Pourquoi le football est-il meilleur que la beuh ?
Pourquoi le football est-il meilleur que la beuh ?
Les paradis artificiels, très peu pour vous. De toute façon, aucune drogue ne vous fera jamais autant de bien que lorsque vous plantez un pion avec votre équipe de district. Votre came à vous, c’est le foot, et elle est tout sauf douce. La preuve.
Alors, ils vont comment les adversaires des Bleus ?
Alors, ils vont comment les adversaires des Bleus ?
Avant que la France ne termine sa préparation avec un dernier test face à la Jamaïque, ses adversaires du groupe E ont quant à eux déjà tourné la page des expérimentations. Avec quel bilan ? D’un point de vue global, ça s’annonce jouable, mais assez pénible pour les Bleus, qui vont trouver des adversaires méchamment accrocheurs. On vous explique pourquoi.
Kévin Diaz : «Louis van Gaal est contraint d’improviser»
Kévin Diaz : «Louis van Gaal est contraint d’improviser»
Il a passé quasi toute sa carrière aux Pays-Bas. Aujourd’hui rentré en France, il a néanmoins gardé de fortes attaches avec son pays d’adoption et suit avec attention la sélection Oranje. Après les trois matchs de préparation qu’il a observés (nul 1-1 contre l’Équateur, victoire 1-0 contre le Ghana, victoire 2-0 contre le pays de Galles), voici son verdict.
Les Super Eagles déboulent au Mondial flanqués d’un titre de champions d’Afrique. Pas suffisant pour rêver d’une Coupe du monde héroïque, mais le tirage au sort permet au Nigeria d’espérer un huitième de finale, comme les grands frères de 1994 et 1998.
Depuis juin 2012 au Brésil, un nouveau texte législatif, imposé par la FIFA aux pays hêtes, fait force de loi dans les 12 villes-sièges. La Lei Geral da Copa modifie à la marge le cadre législatif commun à titre temporaire et à la limite de la constitutionnalité. Entre autres petites perles, « les personnes habitant aux alentours des stades recevront une accréditation pour pouvoir rentrer chez eux ».
Comme avant l’Euro 1996 en Angleterre avec le Mondial 1998 à la maison en ligne de mire, les Bleus entament une compétition internationale en pensant déjà à l’après. L’après, c’est l’Euro 2016 organisé en France. Une compétition que les Bleus rêvent secrètement de gagner. Pour ce faire, il faut se préparer dès maintenant. Comme en 1996. Et avec les mêmes recettes.
Stéphane Chapuisat : «Aux États-Unis, tous les matchs du Mondial n’étaient même pas diffusés à la télévision»
Stéphane Chapuisat : «Aux États-Unis, tous les matchs du Mondial n’étaient même pas diffusés à la télévision»
Stéphane Chapuisat, c’est 103 sélections avec la Nati, deux Euros, mais une seule Coupe du monde. C’était en 1994, aux États-Unis. Un Mondial américain en plein été, ça sentait forcément un peu le traquenard. Entre deux souvenirs d’insolations, « Chappi » nous raconte son épopée au pays de l’Oncle Sam.
Coupe du monde : la fiche de la Bosnie-Herzégovine
Coupe du monde : la fiche de la Bosnie-Herzégovine
Avant que la fête ne débute le 12 juin, on fait connaissance avec les 32 invités. Focus aujourd’hui sur les Zmajevi (Dragons, en vf) de Bosnie-Herzégovine, qui déboulent au Brésil pour un dépucelage de Coupe du monde. Les coéquipiers de Pjanić auront à cœur, pour une première, de faire durer le plaisir. Objectif huitièmes de finale pour eux, donc.
Pas besoin de revenir sur la passion légendaire de Bob pour le football. Mais on peut quand même revenir sur deux moments foot du Natty Dread qui se sont déroulés en France. Deux moments forts, l’un assez ludique à Nantes en 1980 et l’autre beaucoup plus dramatique à Paris en 1977. Magnéto, Serge !
