenciennes a enfin interrompu sa triste série de défaites en arrachant le nul contre Reims (1-1).
Le Barça continue à apprendre à vivre sans Lionel Messi, toujours blessé. Et pour l’instant, les Catalans assurent les affaires courantes. Valladolid apparaît comme une victime toute désignée pour un septième victoire du Barça en sept matchs.
Grâce à une chance énorme et un Bernd Leno extraordinaire, le Bayer Leverkusen empêche le Bayern Munich de repartir avec les trois points. Franck Ribéry et ses potes peuvent s’en mordre les doigts, tant il y avait la place. Même si en fin de match, le Bayer aurait pu commettre le hold-up du siècle.
Mais où va s’arrêter la Roma de Rudi Garcia ? Six victoires en six matchs, le Français et ses joueurs visent la passe de sept. Mais l’affaire s’annonce corsée à San Siro face à l’Inter de Mazzarri.
Face à un Saint-Étienne aux deux visages, l’AS Monaco s’est imposée en fin de match grâce à un but d’Ocampos. James Rodríguez a justifié ses 40 millions, tandis que les Verts peuvent regretter leur entame insipide.
Après deux saisons entre adaptation et déception, Alexis Sánchez est enfin décisif. De par ses statistiques et son apport sur le terrain, le Chilien semble épanoui. La confiance de Tata Martino, l’arrivée de Neymar et son caractère y sont pour beaucoup.
Accroché à Reims, Monaco reçoit des Stéphanois à l’arrêt depuis quelques semaines. À part un nul concédé face à Toulouse, les Monégasques ont fait le plein de points à Louis-II. Les Verts sont prévenus.
Tandis que Valenciennes entre aujourd’hui en piste pour une possible huitième défaite consécutive, tour d’horizon navrant des plus grandes séries de défaites de l’histoire du ballon rond. De quoi constater que nos amis nordistes peuvent encore mettre les bouchées doubles avant d’espérer entrer dans l’histoire. Par la petite porte, certes, mais dans l’histoire quand même.
Cette semaine, Manchester City a pris une gifle, une grosse gifle face au Bayern en Ligue des champions. Les Citizens ont bien l’intention de faire oublier cette lourde défaite. Mais attention à Everton, l’éternel empêcheur de tourner en rond de la Premier League.
1m70 au garrot, une tête à vendre des écrans plats chez Ubaldi, mais de l’or dans les pieds, João Moutinho est la star de l’AS Monaco. On a beaucoup parlé de Falcao ou de James, mais le dépositaire du jeu monégasque, c’est son maestro du milieu.
Sept défaites d’affilée et une étrange impression d’apathie. Confrontés au plus mauvais début de saison de leur histoire, les Valenciennois seraient-ils résignés ? Pas vraiment, même si le chemin est long vers la rédemption.
Ce soir, Walter Mazzarri, sur le banc de l’Inter, va défier l’invincible Roma de Rudi Garcia. Un match au sommet, entre deux formations qui n’ont jamais perdu. Or, il y a tout juste sept ans, Mazzarri avait déjà affronté et battu une Roma qui semblait invulnérable. Il était alors sur le banc de la Reggina.
La Ligue 2 est un beau bordel, quelque chose comme l’enfer des pronostiqueurs. Huit rencontres ont débuté, et sept seulement se sont achevées ; 18 buts marqués, dont 11 sur les seules pelouses troyenne et niortaise. En fin de soirée, huit équipes se pressent aux premières places, avec deux petits points d’écart. La Ligue 2 est un immense bordel.
Bastia a fait le spectacle ce soir à Furiani. Grâce à leurs recrues vedettes Boudebouz, Krasić et Romaric, mais surtout à un Khazri des grands soirs, les Corses se sont baladés face à des Lorientais décidément très médiocres à l’extérieur (4-1).
Valence a décidé d’infliger une suspension d’une semaine à son défenseur français. Une façon pour le club de répondre au communiqué (à la 3e personne) d’un Rami qui s’insurge du sort qui est le sien. Oh que le Brésil est loin…
Six victoires, six matchs, beaucoup de buts marqués, un seul encaissé : la Roma de Rudi Gracia impressionne et est en train de frapper un grand coup sur la Serie A. Alors, vrai candidat au Scudetto ou simple feu de paille de fin d’été ?
Depuis qu’il a rangé ses crampons la saison dernière, Michaël Isabey ne chôme pas. Entre la validation de son diplôme d’entraîneur et sa formation en gestion des organisations sportives, l’ancien Sochalien n’a pas eu le temps de se retourner sur ses 400 matchs de Ligue 1. Actuellement au chevet de son club formateur de Besançon, il livre ses pronos pour la 9e journée.
Sébastien Ogier champion du monde de rallye, ça fera oublier un peu la médiocrité des clubs français en Coupes d’Europe cette semaine. Sauf Paris, l’OM, l’OL et Bordeaux ont encore été décevants, au point que l’indice UEFA du foot français est sacrément menacé à l’horizon 2016.
Si le FC Metz (5e) est l’équipe surprise de ce début de saison en Ligue 2, il le doit à ses jeunes pousses, mais aussi à ses recrues d’expérience. Parmi elles, Romain Rocchi, revenu au bercail après des expériences à Tel Aviv et Arles-Avignon.
Qui n’a jamais rêvé de créer le joueur idéal, bon des deux pieds, de la tête, rapide, technique et puissant ? Ce joueur n’existe pas encore dans la réalité, mais il est autorisé de l’imaginer. Avec des critères bien précis.
Deuxième journée un peu partout en Europe (si, Rubin Kazan est en Europe) et déjà des vainqueurs, des buts, des cagades, des gueules, des gestes fous et surtout du n’importe quoi. La Coupe d’Europe, c’est au-dessus du soleil.
Avec sa gueule de taulard et son mental de vicelard, Diego Costa est la nouvelle hype du championnat espagnol. Boudé par la Seleção, le co-meilleur buteur de Liga a déclaré vouloir jouer pour la Roja. Alors que Del Bosque va annoncer sa nouvelle liste, le sujet fait débat…
Supporters arrêtés, matraquage médiatique, menace de banqueroute, quartier quadrillé : quatre mois après les événements du parc Gezi, juste au-dessus du quartier de Beşiktaş, le club stambouliote est soumis à de multiples pressions.
À l’image de son début de saison, Bordeaux a sombré ce soir face aux Israéliens du Maccabi Tel Aviv (1-2). Déjà battus lors de leur premier match face à Francfort (3-0), les Girondins ont hypothéqué leur futur dans la compétition.
À l’image de son début de saison, Bordeaux a sombré ce soir face aux Israéliens du Maccabi Tel Aviv (1-2). Déjà battus lors de leur premier match face à Francfort (3-0), les Girondins ont hypothéqué leur futur dans la compétition.
La Lazio revient de loin, Valence se refait une santé
La Lazio revient de loin, Valence se refait une santé
Le résumé de la soirée de Ligue Europa, c’est ici : avec un scénario de dingue pour la Lazio en Turquie, un Rubin Kazan explosif, une équipe de Valence renaissante et finalement assez peu de surprises…
Tenu en échec à Gerland par le Vitória Guimarães (1-1), l’OL confirme ses difficultés actuelles. Déjà en grosse difficulté derrière, les Lyonnais ont en plus perdu Umtiti ce soir.