Avant d’affronter le Barça avec un effectif décimé, c’est au tour de la force du groupe parisien d’être mise au défi. Si Cabaye et Rabiot relèvent celui du pressing barcelonais, Laurent Blanc aura non pas construit une équipe, mais un groupe.
Avant d’affronter le Barça avec un effectif décimé, c’est au tour de la force du groupe parisien d’être mise au défi. Si Cabaye et Rabiot relèvent celui du pressing barcelonais, Laurent Blanc aura non pas construit une équipe, mais un groupe.
Un Français, un Argentin, un Portugais, deux Italiens et trois Espagnols sont en quarts de finale de cette Ligue des champions. Ce qui rassemble ces entraîneurs, ce n’est pas qu’une mer, une langue ou une compétition. C’est un même soleil.
Depuis le début de saison, le FC Barcelone, c’est seulement cinq petites défaites et une présence dans toutes les compétitions. Donc ses anciens bourreaux ont forcément quelques bons conseils à donner aux Parisiens.
Les supporters de Porto ne se réjouissent pas vraiment à l’idée de voir leur équipe affronter le Bayern Munich. Car dans les bois bavarois se trouve Manuel Neuer. Le portier qui, sept ans plus tôt, avait dégoûté tout l’Estádio do Dragão.
1996-1997, Bobby Robson arrive sur le banc catalan avec, dans ses bagages, un certain José Mourinho. C’est aussi la seule saison en Catalogne de Laurent Blanc et de Ronaldo. De cette équipe va naître une vocation : celle d’entraîner.
Avec quatre points d’avance sur l’OM et trois sur l’ASM, mais également avec un match en retard, l’OL a l’occasion, ce soir, de s’assurer une place en Ligue des champions. Mieux, l’OL a surtout l’occasion de reprendre, provisoirement, les rênes de la Ligue 1.
À peine considéré comme un attaquant prometteur de Ligue 1 il y a deux ans, Vincent Aboubakar s’apprête aujourd’hui à affronter le Bayern Munich, qui plus est avec le costume de titulaire. Qui l’eût cru ?
En 1987, le Bayern Munich et le FC Porto se sont déjà échangés des amabilités en finale de C1. C’était à Vienne et, ce soir-là, les Portugais sont revenus de nulle part, alors qu’ils étaient menés et à la rue à la pause.
Nouvel homme fort de la politique sportive blaugrana, Ariedo Braida n’en demeure pas moins des plus discrets. Surtout, la venue de l’ancien dirigeant du grand Milan rappelle la stratégie d’un autre molosse européen : celle du PSG de Leonardo.
Jardim et ses soldats avaient tout bien fait, du plan de jeu parfait à sa réalisation, et se sont inclinés par manque de chance plutôt que par manque de qualités. Un bilan gratifiant pour une ASM limitée, mais pas forcément inquiétant pour la Juve.
Si Yacine Brahimi faisait des étincelles à Grenade, il a déclenché un véritable incendie au FC Porto cette saison. Pourtant, avant d’aller flamber en Liga, puis en Liga Sagres, l’Algérien avait fait l’effet d’un pétard mouillé au Stade rennais.
Une incruste chez les pros comme latéral, une confirmation à son poste de milieu de terrain, quelques buts pour couronner son ascension. Depuis 18 mois, Corentin Tolisso a franchi de nombreux paliers et décroché un rôle clé dans l’effectif lyonnais.
À 28 ans, Salvatore Sirigu est à un tournant de sa carrière. S’il veut combler l’écart qui le sépare des meilleurs du poste, il doit sortir un gros match sur la scène européenne.
Emmenée par un Abdennour de gala, l’ASM a longtemps cru à l’exploit à Turin. Mais en face, l’expérience de Buffon, l’activité de Marchisio et la petite touche de vice de Morata ont fait la différence. À l’italienne.
Dans une rencontre tenant plutôt du combat de rue que du football, Mario et Sergio se sont rendu coup sur coup, mais c’est le Croate qui a versé le premier sang. Parfois, Carjaval, Gabi et Mario Suárez sont aussi venus mettre des coups de latte, pour le plaisir de la castagne.
