Depuis 2011, c’était un peu la hype estampillée « équipe qui joue le mieux au ballon en Premier League ». Mais cette saison, ce fameux label beauté a laissé place à un Swansea différent. Plus froid, plus clinique. Plus fort ? À voir…
Ils sont joueurs ou entraîneurs, et pour eux, l’année écoulée est à oublier. Ils attendent le réveillon du 31 pour définitivement laisser derrière eux ces douze derniers mois bien pourris en espérant qu’en 2015, ça ira mieux.
En passe de signer Adriano, alimentant la rumeur Simão, maniant le clinquant et la nostalgie à la fois, Maillol pourrait avoir le culot de construire une équipe de rêve entre noms ronflants, vieilles gloires et petite provocation. Proposition argumentée de onze de rêve pour Christophe.
Et voilà la fin du premier trimestre. Juve et Roma sont toujours les locomotives, Naples, Lazio et les jumeaux de Gênes essaient tant bien que mal de suivre la cadence, les deux Milan n’en font qu’à leur tête, la Fiorentina ne comprend plus les leçons et Parme croule sous la masse de travail. Notes et appréciations de ces 4 mois de Serie A.
C’est un fait presque avéré : si Luis Suárez était resté dans le Nord-Est de l’Angleterre cet été, les Reds n’en seraient certainement pas là. Mais alors, que se serait-il exactement passé si Luis Suárez n’avait pas quitté Liverpool ?
Ce lundi soir, à 21h, Brighton & Hove se déplace sur la pelouse de Fulham en D2 anglaise. L’occasion de découvrir Charlie Webb, personnage mythique de l’histoire du club de Brighton, dont il a été joueur, puis entraîneur pendant près de 40 ans.
Ils n’ont pas attendu 62 ans pour prendre leur retraite. En 2014, la planète football a perdu du beau monde. Du Ballon d’or, du champion du monde, du vainqueur de la Ligue des champions, du mythe, du tireur de coup franc et Mickaël Landreau. Rien que ça.
Manchester City a manqué une jolie occasion de revenir sur Chelsea, Arsenal a profité d’un concours de circonstances favorables pour s’imposer à West Ham, Stoke fait le plein de points, et Leicester retrouve le goût de la victoire.
Rapidement menés au score par les Saints, les Blues ont égalisé sur un exploit personnel d’Hazard, mais n’ont pas su arracher la victoire malgré une supériorité évidente. Ces deux points perdus pourraient coûter cher en fin de compte.
94′ : C’est terminé ! Les hommes d’Alan Pardew sortent finalement vainqueur de ce match un peu fou et obtiennent un succès précieux ! De leur côté, les pauvres bougres de Roberto Martinez n’ont plus que leurs yeux pour pleurer…
Manchester United et Tottenham se neutralisent (0-0) au terme d’une rencontre qui n’aura duré qu’une mi-temps. Le temps pour Hugo Lloris de faire étalage de toute sa classe. Manchester reste 3e, mais perd des points dans la lutte pour le titre.
95′ : C’est fini, Chelsea concède le match nul contre Southampton. Après une bonne entame, les Saints ont énormément souffert face aux Blues qui ont manqué de justesse dans le dernier geste. Filipe Luis, lui, a tout raté.
À la trêve, le BVB, candidat au titre, est avant-dernier, seulement devant la lanterne rouge Fribourg grâce à la différence de but particulière. Parce que certains de ses propres joueurs l’ont plombé, mais aussi parce que des adversaires ont brillé de mille feux.
93′ : Allez, c’est fini. Red Devils et Spurs se séparent sur un match nul et vierge. United a eu de nombreuses opportunités de marquer en première mi-temps, mais est tombé sur un bon Lloris et a ensuite complètement plongé. Plus frais, Tottenham aurait pu faire le hold-up en fin de match, mais le nul est finalement logique. Bisous les loulous.
