Ligue des champions – 8e de finale aller – Arsenal/Bayern Munich
Comment Arsenal peut éviter la raclée ?
Comment Arsenal peut éviter la raclée ?
Arsenal, c’est assez costaud. Le Bayern Munich ? C’est beaucoup trop fort. Tout sauf favoris au moment de recevoir le big boss de la compétition à l’Emirates, les Gunners ont bien besoin de quelques solutions pour sortir vainqueurs de cette rencontre. En voici quelques-unes.
Il n’est ni grand ni rapide. Il marque peu et n’affole pas les statistiques. Il n’ira pas au Mondial et ne sera jamais mis en avant. Lui, c’est Arda Turan, Turc de naissance et meneur de jeu de génie. Sans leur caution technique, les Colchoneros redeviendraient une équipe lambda, ou presque.
Le petit hibou a été énorme face au Bayer Leverkusen. Facile, impressionnant, éloquent, utile, bref, Marco Verratti a calmé tout le monde. Y compris Frédéric de Saint-Sernin.
Surpuissant, le PSG n’a pas manqué son entrée dans la 2e phase de la Ligue des champions. 4 buts, une démo et la qualif’ déjà acquise à l’extérieur : Leverkusen en tremble encore.
Vainqueurs 2 à 0 au terme d’une rencontre étrange, les Barcelonais quittent Manchester avec un bon avantage. Réduits à dix suite à un tacle demichelesque de Martin, les joueurs de City, d’abord trop passifs, ont relevé la tête en fin de partie. Le moment choisi par Dani Alves pour doucher tous leurs espoirs.
Les Qataris ne le cachent pas : ils sont à Paris pour gagner un jour (et pourquoi pas dès cette saison ?) la Ligue des champions. Une ambition et des moyens qui peuvent faire peur. Petit tour d’Europe pour savoir si ce PSG est déjà considéré comme l’égal des ténors continentaux.
Ligue des Champions – 8e de finale – Manchester/Barcelone
Billet
Nasri, qui rira le dernier ?
Nasri, qui rira le dernier ?
Un sale gosse surcoté qui n’a rien à faire en Bleu. Un milieu de terrain important dont on est heureux qu’il puisse revenir seulement un mois après s’être fait sécher par Yanga-Mbiwa. Il y a deux Nasri, le Français et l’Anglais. Pas toujours au top outre-Manche, le Marseillais réalise une bonne saison avec Manchester City. L’occasion de fermer quelques bouches. Poliment, cette fois.
Ce soir, le PSG retrouvera une vieille connaissance. Emir Spahić, ancien distributeur automatique de baffes et de coups de latte sous les couleurs montpelliéraines, s’avance avec Leverkusen pour tenter de contrecarrer les ambitions de Zlatan and co. Sans finesse ni état d’âme.
L’histoire avait tout pour être belle. Jean-Louis Garcia est laissé au chômage après la saison 93-94. Mais huit mois après, il est de retour, titulaire pour son premier match européen, en quart de finale de C3 à Leverkusen. À la fin du match, c’est une rouste : 5-1.
Avec un jeu de nouveau en conformité avec ses prétentions, le Barça se redécouvre des problèmes. De riches, cette fois. Messi, intouchable et de retour en forme, est le seul joueur offensif dont la titularisation est garantie. Reste à savoir qui de Pedro, Alexis, Neymar ou Iniesta l’accompagnera.
« Je ne savais pas qu’en France, j’étais l’emblématique Carsten Ramelow »
« Je ne savais pas qu’en France, j’étais l’emblématique Carsten Ramelow »
Comment parler du Bayer Leverkusen sans évoquer Carsten Ramelow ? « L’emblématique », comme l’appelait Jean-Charles Sabattier, est toujours aussi prolixe quand il s’agit de son club de cœur. Surtout concernant cette folle année 2002, où il a fini 2e de tout. Entretien avec un homme qui n’a pas tant de regrets que cela au final.
Julien Sablé : «Qu’on puisse aller leur mettre sur la gueule»
Bien installé en Corse depuis 2012, l’ancien Stéphanois termine paisiblement sa carrière au milieu de la formation bastiaise. Il se tient au courant de l’actualité. Entre les Russes et les Nord-Coréens qui le dégoûtent, Julien Sablé nous donne son avis sur les nouvelles fraîches du week-end.
Lyon pensait manger des pâtes au ketchup toute la saison, puis est venue l’heure de la gauche caviar. Étincelant sur son couloir, le Lion Henri Bedimo est indomptable. Homme de base de Girard lors du titre de Montpellier, il est la grande satisfaction de Rémi Garde depuis le début de la saison. Focus sur une patte folle.