Dans l’histoire du Botafogo, il y a bien sûr Garrincha, mais ce n’est pas la seule personnalité marquante du club carioca. Avant lui, la star c’était la mascotte, un chien appelé « Biriba ». À la fin des années 40, la bête a été la source du genre d’histoires qu’on adore : attentat, garde du corps et goûteur officiel, entres autres.
Le technicien argentin va revenir à Marseille le 16 juin pour la reprise de l’entraînement. D’ici là, c’est silence radio, ce qui arrange bien ceux qui veulent parler à sa place. Et ils sont nombreux.
Agüero, Di María, Messi. Voilà le trio qui devrait animer l’attaque de l’Argentine au Brésil pendant la Coupe du monde. Pas dégueulasse, hein. Au vrai, c’est plutôt la défense qui inquiète l’Albiceleste à l’heure d’aller chercher une troisième Coupe du monde…
À 20 ans, le gaucher du PSG pourrait – devrait – être titulaire en équipe de France à la place d’un Patrice Évra sur le déclin et dont les bonnes performances sportives en équipe de France se comptent sur les doigts d’une seule main. Alors, c’est pour quand ?
Vice-président et membre historique au club, Henri Lacaze a vu avec beaucoup de fierté la saison passionnante de Luzenac, un village de 640 habitants qui a fini par marcher sur le National. Mais depuis jeudi soir, les Haut-Ariégois ont vu leur accession en Ligue 2 refusée par la DNCG. De quoi rendre perplexe son représentant le plus fidèle.
Après avoir battu la Corée du Sud lors d’un match couperet, la Team Melli est de retour en coupe du monde. Avec Carlos Queiroz aux commandes, l’Iran espère faire mieux que lors des éditions 1998 et 2006. Mais ce sera bien compliqué, du terrain jusqu’à la buanderie.
Pour la prochaine Coupe du monde, l’Angleterre (qui affronte le Honduras en match de préparation) peut compter sur un petit nouveau en milieu de terrain. Un homme habitué à l’ombre, mais qui s’est révélé aux yeux de tous, au point de devenir un titulaire indiscutable en sélection. Son nom : Jordan Henderson.
C’est officiel, Leonardo Jardim remplace Claudio Ranieri sur le banc de l’AS Monaco. Inconnu en France, l’entraîneur portugais fait beaucoup de sceptiques sur le Rocher. Il faut dire que malgré une ascension fulgurante couronnée par une excellente saison avec le Sporting, le natif de Madère n’a toujours rien gagné au plus haut niveau…
Le Bavarois out, c’est le meilleur joueur offensif des Bleus qui s’en va. Avec Benzema, le numéro 7 du Bayern Munich était le seul joueur de classe mondiale du groupe de Didier Deschamps. Dès lors, comment jouer sans Francky ? Et surtout, qui sort finalement vainqueur de ce forfait ?
Parce qu’une Coupe du monde, c’est surtout avant le coup d’envoi et après le coup de sifflet final que ça se vit. Parce que les supporters à la Coupe du monde, c’est comme les Pit Girls en F1, dans les teasers de match, ils sont mis en avant une image sur quatre. Et parce qu’un Mondial, c’est surtout une immense soirée déguisée qui dure un mois, on s’est dit qu’à l’instar des équipes, les fans aussi méritaient leur fiche. Après Croatie et Cameroun, place à la Bosnie.
Top 10 : Le malheur des uns fait le bonheur des autres
TOP 10 : Le malheur des uns fait le bonheur des autres
À chaque compétition internationale son lot de profiteurs, le braquage grec à l’Euro 2004 est là pour nous le rappeler. Aujourd’hui, Rémy Cabella et Morgan Schneiderlin, 1 sélection à eux deux, peuvent remercier les dieux du football. De la blessure à la méforme en passant par l’exclusion pure et simple d’un concurrent, ils sont quelques-uns à avoir un jour profité du malheur d’un autre pour faire leur bonheur.
