Les articles de SOFOOT.com

Florent Malouda revient ce soir au Roudourou, mais dans le camp des visiteurs. Il devrait être chaleureusement accueilli par le public breton. Pourquoi ? Souvenirs en cinq actes.

La 8e journée de Ligue 2 s’est disputée lundi et mardi soir. L’occasion est bonne de dresser un premier bilan des forces, des belles surprises, des déceptions et des franches bananes.

Les tripes ne sont pas les seules spécialités caennaises. Caen sait aussi taper les gros calibres de Ligue 1 à domicile. Top 10, avant l’arrivée de l’ogre parisien ce mercredi soir.

À l’image d’un coup du foulard complètement fou d’André Ayew, l’Olympique de Marseille est allé chercher un succès époustouflant (0-5) sur la pelouse de Reims. Rendez-vous dimanche avec l’AS Saint-Étienne, au Vélodrome.

Milan arrache le point du match nul sur la pelouse du promu Empoli, et Torres a marqué pour sa première titularisation. L’honneur est sauf pour le Milan, pas la confiance.

Face à des Rennais sans envie ni inspiration, Toulouse n’a pas fait de détail. Une victoire 3-0 qui lance peut-être la saison des hommes d’Alain Casanova et met en évidence la faiblesse de leur victime du soir.

Un Bayern qui réaffirme son pouvoir, un Schalke qui va comptablement mieux, un Fribourg qui craque et Mayence et Francfort présents pour le spectacle.

94′ : Toutes les bonnes choses ont une fin. Le Real recolle au podium. Ronaldo en colle quatre, ce qui fait sept en deux matchs. Et RiverPlate est reparti avec un bout de ma fierté. Un très bon match. Bonne soirée, bon appétit, bon film.

92′ : La session boucherie-charcuterie est terminée à Delaune, avec l’écrasante victoire 5-0 d’impressionnants Olympiens, en pleine confiance. Un doublé de Gignac, un d’Ayew, Imbula pour clore la marque et une pleine maitrise de la partie face à des Rémois trop vite dépassés et qui inquiètent. La différence de niveau était trop importante ce soir. Des bisous les bolides, à très bientôt.

La barbe a traversé les âges pour devenir aujourd’hui l’élément indispensable pour être au top de la hype. Les footballeurs n’y échappent évidemment pas.

Pour la première fois de son histoire, le SC Paderborn a vu la Bundesliga et a déjà vaincu. Le club est en tête, avant de se déplacer à Munich. Présentation.

Inzaghi a pour mission de redresser un navire milanais qui était en pleine dérive. Mais au fait, est-il l’homme de la situation ?

Deux buts inscrits au bout d’un match plié peuvent-ils changer la donne ? Hasardeux, mais El Chicharito a des arguments à faire valoir face à Karim Benzema.

Depuis son retour en Ligue 1 en 2003, le TFC traînait l’étiquette d’une équipe aussi ennuyeuse qu’imperméable défensivement. Une époque révolue. Avec le passage en 3-5-2 opéré par Alain Casanova, Toulouse donne du plaisir, mais ne sait plus se défendre. La vie est parfois mal faite.

Dario Conca est revenu depuis janvier dans ce Brésil qui l’a fait, après une escapade chinoise qui avait un temps fait de lui l’un des plus gros salaires de la planète foot.

Duo parisien aux créations à cheval entre la musique électronique et la pop, et en DJ Se le 25 septembre à la Machine du Moulin Rouge, Champions League voue aussi un véritable culte à Javier Pastore.

Qu’est-il advenu d’Ahmed Yahiaoui, ancienne belle promesse marseillaise et contemporain de Samir Nasri ?

Plus qu’un lien charnel, c’est une relation vitale qui unit Paco Alcácer au but. Du haut de ses 21 ans, le jeune Valencien a vu son père mourir suite à sa 1re réalisation professionnelle.

Contre vents, marées, supporters et blessures, Dédé a souvent ramé, mais n’a jamais coulé. Plus fort et plus fit que jamais, l’insubmersible Phocéen réalise son meilleur début d’année avec l’OM, une saison après lui avoir évité la noyade.

Derrière Reptile Youth se cachent deux passionnés d’électro-rock et de mélodies bordéliques : Esben Valløe et Mads Damsgaard Kristiansen. C’est ce dernier qui nous répond et rappelle que, oui, le Danemark est aussi un pays de football.

Pour une fois, le plus intéressant du match d’hier soir n’était ni Cavani, ni Sarkozy, ni Laurent Blanc. Non, on a retrouvé le bruit de Paris.

Lors de cette 6e journée, la Ligue 1 a vu un René Girard encore énervé, un André-Pierre Gignac en feu, un nouveau trio de tête se constituer, un PSG toujours aussi emprunté et même une nuit de folie à Toulouse.

Ronaldinho a disputé son premier match de championnat avec Querétaro et a brillé. Lors de la première semaine de Dinho au Mexique, il a également été question de racisme et de Guerre des étoiles.

Après s’être montrés plus que brillants le week-end dernier, les différents membres du corps arbitral ont donné du grain à moudre sur de nombreuses pelouses françaises.

L’équipe type du dimanche se fait dans l’adversité. Alors pas de joueurs du Real et du Barça, c’est un peu trop facile sinon.

Si l’OL a ramené un nul du Parc, il le doit un peu à un Zlatan Ibrahimović des mauvais soirs et aux largesses de Serger Aurier. Mais il faut surtout qu’il remercie son capitaine : Maxime Gonalons. Un homme qui en impose.

L’OL version Justin Bridou, les nuques longues et les mèches décolorées, Mako, Hardy et Gilardi, la grande époque des ultras, la course à l’Intertoto, Grimonprez-Jooris, les maillots Tourtel…

La Liga a offert un festival de buts avec dix-huit réalisations en quatre rencontres. Au final, le Barça continue sur sa lancée pendant que la Real Sociedad s’effondre. Kakuta a encore marqué.

Au terme d’une drôle de rencontre, les Lyonnais sont allés chercher un nul mérité au Parc des Princes (1-1). Le PSG a encore été trop banal ce soir.

96′ : Sur ce, bonne semaine à tous. A plus les chômeurs.

Encore des buts avec Parme et l’increvable Cassano. La Roma joue dans le vite fait bien fait. La Fio se reprend pendant que la Lazio lâche prise. Et Naples n’est pas bien du tout.