Un derby de Madrid sans spectacle, pas sans suspense
Un derby de Madrid sans spectacle, pas sans suspense
Dans un combat plus tactique que technique, l’Atlético, pas malheureux, et le Real, dominateur mais tombé face à un os nommé Oblak, se quittent dos à dos. Un score nul et vierge qui promet un match retour bouillant.
Clairement favoris, les joueurs de la Juve sont venus à bout de l’AS Monaco grâce à un penalty d’Arturo Vidal en seconde période. Toujours aussi bien regroupés derrière, les joueurs de l’ASM vont devoir tenter des trucs fous pour se qualifier au retour.
93′ : Et c’est terminé !!! Monaco, loin d’avoir démérité, doit finalement s’incliner sur un penalty transformé par Vidal. Honnêtement, les Monégasques peuvent être fiers de leur prestation et, surtout, peuvent continuer à croire à une qualification. 1-0, ce n’est rien, l’ASM peut le faire. Surtout dans l’enfer de Louis II. Prenez soin de vous en attendant.
Avant un énième derby capital, retour sur l’épopée des ouailles de Luis Aragonés, de leur injustice munichoise jusqu’à leur domination de la planète football, ponctuée d’un titre intercontinental, contre l’Independiente, il y a 40 ans.
Monaco, Arsenal, le Barça, New-York Red Bulls, l’équipe de France. Une carrière proche du sans-faute pour Titi, si ce n’est ce passage loupé à la Juventus il y a seize ans. Retour en arrière.
Ils sont six à avoir fait tomber la Juve cette saison. Alors, Monaco pourrait bien s’inspirer du Genoa, de l’Atlético, l’Olympiakos, la Fiorentina, Parme ou encore Naples. Et tirer de ces rencontres quelques enseignements.
De nouveau irrésistible après un mois délicat, Antoine Griezmann se révèle le talisman de cet Atlético Madrid. Un statut nouveau que le Français assume de par ses buts et son engagement.
C’était en 1998, peu avant la Coupe du monde, en demi-finale de la Ligue des champions. Un souvenir qui reste, malheureusement, plus joyeux de l’autre côté des Alpes.
Ce soir, l’Atlético Madrid semble capable de pouvoir gagner ce derby madrilène à l’envie, au courage ou même sur l’organisation tactique. Mais dans un duel au couteau, ce n’est pas toujours le plus excité qui l’emporte. Et si Carletto était justement le plus fort au corps à corps ?
Tous les ans, au mois d’avril, c’est la même histoire. Le même hymne, les mêmes équipes, les mêmes images. Pourtant tous les ans, au mois d’avril, nous sommes fidèles au rendez-vous. Mais à quoi sert donc la Ligue des champions ?
Vu comme un successeur de pacotille, le voici en lice pour un improbable triplé championnat, Coupe d’Italie, Ligue des champions. À 47 ans et après un passage mitigé à l’AC Milan, Max Allegri est en train de se mettre la Vieille Dame dans la poche.
La chaleur était de retour ce week-end, et forcément, le sang-froid a payé en Liga. Séville revient de l’abîme pour faire espérer le Real, Griezmann continue sa goleada, tandis que Chori Castro s’est pris pour Marco van Basten.
Cette saison, l’AS Monaco ne fait rien comme tout le monde. Vainqueur seulement six fois à Louis-II en Ligue 1, l’équipe de Leonardo Jardim brille hors de ses bases. Ce mardi, elle affronte Turin au Juventus Stadium dans un match qui ne paraît plus si démesuré.
Manchester United reprend son fief, Bolasie s’envole
Manchester United reprend son fief, Bolasie s’envole
Manchester United reprend sa couronne locale, Chelsea et Arsenal s’imposent dans la douleur, et Liverpool séduit à nouveau. Sinon, Aston Villa et Leicester continuent leur folle remontée.