94′ : Allez zou, remballez, y’avait rien à voir. 0-0, un péno manqué par Barrios, voilà ce qu’il faut retenir de ce match en retard. Pas de bonne affaire donc, juste une purge. On va se caler un petit Xanax, mais juste avant, on vous fait des bisous. Presque partout.
Atlético de Madrid-Real Sociedad n’est pas seulement synonyme de retrouvailles pour Antoine Griezmann. Pour les supporters txuri-urdin, c’est également le triste souvenir du meurtre d’un des leurs, Aitor Zabaleta, assassiné par le Bastion 1903.
Alors que son équipe de Montpellier se déplace à Monaco, Rolland Courbis joue l’Europe contre toute attente. Enfin pas tellement. Avec une pointure dans son genre, les bouleversements de hiérarchie sont fréquents.
Avec un effectif peu expérimenté, Jean-Luc Vannuchi a déjoué tous les pronostics en accédant aux demi-finales de la Coupe de France. Pour accéder au Stade de France, l’AJ Auxerre va devoir se coltiner Guingamp. Un club que l’entraîneur bourguignon connaît bien.
Le gardien de la Fiorentina vit une saison compliquée. Sa direction l’a même temporairement mis sur la touche lorsqu’elle a compris que le Brésilien a décidé de s’engager avec la Juve à la fin de son contrat. Un choix de carrière plutôt osé quand on sait qui garde les cages de la Vieille Dame.
Même si Klopp peut enfin compter sur un milieu de terrain – presque – au grand complet, il lui manque encore Nuri Şahin. L’absence de son véritable maître à jouer est d’autant plus problématique que le BVB est quasiment dans l’obligation de remporter la DFB-Pokal pour voir l’Europe.
C’est ça, la légende de Jimmy. Une action de ouf contre le grand OM, un soir de février 1992, dans un stade Bollaert plein à craquer : 49 812 spectateurs, record d’affluence jamais battu. Une chevauchée fantastique que le rasta sang et or avoue se repasser encore de temps en temps.
Défaite sur sa pelouse lors du match aller (1-2), la Juventus entend bien refaire son retard à Florence, avec un Massimiliano Allegri alignant, cette fois, sa meilleure formation. Toujours pas rassasiée, la Vieille Dame n’est certainement pas indisposée.
Man City dit au revoir à sa couronne, Chelsea continue sa marche, Arsenal éclate Liverpool et Manchester United confirme. En bas du classement, les relégables ont décidé de lancer leur sprint final. Et ça promet.
À 27 ans, Ukra, le joueur de Rio Ave a fêté sa première sélection face au Cap-Vert, quelques jours après avoir fait beaucoup de mal à la défense de Benfica. Un détail pour celui qui n’est connu que comme l’amateur de blagues potaches.
Après une première expérience à Tottenham, Tim Sherwood est venu se poser sur le siège le plus chaud d’Angleterre, dans un Aston Villa démoralisé. Une opération survie contre-nature pour celui qui affichait des qualités de bâtisseur.
Avec cette demi-finale à disputer sur la pelouse d’Auxerre, Jocelyn Gourvennec n’est plus qu’à un match d’emmener Guingamp encore au Stade de France et à deux de lui faire disputer encore la Ligue Europa. Joce’ est désormais un homme convoité.
Ce week-end de Liga détenait sans aucun doute une touche française. Le Real Madrid rend hommage à l’Essonne, Jérémy Mathieu fait office de Rackham le Roux, tandis qu’Antoine Griezmann a plus que jamais le vent en poupe.
Les Citizens devaient s’imposer pour reprendre leur deuxième place et ne pas laisser Chelsea s’envoler. Mais malgré une nette domination, les Sky Blues se sont inclinés, 2-1, face aux Eagles cédant sans doute leur titre à Mourinho et sa troupe.
Dans ses chroniques, Guy Delisle explique en bande dessinée ses pérégrinations dans des pays aussi ouverts que la Chine, la Corée du Nord ou encore la Birmanie. Mais il y a plus dingue : il est québecois et il aime quand même le foot.
Aujourd’hui prêté par Vicenza et pensionnaire de Monza en troisième division italienne, Oualid El Hasni raconte comment il a quitté la France en 2009, alors qu’il n’avait que 16 ans. Petit voyage entre Cannes, Brême et l’Italie.
Orvault est devenu, le temps d’un week-end, la capitale du foot européen. Les U11 de San José, équipe d’un quartier paisible de Valence participent pour la première fois à ce type de tournoi XXL. Reportage embarqué avec un Miguel, un José et un Javi.
