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- 31 janvier 1945
Tout beau Tucho
Question culture foot : comment se nomme le meilleur buteur de l’histoire de la Copa América ? Réponse : l’Argentin Tucho Mendez. Un génie qui régna sur l’Amérique du Sud des années 40.
Question culture foot : comment se nomme le meilleur buteur de l’histoire de la Copa América ? Réponse : l’Argentin Tucho Mendez. Un génie qui régna sur l’Amérique du Sud des années 40.
Créé en 2009, le collectif Humour de droite s’est fait connaître sur Twitter pour tirer assez justement et avec humour sur tout ce qui bouge. Si ses tweets bien sentis concernent le plus souvent des sujets politiques, quelques-unes des signatures sévissant anonymement prennent parfois le temps de mettre quelques taquets à nos amis footballeurs. On a donc voulu les tester sur l’exercice des pronos.
Le 21 mai 1994, le Parc des Princes accueillait la kermesse des champions. Déjà titré, le PSG recevait alors Bordeaux en clôture du championnat. L’occasion d’une dernière pilule, 4 buts à 1, dans une saison à sens unique, et pour Bernard Lama de s’essayer à l’exercice du tir au but.
Ce samedi après-midi aura lieu un choc du championnat nord-irlandais, le leader Linfield se déplaçant sur la pelouse de son dauphin Cliftonville. Ces deux équipes sont de Belfast, tout comme deux autres grosses écuries du championnat, Glentoran et Crusaders. Quatre clubs rivaux dans une ville à l’histoire complexe.
Cabaye au PSG, ce n’est pas seulement la première véritable recrue depuis le départ de Leonardo, c’est aussi la matérialisation d’une nouvelle politique de recrutement. Une ligne directrice éditée par Nasser Al-Khelaïfi en personne et qui permet, déjà, de dessiner la dégaine des futures recrues franciliennes.
Nommé aux Victoires de la musique avec le groupe 1995, dans les catégories révélation scène et album de musiques urbaines, Sneazzy West, fan inconditionnel du PSG, nous livre son carré magique, entre un clin d’œil à Rafael van der Vaart, un message à Arsène Wenger, et un hommage au prochain entraîneur du Real Madrid.
Blessé en novembre dernier, Juninho avait alors envisagé la possibilité de mettre fin à sa carrière. L’occasion de préparer son monde à la suite, avec le même soin pris à chaque fois qu’il fallait poser le ballon au sol pour tirer un coup franc. La suite avait beau être connue d’avance, elle n’en fait pas moins monter d’un cran la nostalgie qui s’est emparée de Lyon à mesure que son passage entre Saône et Rhône a fini par se confondre avec les années de domination.
La République aime le papier ! Surtout celui relié, ou désormais numérique en PDF, des beaux rapports commandés par le parlement ou les ministres. Dernière production en date, le groupe de travail sur le « foot durable » lancé par Valérie Fourneyron et dirigé par Jean Glavany, vient de remettre le résultat de son « cogitage collectif »… Et pour une fois, à défaut de révolution, un petit vent de réforme y souffle.
Ça y est, c’est fait : sur RMC, Juninho vient d’annoncer officiellement qu’il mettait un terme à sa carrière. À 38 ans, le Brésilien range donc définitivement ses crampons, ceux-là même qui lui ont permis de claquer une ribambelle de coups francs sous le maillot des Gones. Voici donc l’occasion de revoir dix de ses plus beaux coups de génie. Chapeau, l’artiste.
Alors qu’Anthony Martial est depuis ce lundi lié à l’AS Monaco jusqu’en 2018, que Valère Germain n’a eu besoin que de 90 minutes pour convaincre les sceptiques dimanche dernier contre Marseille et qu’Emmanuel Rivière fait l’unanimité sur le Rocher, et alors que les rumeurs les plus folles circulent depuis plusieurs jours sur l’arrivée d’un nouvel attaquant, la question méritait d’être posée.
La saison 2014 ne débute qu’en mars, mais ça bouillonne déjà d’actu du côté du soccer nord-américain, avec un David Beckham sur le point de revenir dans le game, un Thierry Henry qui a un dernier défi en pro à accomplir avant de tirer sa révérence, un Jermain Defoe en recrue star de l’intersaison et toujours pas mal de Français qui s’incrustent.
Nasser Al-Khelaïfi a fait tomber l’information comme un coup de massue : non, les possibilités financières du Paris Saint-Germain version qatarie ne sont pas illimitées. Mais hormis Lionel Messi, quelles sont les folies que les Parisiens ne pourront jamais s’offrir ?
Dans la vie, il faut avoir une bande et Luis Suárez en avait une. Récemment débarqué de Salto, une ville portuaire de l’intérieur du pays, celui qu’on appelle le petit Luis fait alors face à la séparation de ses parents, mange peu et traîne dans la rue avec ses potes : Victor, Léo, Martin. Vingt ans plus tard, Victor n’a pas beaucoup changé. Il porte les cheveux longs, vit en short et torse-nu, tient le pavé. Souvenirs.
Des clips dégueulasses, un son crade et peu de considération pour l’esthétisme. Cheveu, l’un des meilleurs groupes de rock français du moment, pourrait ressembler aux Girondins de Francis Gillot.
