Monaco devrait terminer la saison avec une nouvelle victoire – la sixième de suite – contre Valenciennes et ainsi valider la politique des gros transferts, puisque le club de la Principauté afficherait alors un record de points (44) à ce stade de la compétition. De quoi attendre le mercato avec le sourire. Et des dollars plein les yeux.
Le Marseillais de naissance Benjamin Gavanon a beau avoir passé les deux dernières années en Chine, il n’en a pas pour autant perdu son accent provençal. Actuellement de retour en France, il raconte son périple dans la D2 locale, où il est question de Philippe Troussier et de claquettes toute l’année.
Mercredi, de nouveaux éléments sont sortis dans l’affaire du Calcioscommesse. D’autres matchs auraient connu des tentatives de trucage. Problème : voilà bientôt trois ans que ce scandale a éclaté, et que l’on y comprend toujours rien.
On dit de certains joueurs qu’ils sont des peintres. D’autres des artistes. Parfois les deux, en fonction de leur forme. Techniquement, ils sont pourtant peu à avoir squatté les stades autant que les rayons de la FNAC ou les galeries. En voici dix.
Après Lille, Lyon et Barcelone, avec qui il remporte notamment deux Ligues des champions, Éric Abidal est revenu prêter main forte à la défense de l’AS Monaco. Sans oublier son autre passion : la musique.
Comme nombre de joueurs de foot, Michaël Ciani s’intéresse à la musique. Mieux, l’ancien défenseur de Lorient et de Bordeaux, qui évolue désormais sous le maillot de la Lazio Rome, avec qui il a remporté la Coupe d’Italie la saison dernière, se mue en producteur quand il sort des terrains…
Ils entraînent ou ont entraîné les plus grands clubs. Pourtant, ces techniciens n’ont jamais touché un ballon au niveau professionnel. Une hérésie pourtant parfois synonyme de réussite. Ou comme l’a récemment montré André Villas-Boas avec Tottenham, de retentissant échec.
Au sommaire du petit tour mensuel de la planète foot : les sacres à gros suspense de Sanfrecce Hiroshima au Japon et de Pohang Steelers en Corée du Sud, le but de Del Piero et les ennuis de Gallas en Australie, l’USM Alger en pleine bourre en Algérie, la belle bagarre en tête du championnat tunisien…
Auteur d’un bon début de saison, puis discuté car moins décisif, Neymar a mis le turbo en décembre. Avec six buts en une semaine, le Brésilien fait mieux que remplacer la machine Messi. Réunis, et à 100 %, ces deux-là peuvent faire mal, très mal.
En ce moment, Luis Suárez plante comme jamais et affole les compteurs. Mais il continue tout autant de faire ce qu’il a toujours fait à côté : provoquer, sourire, courir, insulter, mordre, frapper jusqu’à épuisement. Pour un football qui lui ressemble : sincère, brutal. Et donc clivant.
Tout peut arriver sur un malentendu. Le meilleur comme le pire. Pour les supporters toulousains en déplacement à Nantes, ça a été une grosse bagarre entre deux groupes de supporters, les ultras des Indians et une bande d’indépendants. Qui se demandent aujourd’hui comment ils ont fait pour en arriver là.
Douze ans. Douze ans sans Coupe du monde ni Euro. Une éternité. Pendant plus d’une décennie, le supporter belge de football n’avait rien d’autre à se mettre sous la dent que les maigres performances de son club de cœur. Entre play-offs (1, 2 et 3) et Europa League, la vie du supporter belge n’est définitivement pas un long fleuve tranquille. Ça valait bien une plongée dans l’intimité de la Jupiler Pro League.
Aujourd’hui débute à Nantes la Coupe du monde de baby-foot et, cocorico, la France est tenante du titre. Maxime Blin, informaticien toulousain, faisait partie de l’épopée magique et espère rééditer l’exploit ce week-end. Interview pissettes, gamelles et autres repêches.
Si Helmut Tellier, chanteur du groupe La Maison Tellier, porte un nom à consonance germanique, c’est en revanche loin du cœur qu’il porte les Teutons. La faute à un funeste soir de juillet 1982. Car oui, Helmut est avant tout fan de l’équipe de France.
Au terme d’un match plaisant et enlevé, le PSG a enfin vaincu Saint-Étienne et s’est qualifié pour les quarts au bout du suspense (2-1). Auteur d’un doublé, Edinson Cavani a parfaitement pallié l’absence d’Ibrahimović, tandis que Lucas et Verratti ont brillé. Les Stéphanois n’ont pas démérité, mais sont tombés sur plus forts qu’eux, même si Ruffier et Erding leur ont longtemps permis d’espérer.