Touché à l’adducteur, Clément Grenier a finalement rendu ses billets d’avion pour le Brésil. Numériquement, le Lyonnais est remplacé par le milieu de Southampton Morgan Schneiderlin. Plus surprenant, Rémy Cabella a été rappelé, lui aussi, car, dans le même temps, Franck Ribéry et son dos cassé ne verront pas le Mondial non plus… Sale journée pour les Bleus.
Principal adversaire de la France (à part elle-même), la Nati s’amène au Brésil avec un général allemand prônant l’asphyxie à la tête d’une bande d’ex-Yougos. Autant dire que la légendaire neutralité helvétique est très loin dans le rétro.
Top 10 : Ces joueurs arrivés blessés à la Coupe du monde
Top 10 : Ces joueurs arrivés blessés à la Coupe du monde
À quelques jours maintenant du début de la Coupe du monde, l’inquiétude grandit autour de l’état physique de plusieurs grands joueurs. Franck Ribéry, Diego Costa, Cristiano Ronaldo… Tous blessés, mais tous présents dans leurs sélections respectives. Pour quel rendement au Brésil ? Tour d’horizon de ces joueurs qui ont vécu un Mondial en arrivant blessés.
Skream : «L’Angleterre, c’est une belle bande de losers»
Skream : «L’Angleterre, c’est une belle bande de losers»
Ancien fan de Crystal Palace, le musicien Skream est désormais devenu un cynique du football. La faute, peut-être, aux médiocres performances des Three Lions. Ou alors à la musique. Ou les deux. Rencontre avec une « pipe en foot » assumée.
Au Brésil, la Tri dispute sa troisième phase finale de Coupe du monde. Et comme en 2006, les partenaires d’Antonio Valencia visent une place en huitièmes de finale dans un groupe avec la France, le Honduras et la Suisse. Reste à savoir s’ils ont digéré la disparition tragique de leur avant-centre, Christian Benítez.
Franky Vercauteren : «On a fait la fête, mais c’est normal quand on bat l’Argentine»
Franky Vercauteren : «On a fait la fête, mais c’est normal quand on bat l’Argentine»
Plus qu’une patte gauche, plus qu’un Petit Prince, Franky Vercauteren, c’est un geste, le centre « banane », et deux Coupes du Monde avec les Diables rouges d’Éric Gerets dans les années 80. À une époque où le meilleur joueur de la sélection belge était arrière droit, où les journalistes squattaient le même hôtel que les joueurs et où un petit verre n’était jamais de trop. Souvenir, souvenir.
Coupe du monde : la fiche du supporter camerounais
Parce qu’une Coupe du monde, c’est surtout avant le coup d’envoi et après le coup de sifflet final que ça se vit. Parce que les supporters à la Coupe du monde, c’est comme les Pit Girls en F1, dans les teasers de match, ils sont mis en avant une image sur quatre. Et parce qu’un Mondial, c’est surtout une immense soirée déguisée qui dure un mois, on s’est dit qu’à l’instar des équipes, les fans aussi méritaient leur fiche. Après la Croatie, on poursuit avec le Cameroun.
Si les franchises NBA étaient des équipes de foot…
Si les franchises NBA étaient des équipes de foot…
Sofoot.com fait le grand saut vers l’Amérique en tentant pour chaque club NBA de lui trouver son équivalent footballistique. Première partie de ce projet malade avec les quinze équipes de la conférence Est. Mais sans Barça qui est, là aussi, més que un franchise.
Bazdarevic : «Je ne pense pas que la Bosnie puisse de nouveau manquer un Ibrahimovic»
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Vieille connaissance du championnat de France et premier capitaine de la Bosnie en match officiel, Mécha Baždarević est à fond derrière sa sélection nationale. Et c’est avec passion qu’il en parle pour So Foot.