Monaco a eu le ballon et les tirs, mais pas les occasions. Faut-il en vouloir aux limites de l’animation offensive monégasque ? Ou est-ce le mérite de la défense turinoise ?
Bientôt en fin de contrat, Rafa Benítez devrait quitter Naples à la fin de la saison. Alors qu’il est envoyé du côté de Man City, l’intéressé préfère se concentrer sur son ultime objectif : le titre européen, absent de Campanie depuis 1989.
Débarqué cet été dans le plus grand anonymat du côté de Séville, Benoît Trémoulinas s’éclate sur le flan gauche du Sánchez-Pizjuán. Une idylle qui doit autant à sa bonne intégration à la vie andalouse qu’à sa relation avec Unai Emery.
Le Rotor Volgograd est officiellement en faillite, au terme d’une décennie de crise. Madeleine de Proust des supporters nantais et girondins des nineties et cauchemar d’Old Trafford, retour sur les belles années de ce mythique Rotor.
Malgré un petit milieu et une attaque sevrée de ballons et de soutien, la Juve a pu compter sur une défense solide, à l’image d’un Bonucci magistral, pour conserver les cages de Buffon inviolées. Les Monégasques ont presque tout bien fait, presque.
Zéro. Comme le nombre de buts ce soir. La Juve a bien contenu les attaques de courageux Monégasques et composte son billet pour les demi-finales. Et du coup, zéro aussi comme le nombre de clubs français au prochain tour de la Ligue des champions.
Après 87 minutes des plus stressantes, Chicharito a offert une qualification méritée au Real Madrid (1-0). Un petit but en 180 minutes qui permet au champion d’Europe en titre de rêver d’une onzième couronne.
95′ : C’est fini ! La Juve est en demi-finale. Monaco a été brave mais n’est pas parvenu à suffisamment déstabiliser un adversaire bien organisé défensivement. C’est dommage, c’est frustrant, c’est pénible mais c’est la vie. Bisous les copains, bonne fin de soirée quand même et à très vite.
96′ : C’est fini ! Le Real Madrid se qualifie à l’arrache au terme d’un match franchement décevant. Ultra actif mais longtemps maladroit, Chicharito a délivré Bernabeu en toute fin de partie, sur une passe de Ronaldo.
En vie depuis 1903, l’Atlético de Madrid a connu une histoire complexe, remplie de tristesse et de bonheur. Parmi de nombreuses anecdotes, certaines racontent à leur façon un club pas vraiment comme les autres. Petit florilège.
Si Nabil Dirar passe plutôt inaperçu tant par son caractère que par ses stats, il n’en a pas toujours été ainsi. Entre 2009 et 2012, le Marocain a ainsi été suspendu cinq fois par son club et son équipe nationale. Les causes ? Nonchalance, impulsivité et folie.
On ne s’en rend pas vraiment compte, mais la Vieille Dame est bel et bien en train d’effectuer une des meilleures saisons de sa longue histoire. Et pourtant, elle a dû faire face à de nombreuses indisponibilités qui lui ont compliqué la tâche.
Philippe Léonard : «Le prince Albert n’est pas le dernier à faire la fête !»
Philippe Léonard : «Le prince Albert n’est pas le dernier à faire la fête !»
Monégasque de 1996 à 2003, Philippe Léonard a connu deux titres, mais surtout le deuxième plus beau parcours des Principautaires en Ligue des champions. C’était en 1997-98, déjà face à la Juventus…
Ce soir, l’AS Monaco aura fort à faire pour renverser la vapeur face à la Juventus. Compliqué, mais pas impossible pour les hommes de Leonardo Jardim. La preuve ? Il y a onze ans, l’équipe monégasque sortait le Real Madrid au même stade de la compétition.
Quatre défaites et trois nuls. Depuis le début de la saison 2014/2015, le Real Madrid est incapable de battre son voisin madrilène. Mais ce soir, les démons de la Maison Blanche vont enfin se dissiper. Oui, le Real va battre l’Atlético et passer en demi-finale. Voici pourquoi.
En trois ans et demi passés sur le Rocher (2002-2006), Patrice Évra s’est fait un nom dans l’Hexagone. C’est aussi là qu’il a fait l’apprentissage du haut niveau et que l’équipe de France lui a ouvert ses portes.
Meilleur Merengue du match aller face à l’Atlético, Raphaël Varane a rappelé qu’il était le central avec le plus de projection au monde. Un constat qui ne lui suffit pas. Toujours en concurrence avec Pepe, il ne s’opposerait pas à un départ estival.
Ligue des champions CONCACAF – Finale aller – Club América/Montréal
Go Impact go !
Go Impact go !
À Mexico, dans le mythique stade Azteca, le rutilant Club América affronte en finale de la C1 locale les Québécois de l’Impact Montréal, braves et miraculeux représentants d’une MLS en mal de reconnaissance internationale.
Si Paris a fini par tomber face à plus fort que soi à ce niveau de la compétition, ce qui n’avait pas été le cas en 2013 et 2014, le groupe parisien a pu enfin apprendre de son rival ce qui lui manque pour aller plus haut. Avec patience.
Battu 1-0 à l’aller en Italie, Monaco est condamné à l’exploit pour voir les demi-finales de la Ligue des champions. Face à une Juventus ultra performante, quels motifs d’espoir pour les Monégasques ?
Sorti de la Ligue des champions pour la troisième saison consécutive, le PSG peine à atteindre le sommet du football européen. Quelques pistes de réflexion pour combler le retard avec les institutions que sont le FC Barcelone, le Real Madrid ou le Bayern.
Atout offensif numéro un de la Juve et meilleur buteur d’Italie, Carlos Tévez pourrait quitter les siens dès cet été, poussé par le forcing incessant de Boca Juniors et du président Angelici. Mais son contrat file jusqu’en juin 2016.
Remake de la dernière finale de Ligue des champions, le derbi madrileño oppose plus que deux fanions d’une même ville. Madrid et ses trois clubs de Liga offrent sans doute le plus beau panorama de la planète football.
L’exploit n’a pas eu lieu. Dominé de bout en bout, le PSG quitte la Ligue des champions sur une défaite au Camp Nou contre un Barça tranquillement emmené par Neymar. La fête est finie, y a plus rien à voir.
Vexés d’avoir entendu parler de crise avant le match, Pep Guardiola et ses hommes ont passé le match le pied sur l’accélérateur. Tant pis pour Porto, qui se ramasse un 6-1 cuisant.
92′ : Allez, c’est terminé. Ce Barca est tout simplement trop fort, et ce Paris trop faible. D’autant plus triste qu’il nous a privé d’amour ce soir. Il va falloir se noyer dans le sucre et l’alcool. Bisous les loulous, on se retrouvera.
Si la finale de Vienne 1987 est souvent présentée comme celle de Madjer, un autre homme aurait mérité d’être couronné de lauriers : Juary, auteur d’un but et d’une passe décisive ce soir-là.
Plaidoyer pour un football de combinaisons et de possession sous l’ère Guardiola, le Barça a fait sa mue. Avec l’arrivée de Luis Enrique, il assume même son nouveau visage, fait de vitesse et de contres éclair.