93′ : Et c’est fini à Munich. Enfin. 90 minutes pour rien, ou presque. La Roma en a quand même profité pour reprendre en main sa différence de but. Mieux, vu que City s’est encore ridiculisé, les ritals conservent leur deuxième place. Tout bénef’! Allez, bonne soirée les lardons!
92′ : C’est fini ! Après une belle première période, au cours de laquelle ils n’ont pas su concrétiser leurs temps forts,, les joueurs de l’Ajax ont vécu un enfer après la pause, tant le Barça a été dominateur. Barcelone est déjà qualifié pour les choses sérieuses, comme Paris. Bonne soirée à tous, les meilleurs.
Pour la première fois depuis son arrivée à la Roma, Rudi Garcia connaît une mini-crise. La rencontre de ce soir face au Bayern est l’occasion d’opérer quelques petits changements pour relancer la machine.
De retour à l’Ajax Arena un an après y être tombé, le FC Barcelone se retrouve face à son démon européen : le déplacement. Depuis 2012, la bande à Messi s’est fait une spécialité de prendre l’eau loin du Camp Nou. Et les indicateurs actuels n’annoncent en rien un changement de cap.
En difficulté depuis le début de saison, notamment en Ligue des champions, Manchester City compte, pour se relancer, sur la pleine bourre d’Agüero. Un homme pas forcément reconnu à sa juste valeur.
Le Barça se rend dans la ville natale de son maître : Johan Cruijff. En Catalogne, le glorieux ancien n’occupe aucune responsabilité. Pourtant, comme un spectre, il règne sur un territoire mystérieux : les consciences.
Rien ne prédestinait Jean-Christophe Bahebeck à intégrer la rotation du PSG de Laurent Blanc, et surtout pas ses prêts à Troyes et Valenciennes. Mais voilà, JCB est là, crédible en sortie de banc.
Presque largué en championnat et en Ligue des champions, éliminé en Coupe de la Ligue, Manchester City peut foirer sa saison. Par la faute des individualités plus que du système.
La présence du Serbe dans le couloir droit est devenue indispensable. Son évolution tactique lui permet de jouer un rôle toujours plus important dans l’animation ambitieuse des Blues.
L’homme derrière les sons du 1995, groupe phare du hip-hop from Paris, se lance désormais dans des projets solos, et à l’ancienne. Discussion avec un enfant un enfant « d’un rap vénère sur face B » et de foot de patronage.
Mission accomplie pour le Real Madrid. Qualifiés en huitièmes, les Merengues ont pu une nouvelle fois compter sur un Benzema de gala, et un Marcelo mort de faim. En face, Mignolet et la surprise Kolo Touré ont bien tenu la baraque.
Brouillons en début du match, les Monégasques ont ensuite offert un visage séduisant, sous l’impulsion d’un Yannick Ferreira Carrasco inspiré. Malheureusement, en face, les Benfiquistes ont pu compter sur Talisca, leur nouveau phénomène brésilien, encore buteur décisif.
Menés au score par l’Olympiakos, les Juventini ont renversé la tendance notamment grâce à Pogba pour l’emporter (3-2). Dans le groupe D, Arsenal s’est fait piéger par Anderlecht à l’Emirates (3-3).
Monaco volait tout droit vers un nouveau match nul et une qualification de plus en plus proche. Mais les joueurs du Rocher craquent en toute fin de match.
Face à une équipe de Liverpool venue pour subir la marée, le Real Madrid, trop facile, a joué un peu à la baballe en oubliant de tuer le match. Suffisant pour l’emporter 1-0 et assurer une qualification pour les huitièmes de finale de Ligue des champions tout de même.
Monaco a fini par craquer : à la 82e, Talisca marque pour Benfica. Le Real Madrid s’impose 1-0 face à Liverpool grâce à Benzema. À Turin, la Juve, menée 2-1 par l’Olympiakos, renverse la situation en deux minutes et gagne 3-2. Arsenal se fait rattraper par Anderlecht (de 3-0 à 3-3) et Dortmund fesse encore Galatasaray (4-1).