Arsenal tenu en échec hier, les Citizens n’ont pas manqué l’opportunité de prendre la tête de la Premier League en écrasant de bien pauvres Spurs (1-5). Une démonstration de force qui laisse une nouvelle fois pantois un adversaire londonien heureux d’en avoir terminé pour cette saison avec City.
Plus impliqués sans être convaincants, les Marseillais se sont imposés face à Valenciennes (2-1) dans un match décisif au classement. Car si l’OM remonte à la 5e place, VA se morfond encore dans la zone de relégation.
93′ : C’est terminé! Nouvelle branlée pour Tottenham, qui sur l’aller-retour se mange un 11-1 dans la face. Largement au-dessus, Manchester City prend la tête de cette Premier League. Et rappelle à Arsenal que ça risque d’être compliqué cette année.
On le sait officiellement depuis lundi soir, Albert Emon est arrivé à Marseille pour étoffer le staff de José Anigo. Alors que l’actuel coach de l’OM dispose déjà d’un entraîneur adjoint, en la personne de Franck Passi, on s’est posé la question de savoir, comme un marié avec ses témoins, quel était le nombre idéal d’adjoints.
Il faut avoir les épaules solides pour évoluer à l’OM. Le récent communiqué des South Winners (retiré depuis) est venu rappeler que les ultras marseillais savaient mettre la pression sur leur équipe à leur façon. Une tradition locale ou presque dans une ville qui exige beaucoup de son équipe.
Sans en avoir l’air, Tata Martino impose son empreinte sur ce Barça. Et son plus gros chantier ne fait que commencer : repositionner Lionel Messi en numéro dix ? Les essais n’en sont qu’à leurs balbutiements, mais s’avèrent déjà une réussite.
Solides 10e la saison dernière pour leur retour en Premier League, les Hammers disputent l’actuel exercice en mode pénible. Naviguant dans la mélasse du bas de classement, sans fonds de jeu ni grands talents, ils sont sous la menace prégnante de redescendre à l’étage du dessous. Ce serait ballot pour ce club populaire et attachant, dirigé par les rois du porno outre-Manche, et qui évoluera dans le stade olympique à compter de la saison 2016-2017.
Bernard Lions, journaliste à L’Équipe, publie 1000 maillots de foot. Ou l’occasion de rappeler que l’histoire du foot se raconte aussi à travers celle des maillots…
Nice, Lens… Le « clapping » commence désormais à prendre une sacré ampleur dans les stades de Ligue 1 et de Ligue 2. L’occasion de revenir sur les origines de ce phénomène en France et les raisons de son succès.
En Angleterre, l’hiver et la pluie ne favorisent pas le beau jeu. En revanche, les conditions météo valorisent le concept du fighting spirit. Et ça s’est vu ce mardi, pour le lancement de la 23e journée de Premier League. Arsenal n’est plus assuré de squatter le toit du championnat, quand Manchester reprend du poil de la bête. Et Newcastle pleure déjà Yohan Cabaye.
Si Everton courait après une première victoire à Anfield depuis 1999, les Toffees n’ont jamais existé sur la pelouse de Liverpool (4-0). Après l’ouverture du score de Gerrard sur corner, Sturridge y est allé de son doublé pour plier ce derby de la Mersey avant même le retour aux vestiaires. Luis Suárez a, lui, inscrit son 23e but de la saison pour conforter la 4e place au classement des Reds.
93′ : C’est fini! Liverpool se fait plaisir avec un sec 4 à 0 face à l’ennemi local. Everton n’a malheureusement jamais existé dans cette partie. Mi-génial mi-catastrophique, Sturridge est le bonhomme de la soirée.
Il y a plusieurs Olivier Rouyer : le joueur fidèle de Nancy, l’ami de Michel Platini, l’entraîneur de Strasbourg, le patron de restaurant, le chroniqueur télé, et enfin le premier (et toujours unique) footballeur qui a osé son coming-out en France. Maintenant, il y a le candidat sur la liste UMP-UDI pour les prochaines élections municipales. Interview politique.
Laurent Blanc l’a fait. Il a fait venir ou plutôt fait acheter Yohan Cabaye. « Son » Cabaye. Celui qu’il a fait débuter en équipe de France. Celui que Del Bosque avait appelé « le Xavi français ». Ainsi, non seulement le coach impose son autorité au sein d’un club qui l’avait choisi par défaut l’été dernier, mais il déniche surtout un profil tactique différent qui s’insère naturellement dans l’incontournable milieu à trois parisien. Au point de le faire évoluer ?
Il est l’une des plus grandes légendes de Manchester United. Ole Gunnar Solskjær retrouve ce soir avec Cardiff un banc qu’il a souvent quitté avec succès. Même s’il a aussi beaucoup marqué en débutant les matchs, le Norvégien reste à tout jamais le « Super Sub ». Retour sur ses entrées qui ont changé le destin d’un club.
Le réalisateur anglais Paul Greengrass, supporter émérite de Crystal Palace, a certes donné dans le documentaire spectacle pendant près d’une décennie, mais a surtout failli offrir le plus incroyable documentaire sur le Real Madrid. Si seulement José Mourinho avait été à l’heure…
Des records et des minutes : voilà à quoi sert la Copa del Rey pour Iker Casillas. Abonné au banc en championnat, le gardien du Real Madrid profite des coupes pour jouer. Suffisant pour garder son niveau d’antan et jouer le prochain Mondial ? À voir.