Grâce à un pénalty à la dernière minute signé Jussiê, les Girondins se qualifient en terre bretonne face au Stade rennais (1-2). Pour Évian Thonon Gaillard, le héros de la soirée se nomme Daniel Wass, auteur du doublé de la qualification face à Bastia (2-1). Enfin, l’OM a disposé de Toulouse 2-1.
120′ : C’est fini ! Victoire du PSG grâce à un doublé d’El Matador Edinson Cavani (2-1).
93′ : Et c’est fini ! L’OM est qualifié pour les quarts, le TFC est éliminé. C’est à peu près …
À 26 ans et plus que six mois de contrat sur la table, l’histoire d’amour entre Jérémy Ménez et le PSG, son club de cœur, semble tranquillement se terminer. En dépit d’un talent monstre, le Français n’a jamais réussi à saisir sa chance. Entre nonchalance, petites crises passagères et insultes, le numéro 7 semble condamné à partir.
Débarqué le 7 décembre dernier, Élie Baup n’aura tenu qu’une saison et demie, sur le banc phocéen. Le désormais ancien coach de l’OM semble avoir fini par payer son manque d’autorité au sein de son propre vestiaire. Un vestiaire loin d’être évident à gérer, et par lequel – Anigo le sait mieux que quiconque – passera – ou non – le salut de l’OM cette saison.
Ce soir, la Juventus reçoit Avellino en huitièmes de finale de Coupe d’Italie. Aujourd’hui en Serie B, le club de Campanie n’a pas toujours eu la vie facile. Retour plus de trente ans en arrière, lorsqu’un terrible tremblement de terre est venu chambouler le quotidien de ce club.
Dimanche dernier, le León FC a été sacré champion du Mexique. Un club où évolue le vétéran Rafa Márquez, managé par l’Uruguayen Gustavo Matosas – coach au futur européen – et détenu en partie par Carlos Slim, l’homme le plus riche du monde. Un club qui contrarie les vieux patrons du football mexicain.
Remis d’une vilaine blessure à point nommé pour le Mondial des clubs, Ronnie joue sans doute au Maroc sa dernière carte à six mois de la vraie Coupe du monde.
Considéré, à juste titre, comme le meilleur central du monde depuis deux ans, Sergio Ramos connaît une passe délicate. Suffisant depuis début 2013, l’Andalou du Real a encore vu rouge le week-end dernier contre l’Osasuna. Le carton de trop ?
Se considérant comme « une des rares personnes au monde à avoir supporté Paris et Marseille », autant dire que Bastien Vivès aime les contrastes. Plus seul contre tous dans un milieu BD footophobe que Fabrice Fiorèse dans l’âme, l’auteur de Polina et de Lastman évoque sa fascination pour Steven Gerrard, les victoires inattendues à l’Euro et le peu de crédit qu’il porte au Barça. Entre autres.
Limogé de Tottenham, un an et demi après avoir été dégagé de Chelsea, l’entraîneur portugais peine à marcher sur les traces de son glorieux aîné. Et si cette comparaison incessante avait creusé sa tombe ?
1986. L’année où Maradona le Xeneize devint demi-dieu fut aussi celle de River Plate, vainqueur de la Libertadores, puis de la Coupe intercontinentale. Le 14 décembre, à Tokyo, les Millonarios dominent le mystérieux Steaua Bucarest (1-0), l’équipe qui venait de l’Est.
En ce moment se dispute le Mondial des clubs au Maroc avec, aujourd’hui, la demi-finale entre le Guangzhou Evergrande et le Bayern Munich. Mais en vrai, le seul match vraiment intéressant, c’est la finale entre le club européen et le club sud-américain. Alors, pourquoi se faire chier avec des tours précédents ?
Les tirages au sort des huitièmes de finale de la Ligue des champions et des seizièmes de la Ligue Europa ont donné le coup d’envoi des vraies Coupes d’Europe, celles à élimination directe. Mais pour en arriver là, il a fallu passer par la fastidieuse phase de poules. Retour en gifs sur ces mini-championnats.
Ce week-end se déroulait à Clairefontaine la première édition du Women Paris Soccer Show. Venues de tout le pays, 50 joueuses de niveau national ont tenté de séduire les coachs américains, dans le but d’obtenir un précieux sésame universitaire. L’occasion de s’intéresser un peu plus à la réalité du football féminin en France.
Souvent décriée parce ce que soi-disant superflue, parfois snobée par des clubs qui ne la prennent pas au sérieux, la Coupe de la Ligue est bien installée dans le paysage du football français. Et n’en déplaise à ses détracteurs, en dix-neuf ans, elle a su se bâtir une histoire qui est loin d’être terminée.