Dimanche soir, OM-PSG a réuni 2,75 millions de téléspectateurs devant leur poste. Parmi eux, des milliers de personnes qui ont tour à tour tremblé, vibré, pleuré et surtout chambré leur adversaire du soir. On refait le match.
Top hebdomadaire réactualisé des joueurs qu’il faut suivre en priorité. Pour ce qu’ils font sur le terrain, mais aussi juste à côté. Parce que les classements dominés par Messi et Ronaldo, ça va un moment. Même s’ils ne sont jamais bien loin.
L’OM a tout bien fait pour tenter d’abréger les effets de la circulation de balle parisienne. Mais vu le score, était-ce une bataille perdue d’avance ? En face, Laurent Blanc a présenté un PSG de plus en plus hybride, qui ne dépend plus du ballon, ce qui le rend insaisissable.
Depuis l’arrivée des Qataris, c’est la sixième fois en huit matchs de Ligue 1 que le PSG l’emporte sur son rival marseillais et la deuxième fois de suite au Vélodrome. C’est surtout la septième victoire de rang, toutes compétitions confondues, du PSG sur l’OM. Pour ce faire, les Parisiens ont sorti une seconde période « Ligue des champions » emmenée par un quatuor de costauds : Marquinhos, Silva, Verratti et Matuidi.
Paris s’accorde le Classique, l’OL n’oublie pas le titre du côté de Guingamp, Monaco et l’ASSE se neutralisent, tandis que Bordeaux se relance dans la course à l’Europe. Coup de folie à Lille où le LOSC plante trois buts, alors qu’en bas de tableau, Lorient et Toulouse se battent pour gagner la dernière place de relégable. Bref, on a passé un excellent week-end de Ligue 1.
La Premier League perd la tête. Le meilleur buteur actuel est anglais (Harry Kane). Mais plus incroyable encore, le meilleur gardien actuel est anglais. Et rien que pour ce coup de folie, Joe Hart méritait bien qu’on se penche un peu sur son cas.
En ce week-end pascal, les championnats européens reprenaient leur droit. Et les cloches n’ont pas fait leur travail à moitié. Elles ont délivré des œufs dans tous les jardins du monde. Résultat : c’est bien le Real Madrid qui remporte la chasse aux œufs, en en mettant neuf dans son panier.
21 petits buts au cours de cette 27e journée. Heureusement que le Bayer Leverkusen et le Borussia Mönchengladbach étaient là pour mettre l’ambiance. Sinon, Wolfsburg suit la cadence du Bayern, Hanovre accroche Francfort au courage, et Fribourg refuse de descendre. Comme prévu.
Renversant, le PSG a pu compter sur un Blaise Matuidi branché sur générateur pour aller chercher les trois points au Vélodrome. N’en déplaise à Gignac, dont le doublé n’aura pas suffi pour emporter l’OM vers les sommets.
De manière très cynique, très efficace, très pragmatique, les Parisiens ont lentement pris le dessus sur les Marseillais, au terme d’un superbe Classique. Les hommes de Laurent Blanc sont toujours premiers, à cinq points de leurs adversaires du soir.
Longtemps contrariés par un Celta cohérent, les Blaugrana s’en sont une nouvelle fois remis au jeu de tête de Mathieu et à leur qualité sur coup de pied arrêté. Le Français permet au leader de la Liga de conserver ses quatre points d’avance sur le Real.
96′ : ET C’EST FINI ! Paris s’impose 3-2 au Vélodrome après avoir été mené 2-1 et frappe un grand coup sur la Ligue 1. Les Parisiens sont de nouveau leaders, les Marseillais ont probablement dit adieu au titre. Pendant ce temps-là, Gignac devient fou, et prend d’ailleurs un rouge pour contestation. BISOUS LES LOULOUS.
94′ : C’est fini ! Le Barça s’impose ric-rac grâce à un nouveau coup de crâne de Mathieu. C’était pas très beau, un petit Barça contre un Celta courageux. Allez, je m’en vais mater le résumé du Classico maintenant. Des bisous à la prochaine. Vous avez été cool, merci à très vite.
Seul buteur au match aller au Camp Nou contre le Barça, Joaquín Larrivey a enfin récolté quelques paillettes. Arrivé presque par hasard dans le foot, il est surtout détesté de son club formateur, celui d’Huracán. Retour sur un drôle de parcours.