Un ancien de la Ligue 1 qui régale l’Italie, un gardien en détresse, un latéral gauche capable de faire briller Jimmy Briand et un Mario Balotelli qui avait réservé sa place dès vendredi : l’équipe type du dimanche tient une forme olympique.
Hier après-midi, l’Ajax de Frank de Boer a battu le Heerenveen de Van Basten à l’ArenA (3-0). Une bonne occasion de reparler un peu du grand Marco, coach forcément remarqué d’un petit club qu’il a fait grandir… et qui l’a fait grandir ?
Avec huit buts en cinq matchs de Ligue des champions cette saison, le Suédois devrait faire peur à tout le monde. Sauf que le numéro 10 du PSG s’est forgé une sale réputation : quand les matchs comptent, le type ne marque plus. Une sale habitude à laquelle il doit tordre le cou.
France – Ligue 1 – Ce qu’il faut retenir de la 25e journée
La lutte est belle… derrière Paris et Monaco
La lutte est belle… derrière Paris et Monaco
PSG et AS Monaco tranquilles vainqueurs ce week-end, c’est derrière que ça continue de ferrailler sec pour les accessits européens : Lille piétinant toujours, Saint-Étienne et Marseille se neutralisant, la bonne affaire est pour Lyon, avec Reims en invité surprise. En bas de tableau, Guingamp inquiète.
Claude Gnakpa: «Les Irakiens adorent regarder le Clásico»
Claude Gnakpa: «Les Irakiens adorent regarder le Clásico»
À 30 ans, Claude Gnkapa semble bien parti pour parcourir le globe. Pas toujours chanceux au bon moment, le milieu français va là où ses crampons le traînent. Après avoir testé l’Espagne, la Suisse, l’Angleterre, l’Écosse et Israël, Claude revient notamment sur son expérience en Irak…
Claude Gnakpa: «Les Irakiens adorent regarder le Clásico»
Claude Gnakpa: «Les Irakiens adorent regarder le Clásico»
À 30 ans, Claude Gnkapa semble bien parti pour parcourir le globe. Pas toujours chanceux au bon moment, le milieu français va là où ses crampons le traînent. Après avoir testé l’Espagne, la Suisse, l’Angleterre, l’Écosse et Israël, Claude revient notamment sur son expérience en Irak…
Égal a lui-même, Brandão a frôlé le ridicule avant de planter un but décisif. Fidèle à ce qu’il était, Nkoulou a régalé, tout en sérénité et en maîtrise. Souleymane Diawara, lui, a eu du bol de jouer 90 minutes.
Pjanic et Hamsik émerveillent, la Juve gagne à nouveau
Pjanic et Hamsik émerveillent, la Juve gagne à nouveau
En attendant le duel des surprises Hellas Vérone-Torino demain soir, la Roma a mis à terre la Sampdoria (3-0) après que la Juve et le Napoli ont imité les victoires milanaises de vendredi et samedi. Dans le reste du pays, Cassano et Gilardino continuent à rêver de Rio, Livourne et Catane gagnent trois points précieux, tandis que la Lazio de Reja n’est plus invaincue.
Devant jusqu’au temps additionnel, l’OM s’est fait rejoindre de justesse par Saint-Étienne (1-1), sur un coup de caboche de Brandão. Niveau jeu, ce « palmaresico » ne restera pas dans l’histoire.
Deux équipes malades en ce début d’année, et une obligation de prendre des points dans les deux camps. Finalement, on a vu des buts, du suspense, et un scénario cauchemardesque pour Évian avec une égalisation lilloise improbable.
Deux équipes malades en ce début d’année, et une obligation de prendre des points dans les deux camps. Finalement, on a vu des buts, du suspense, et un scénario cauchemardesque pour Évian avec une égalisation lilloise improbable.
Balayés par les Reds en championnat, Arsenal a cette fois réussi à prendre sa revanche devant son public (2-1). Les Gunners se sont qualifiés pour les quarts de finale de la FA Cup au terme d’une rencontre de très haut niveau.
Qu’on se le dise, le stade de Gerland n’a pas vu son équipe franchement galérer pour venir à bout du dernier de Ligue 1. Vainqueur d’un Ajaccio trop faible pour rivaliser (3-1), l’Olympique lyonnais fait le boulot et enchaîne un douzième succès en seize rencontres toutes compétitions confondues. Costaud.
Qu’on se le dise, le stade de Gerland n’a pas vu son équipe franchement galérer pour venir à bout du dernier de Ligue 1. Vainqueur d’un Ajaccio trop faible pour rivaliser (3-1), l’Olympique lyonnais fait le boulot et enchaîne un douzième succès en seize rencontres toutes compétitions confondues. Costaud.