94′ : C’est fini. Monaco s’incline 1-0 à Lisbonne contre le Benfica. Malgré cette défaite, l’ASM reste deuxième mais ne compte plus qu’un point d’avance sur ses deux poursuivants, le Zénith et Benfica.
93′ : Et voilà, c’est fini ! Le Real, ultra dominateur, s’impose sur le plus petit des scores grâce à un but de Benzema. Alors, certes, CR7 n’a pas égalé le record de Raul, mais le Real est déjà qualifié pour les huitièmes. Merci d’avoir suivi ça avec nous. Bonne soirée, soyez prudents. On vous aime tous, même toi.
94′ : Allez, c’est fini. Le BVB a enfin pris un but, mais en a encore mis quatre. La qualification est dans la poche, et vraisemblablement la première place aussi. Reste plus qu’à transposer cette forme à la Buli. Auf wiedersehen messieurs.
Jérôme Leroy fête aujourd’hui ses 40 ans. Il est toujours un des footballeurs les plus élégants de France et envisage très sérieusement d’aider Le Havre à monter en Ligue 1. Tout ça avec le torse bombé et les sourcils froncés.
Lâché comme toutes les autres équipes par le Real Madrid dans ce groupe, le bizut bulgare reste toujours en course pour la qualification, avant le début des matchs retours.
Auteur d’un début de saison bancal, Mario Balotelli attire tous les regards et alimente toutes les critiques à Liverpool, comme partout où il passe. Une bénédiction pour ses coéquipiers, qui ne font guère mieux que lui, mais restent peu discutés.
Le stade de la Luz n’est pas un inconnu pour l’AS Monaco. Un soir de mai 92, le club de la principauté y a disputé une finale de Coupe d’Europe, perdue face au Werder Brême (2-0). Une rencontre qui, au délà de la défaite, fut empreinte d’un autre drame.
« Je ne veux plus entraîner, je suis vieux. » À 66 ans, Marcello Lippi a mis un terme à sa carrière d’entraîneur, même s’il laisse la porte ouverte à une sélection. Retour sur 10 dates marquantes de l’ère Lippi.
Écrivain de romans noirs depuis près de quinze ans, Michaël Mention a décidé de s’intéresser au football pour son nouveau livre. Enfin, à une rencontre en particulier, puisque son roman, Jeudi Noir, revient sur l’un des matchs du siècle, le fameux France-Allemagne de 1982. Rencontre avec un homme tombé amoureux d’un match 32 ans après.
Pour beaucoup de supporters de football, se prendre deux buts dans les arrêts de jeu d’un match de Ligue des champions est un fait unique. Pour ceux d’Anderlecht, c’est une routine insupportable.
Il aurait pu jouer pour la Suisse, mais a choisi une autre sélection. Il aurait pu quitter la Suisse, mais a décidé d’y rester. Ce paradoxe sur pattes, c’est Shkëlzen Gashi, révélation la saison dernière avec les Grasshoppers, aujourd’hui tête de gondole d’un FC Bâle qui compte sur sa recrue albano-helvétique pour continuer à jouer les poils à gratter de la Ligue des champions.
Le derby pour les Citizens, Southampton et Chelsea poursuivent leur marche en avant, et Tottenham se relance. Sánchez porte Arsenal et Aston Villa et Leicester continuent de chuter.
Au terme d’un match aux deux visages, la Lazio s’impose 4-2 face à Cagliari et monte sur le podium. Troisièmes, les hommes de Stefano Pioli ne sont plus qu’à trois points de la Roma.
53 minutes. C’est tout ce que Marc Planus avait dans les chaussettes ce dimanche face à Toulouse. Suffisant pour participer grandement à la victoire de son Bordeaux de toujours (2-1).
Arrivé timidement en provenance du FC Nantes, le Serbe Filip Djordjevic est en train de s’imposer sur le front de l’attaque des Biancocelesti. En devançant un certain Miroslav Klose dans la hiérarchie.