Fin de match de folie à Fortaleza. Dans les ultimes secondes du match, et alors que la Côte d’Ivoire tenait son match nul 1-1, Samaras a envoyé la Grèce en huitièmes de finale sur un penalty. La Côte d’Ivoire s’est éliminée toute seule.
Face à une Colombie déjà qualifiée et remaniée pour faire souffler ses cadres, le Japon a cru qu’il pourrait accompagner son adversaire du soir en 8es de finale. Malheureusement pour les Nippons, ils échouent avec les honneurs malgré un score très lourd. La Colombie ira défier l’Uruguay.
Le défenseur central de l’Atlético a crucifié l’équipe d’Italie d’un coup de tête-épaule-dos magistral en fin de match. Il envoie l’Uruguay du cannibale Suárez en huitièmes de finale pendant que Pirlo et Buffon rendent définitivement les armes.
Tenue en échec par le Costa Rica (0-0), l’Angleterre a quitté la compétition sans les honneurs. Trois matchs, un petit point et un triste retour à la maison. Le Costa Rica, lui, s’offre le luxe de terminer à la première place du groupe de la mort.
L’Italie pensait longtemps la faire à l’italienne, parce que quand l’Italie n’a besoin que d’un point pour se qualifier, l’Italie se contente bien souvent d’un nul vierge. Sauf que cette fois, il y a eu un carton rouge pour Marchisio et un coup de tête de Godín (1-0). L’Uruguay est en huitièmes de finale.
93′ : Bah voilà, game over ici entre l’Angleterre et le Costa Rica. Les Ticos terminent 1er de leur poule alors que les Anglais vont rentrer se faire fouetter du côté de la Perfide Albion. Allez vous faire les 2 dernières minutes d’Italie Uruguay bande de filous. Peace, love, unity.
Les 10 coups tordus que Suárez pourrait faire contre l’Italie
Les 10 coups tordus que Suárez pourrait faire contre l’Italie
Luis Suárez est un immense joueur, dont le vice n’est pas la moindre des qualités. Ses buts sont aussi fameux que ses coups tordus. Luis a déjà arrêté un but de la main et mordu son adversaire, mais pourtant, on le sait tous, on n’a encore rien vu. Petit inventaire des saloperies que l’homme qui n’a que mépris pour Pierre de Coubertin ne se refuserait certainement pas si les circonstances l’exigeaient.
Buteur contre l’Angleterre, mais auteur d’un raté qui aurait pu changer le match contre le Costa Rica, Mario Balotelli commence à agacer les Italiens. Il faut dire que ses matchs références avec la Nazionale se comptent sur les doigts d’une main. Et si ce match contre l’Uruguay était l’occasion de prouver, enfin, qu’il est l’homme de la situation ?
Parce qu’une Coupe du monde, c’est surtout avant le coup d’envoi et après le coup de sifflet final que ça se vit. Parce que les supporters à la Coupe du monde, c’est comme les Pit Girls en F1, dans les teasers de match, ils sont mis en avant une image sur quatre. Et parce qu’un Mondial, c’est surtout une immense soirée déguisée qui dure un mois, on s’est dit qu’à l’instar des équipes, les fans aussi méritaient leur fiche. Place à la Grèce.
Gagner ne donne pas raison. Perdre ne donne pas tort. Vicente del Bosque en sait beaucoup trop sur les hommes pour se laisser aller à l’imprudence. L’Espagne s’en va. Et Del Bosque ?
Au fait, ils sont pour qui les Corses, pendant le Mondial ?
Au fait, ils sont pour qui les Corses, pendant le Mondial ?
Mercredi, toutes les villes et villages du territoire français n’auront d’yeux que pour les appels de Benzema, les transversales de Yohan Cabaye et les cheveux d’Olivier Giroud. En cas de victoire, des cris enivrés et des coups de klaxon réveilleront tous les vieux du quartier. Partout, sauf en Corse. Si l’île de Napoléon, française depuis 1769, compte évidemment pas mal de supporters de l’équipe de France, le peuple y est plus partagé.
Parce qu’une Coupe du monde, c’est surtout avant le coup d’envoi et après le coup de sifflet final que ça se vit. Parce que les supporters à la Coupe du monde, c’est comme les Pit Girls en F1, dans les teasers de match, ils sont mis en avant une image sur quatre. Et parce qu’un Mondial, c’est surtout une immense soirée déguisée qui dure un mois, on s’est dit qu’à l’instar des équipes, les fans aussi méritaient leur fiche. Place à la Colombie.