C’est reparti pour un tour. Comme à chaque mercato, Benfica vit dans la crainte de perdre Enzo Pérez. Car voilà un an que Valence essaye d’enrôler le milieu de terrain argentin. Et il se pourrait bien que ce troisième assaut à 25 millions d’euros soit fatal aux Lisboètes…
Chelsea et Manchester City cartonnent, le United de Van Gaal prend forme, Southampton et West Ham surprennent, Arsenal et Liverpool déçoivent et les promus sont à la rue.
Arrivé à Londres à l’été 2013 pour relayer Gareth Bale, Erik Lamela a mis du temps à s’adapter à la Premier League. Après blessures et changements de coach, l’Argentin tente encore de justifier les 35 millions d’euros investis sur son pied gauche.
Troisième grand club de Madère derrière Maritimo et le Nacional, l’União tente aujourd’hui de se refaire un nom. Car voilà 20 ans que l’équipe de D2 portugaise n’a plus squatté l’élite.
Le Bayern très très haut au-dessus de tout le monde, Wolfsburg qui surprend, Dortmund qui plonge : c’est l’heure de distribuer les bons et les mauvais points de cette première moitié de saison en Buli.
Vous avez suivi le match de foot à 5 qui a opposé l’équipe du PSG-Nivea à l’OL-Hyundai ? La petite supériorité lyonnaise que la pub annonçait depuis un petit bout de temps s’est manifestée dans la réalité : à mi-saison, l’OL est deuxième au classement devant Paris. Démonstration…
Avant de faire les beaux jours du FC Valence, Pablo Aimar avait attiré les regards du monde entier en portant le maillot de River Plate de 1996 à 2000. Aujourd’hui âgé de 35 ans, le meneur aux manches trop longues revient dans une équipe au jeu ambitieux.
Cédric Fauré est un nom qui trotte dans la tête. S’il ne s’est jamais totalement implanté en Ligue 1, on sait qu’il s’est constitué un tout beau palmarès à l’échelon inférieur. Alors qu’il continue à allonger en D1 belge, il revient sur sa carrière.
Des pions de Cristiano Ronaldo, des records de Messi, un Vicente-Calderón en dépression, un Rayo au cœur grand comme ça, des lucarnes, des crochets courts, de belles supportrices… Revivez en condensé la première partie de saison espagnole.
Le kick and rush fait partie de l’ADN du football anglais. Même si aujourd’hui, cette stratégie semble révolue au plus haut niveau, pendant de nombreuses décennies, elle a été une marque de fabrique sous une forme élaborée appelée long ball. Sa crédibilité, elle la doit avant tout à Charles Reep, un ancien pilote de la Royal Air Force.
Lundi soir, à la télévision belge, il sera possible de se plonger dans le Mondial de quatre supporters aveugles ou malvoyants partis supporter la Belgique au Brésil. Un film documentaire édifiant et très drôle de par ses conditions de tournage.
Pas de fortune à se faire sur ce Boxing Day pour les parieurs, avec des résultats conformes aux attentes : c’est oui pour les gros, non pour les petits.
Le PSV Eindhoven qui caracole en tête en Eredivisie devant l’Ajax et Feyenoord, le FC Bruges menaçant l’hégémonie d’Anderlecht en Belgique, le Celtic étonnamment bousculé en Écosse : bilans de mi-saison de ces trois championnats européens.
Les Gunners s’imposent de justesse contre QPR (2-1), non sans mal à cause d’une expulsion fortement évitable d’Olivier Giroud.
Des buts, plein de buts, dont pas mal de jolis et quelques moches, du public, de la polémique, de la punchline, des révélations, des déceptions, des disparitions, des miracles, du Lacazette, du Pastore, du Bielsa, du Aulas et beaucoup de Pascal Dupraz…
Le Boxing Day 2014 a profité aux leaders, puisque les deux Manchester se sont facilement imposés, de même que Southampton qui reprend ainsi la quatrième place.
96′ : Et c’est fini à l’Emirates ! Arsenal l’emporte, après une belle prestation et un Sanchez XXXXXXXXL. Mais un penalty manqué, un concédé et un rouge pour Giroud auront causé un petit coup de flip. Rien de grave, les Gunners sont vainqueurs. On vous laisse ici, à votre soirée, vos RTT, votre week-end. Des bisous (presque) partout.