C’est l’une des très belles surprises de ce début de tournoi : le Costa Rica et son effectif de sans grade, avec pour seule tête de gondole le succulent Joel Campbell, transfiguré depuis l’époque où il évoluait timidement sous les couleurs de Lorient. Leur magnifique parcours dans le groupe D – dit « de la mort » – constitue un exploit mais ce n’est pas une première : il y a 24 ans déjà lors du Mondial italien, les Ticos avaient surpris leur monde en se hissant une première fois jusqu’en 8e de finale. Souvenirs.
Une histoire de croissance difficile. Comme Messi. Mais Juan Guillermo Cuadrado n’a, lui, pas pu bénéficier d’un traitement aux hormones. Le Colombien a dû attendre de grandir naturellement. Sur le tard, à 19 ans. Comme Messi, l’agitateur du couloir droit cafetero pourrait toutefois terminer au Barça.
Parce qu’une Coupe du monde, c’est surtout avant le coup d’envoi et après le coup de sifflet final que ça se vit. Parce que les supporters à la Coupe du monde, c’est comme les Pit Girls en F1, dans les teasers de match, ils sont mis en avant une image sur quatre. Et parce qu’un Mondial, c’est surtout une immense soirée déguisée qui dure un mois, on s’est dit qu’à l’instar des équipes, les fans aussi méritaient leur fiche. Place à la Côte d’Ivoire.
Sans toujours convaincre, le Brésil a dominé un Cameroun (4-1) méritant et a entériné sa qualification en huitièmes de finale face au Chili. Et il peut encore remercier Neymar, auteur d’un doublé. Plus de doute possible, cette Coupe du monde est la sienne.
94′ : Allez vous reposer, demain une nouvelle journée intense vous attend. @Rahletace, je t’envoie un RIB pour les 10%. Ici, une grosse soirée bière avec les Anglais s’annonce à nous. Bonne nuit!
94′ : C’est fini. Le Brésil s’impose sans trembler face au Cameroun (4-1) et se rassure légèrement dans le jeu. Prochain rendez-vous, le huitième de finale contre le Chili. On a hâte les enfants, on a hâte.
Bien regroupée autour de son stoppeur Ron Vlaar, l’équipe des Pays-Bas a assuré sa première place en fin de rencontre après un match très moyen et sans rien proposer. La finale du groupe B n’a pas tenu ses promesses. Quel ennui…
Une première phase parfaite. En dominant le Chili (2-0), les Pays-Bas ont signé leur troisième victoire en trois matchs. Vidal a davantage manqué à la Roja que Van Persie aux Oranje. Grâce à ce précieux succès, les Pays-Bas devraient éviter le Brésil.
93′ : Merci à vous d’avoir accompagné David Villa et Xabi Alonso dans leurs derniers pas avec la sélection, et moi-même dans ce live pour du beurre. A vous les studios.
93′ : C’est terminé les boubous ! Dans un match fermé, les Pays-Bas ont réussi à faire la différence dans le dernier quart d’heure grâce à une belle tête et un beau crâne. Voilà, on remballe ce groupe B, où le Chili termine du coup deuxième et risque de se manger le Brésil en 8e. En tout cas, on a adoré passer ce moment avec vous, comme toujours. Peace, Love, Unity. Et Arjen Robben.
Parce qu’une Coupe du monde, c’est surtout avant le coup d’envoi et après le coup de sifflet final que ça se vit. Parce que les supporters à la Coupe du monde, c’est comme les Pit Girls en F1, dans les teasers de match, ils sont mis en avant une image sur quatre. Et parce qu’un Mondial, c’est surtout une immense soirée déguisée qui dure un mois, on s’est dit qu’à l’instar des équipes, les fans aussi méritaient leur fiche. Place à l’Espagne.
La Belgique entière voulait vivre sa probable qualification pour les huitièmes ! Au pied de l’Atomium, sur les places des grandes villes belges, dans les cafés, mais aussi à Haversin. Oui, Haversin, petit village d’environ 1000 habitants qui a rassemblé les supporters belges pour une soirée plutôt arrosée…